48èmes palabres : « Palabres sur le mentorat en médiation » organisée par l’Association Al-Amiable, le 19 février de 19h00 à 21h00.


« Créées en 2019, les palabres de l’amiable agile réunissent le 19 de chaque mois à 19h00 des médiateurs et des professionnels de l’amiable issus de plusieurs cultures pour des échanges fructueux sur des thèmes liés aux conflits et aux modes amiables.

Les 48èmes palabres, désormais organisée par l’Association Al-Amiable, se tiendront le 19 février de 19h00 à 21h00.

Elles porteront sur le mentorat en médiation et dans les modes amiables. Nous aurons l’occasion de dialoguer avec Hortense Moisand et Odile Obled-Dupeyré pionnières du mentorat dans leur association Constellation-médiation et de réagir aux dessins d’Eric Grelet dans sa conf’errance sur le mentorat en général

L’accès est libre avec quatre formes de billets :

_ billet gratuit ;

_ billet avec attestation de formation (20 €)

_ billet avec adhésion à l’association Al-Amiable (20 €)

_ billet avec contribution au fonds de solidarité des modes amiables (paiement libre) (Extrait de eventbrite.fr)

Inscription gratuite sur https://www.eventbrite.fr/e/billets-palabres-sur-le-mentorat-en-mediation-1217646676989

Webinaire : « Les techniques de gestion de conflit en médiation sociale : Comment organiser une «médiation» ? Quelle méthodes pour arriver à un accord entre les médiés ? » organisé par l’ANCT – Agence nationale de la cohésion des territoires et France Médiation, le 06 février de 13h30 à 14h30.


Lien de connexion : https://urlr.me/qz5Hy

Extrait de https://www.linkedin.com/posts/france-m%C3%A9diation_webinaire-activity-7288114493086171136-9mpX/?utm_source=share&utm_medium=member_android

« L’alliance thérapeutique comme levier en médiation (partie 1) » par Jean Poitras, Psychologue et expert en gestion de conflits


« Lors de mes études en psychologie, j’ai exploré l’alliance thérapeutique, un concept clé dans la relation entre le psychologue et son client. Notre recherche portait sur les étapes nécessaires pour la construire et a montré son importance dans l’établissement de la confiance. Ce concept a également été étudié dans des contextes comme la relation médecin-patient. En médiation, j’ai souvent appliqué ces apprentissages, ce qui m’a aidé à créer des relations solides avec les parties. En le partageant avec des collègues, j’ai pu constater à quel point ce modèle était utile. Je le présente ici dans l’espoir qu’il puisse nourrir une réflexion constructive. » (Extrait de linkedin.com du 13/01/2025)

En savoir plus sur https://www.linkedin.com/pulse/lalliance-th%C3%A9rapeutique-comme-levier-en-m%C3%A9diation-partie-jean-poitras-mp0de/?trackingId=5VPYQRbwQzSioUJfeYhxzQ%3D%3D

Webinaire ANM (rediffusion): « Pourquoi et comment rendre la médiation contraignante ? Une perspective québécoise » par Marie-Claire BELLEAU, Professeure à l’Université de Laval, Médiatrice et arbitre accréditée, le 5/12/2024


« Ce webinaire a eu lieu le jeudi 5 décembre 2024, de 18h30 à 19h30.

Il était animé par Mahé MAS-GAUCHEROT, Enseignante et chercheuse, médiatrice, co-déléguée régionale de l’ANM en région PACA, qui a échangé avec Marie-Claire BELLEAU, Professeure titulaire à la faculté de droit de l’Université de Laval, Médiatrice et arbitre accréditée sur le thème « Pourquoi et comment rendre la médiation contraignante ? Une perspective québécoise ».

Ce webinaire s’appuyait notamment sur une étude comparative menée par la Professeure Belleau, qui visait à identifier les moyens de rendre la médiation obligatoire. Il était donc question d’aborder les différentes approches en la matière, et d’échanger sur les confrontations qu’il pourrait pourtant y avoir avec la liberté d’entrer ou non en médiation. « (Extrait ANM)

Webinaire à consulter surhttps://anm-mediation.com/page-contenu-categorie.php?id=432155

« Pourquoi traiter différemment les parties est-il nécessaire en gestion de conflits ? » par Jean Poitras, psychologue et expert en gestion de conflits (conflits-strategies.com)


« Les conflits s’avèrent souvent inégaux. Cela veut dire que les deux personnes en désaccord n’ont pas les mêmes forces ou ressources. Cette différence, qu’on appelle asymétrie, peut rendre la résolution d’un désaccord plus complexe. Le rôle du médiateur ou de la médiatrice consiste alors à intervenir pour rétablir un certain équilibre, même si l’égalité parfaite se révèle impossible.

Le premier type d’asymétrie est lié au pouvoir. Dans ce cas, une des personnes jouit d’un net avantage sur l’autre. Cette domination peut venir d’une position hiérarchique plus élevée, comme dans un conflit au travail, ou d’un accès à des ressources plus importantes. Cette inégalité devient problématique quand l’écart se révèle trop grand. L’individu en position de force peut alors refuser de négocier, pensant qu’elle peut imposer sa volonté. Le médiateur doit donc trouver des moyens de réduire cette différence de pouvoir. Cela peut inclure de donnée à la partie désavantagée plus d’outils pour davantage se défendre. Si le tiers neutre n’opère pas cet ajustement, les protagonistes éprouveront de la difficulté à trouver un compromis. »(Extrait de linkedin.com 12/12/2024)

En savoir plus sur https://www.linkedin.com/pulse/pourquoi-traiter-diff%C3%A9remment-les-parties-est-il-en-gestion-poitras-balpe/

« Le défi d’équilibrer une relation de pouvoir en médiation » par Jean Poitras, psychologue et expert en gestion de conflits


« En gestion des conflits, les situations où l’une des parties dispose de plus de pouvoir que l’autre s’avèrent fréquentes. Cette domination peut se manifester de différentes façons. D’abord, elle peut se révéler structurelle, comme une position hiérarchique supérieure, ou encore liée aux ressources. Elle peut aussi relever de l’accès à des spécialistes ou des avocats. Finalement, elle peut résulter des différences de personnalité, avec une personne plus affirmée face à une autre plus introvertie. Dans de tels cas, le médiateur peut être tenté de contrebalancer ces dynamiques pour garantir un processus plus équitable.

Avant de détailler les stratégies de rééquilibrage possibles, faire un lien avec les philosophies de médiation s’avère important. Certaines écoles de pensée considèrent que le tiers neutre ne doit jamais intervenir dans les dynamiques de pouvoir, au risque de compromettre son impartialité. D’autres approches, en revanche, préconisent une intervention plus engagée, où le tiers neutre agit pour garantir un dialogue ou le rapport de force est pondéré, sans pour autant prendre parti. Ici, nous ne départageons pas ces visions, mais présentons des stratégies qui visent uniquement à rééquilibrer l’équité du processus, et non les relations de pouvoir entre les parties. » (Extrait de linkedin.com du 15/12/2024)

En savoir plus sur https://www.linkedin.com/pulse/le-d%C3%A9fi-d%C3%A9quilibrer-une-relation-de-pouvoir-en-jean-poitras-duaue/?trackingId=7c4iswySTbq8a2%2FKHtaznw%3D%3D

Article : « Confiance, émotion et communication non verbale en médiation, le virtuel est-il à la hauteur? » par Annie LEBEAU et Vincent DENAULT, Revue de droit de l Université de Sherbrooke, N°53, Novembre 2024, pp. 259-365


Résumé :

En mars 2020, la pandémie de COVID-19 et la mise en place de mesures
de distanciation physique ont changé le rapport à autrui. Progressivement,
certaines rencontres virtuelles sont devenues la norme, si bien que malgré
l’amélioration de la situation sanitaire, plusieurs organisations ont maintenu
le télétravail. Les modes de prévention et de règlement des différends (PRD)
en ligne, quant à eux, ont fait l’objet d’une attention accrue. Mais les
médiations virtuelles représentent-elles un substitut adéquat aux médiations en
personne? Plus spécifiquement, nous tenterons de mieux comprendre comment
l’établissement du lien de confiance et la reconnaissance des émotions lors
de médiations intégratives peuvent être influencés par la tenue de médiations
virtuelles. Dans un premier temps, nous présentons un survol des écrits en
droit et PRD au sujet de deux importants facteurs de succès de la médiation
intégrative, soit l’établissement du lien de confiance et la reconnaissance des
émotions. Par la suite, nous présentons l’état de la connaissance sur ces mêmes
sujets, mais cette fois-ci, nous nous tournons vers la littérature scientifique sur
la communication non verbale. Dans un troisième temps, nous expliquons en
quoi les recherches sur la communication non verbale permettent de développer
une vision globale de la médiation virtuelle. Finalement, nous posons un regard
critique sur l’enjeu de la médiation virtuelle, et nous concluons en formulant
des recommandations à l’intention des médiateurs (Extrait)



Article à consulter sur https://www.researchgate.net/publication/385629204_Confiance_emotion_et_communication_non_verbale_en_mediation_le_virtuel_est-il_a_la_hauteur

Formation CEMA : « Situations de blocage et ressources en Médiation » le 14/12/2024, avec Bertrand DELCOURT, Président du CEMA


« Dans toute mission de médiation, quel que soit le domaine, le cadre d’intervention, le nombre de parties prenantes, le niveau de complexité du conflit, le médiateur peut être confronté à des comportements bloquants, à des attitudes contreproductives de l’un des participants, qu’il éprouve des difficultés à surmonter.

Si, dans une certaine mesure, se préparer à la médiation c’est se préparer à l’imprévu, si la pertinence de la posture du médiateur ne se ramène pas tant à l’acquisition d’« outils » qu’au développement de son savoir-être, il n’en demeure pas moins que certaines situations de blocage peuvent être anticipées. On peut les envisager, s’y confronter ensemble pour bénéficier du retour d’expérience de praticiens plus éprouvés et accroître ses ressources intérieures.

C’est ce à quoi invite cette journée de formation qui empreinte à l’analyse de pratique en questionnant les écueils que chacun identifie pour soi-même.

Objectifs de la Formation
  • Accroître la confiance du médiateur en lui-même ;
  • Cultiver sa neutralité, son impartialité ;
  • Faire face à l’imprévu.
  • (Extrait de cemaphores.org)

En savoir plus sur https://cemaphores.org/situation-blocage-ressources-mediation/

« Directeurs juridiques : 10 mauvaises raisons de ne pas utiliser la médiation en cas de litige » (cmap.fr)


« La médiation reste encore trop méconnue, alors qu’elle offre de nombreux avantages pour résoudre les litiges : rapidité, confidentialité, coût limité et suppression de l’aléa judiciaire.

Cependant, certaines idées reçues freinent encore son adoption.

💡 Dans son dernier article, Jean Luc Petit, médiateur CMAP – Médiation et Arbitrage, met en lumière les obstacles auxquels peuvent être confrontés les directeurs juridiques et explique pourquoi ces réticences ne devraient pas freiner l’utilisation de la médiation.

Voici les 10 mauvaises raisons que l’on entend souvent :
1.     Je ne connais pas la médiation.
2.     Nous n’avons pas besoin d’un tiers pour négocier.
3.     Les enjeux personnels internes à l’entreprise sont trop forts.
4.     L’antagonisme est trop fort.
5.     La médiation est un aveu de faiblesse.
6.     La médiation n’est pas adaptée aux litiges complexes.
7.     La procédure est déjà lancée… il est trop tard !
8.     Nous sommes certains de gagner au tribunal !
9.     Une décision judiciaire est plus claire.
10.   Notre avocat nous pousse au contentieux.

Et pourtant… La médiation est une solution pragmatique, efficace et souvent bien plus avantageuse que le contentieux !
🔹 69 % des médiations aboutissent à un accord (CMAP).
🔹 Durée moyenne d’une médiation : 14 heures, contre 36 mois pour une procédure judiciaire. » (Extrait)

En savoir plus sur https://www.linkedin.com/posts/cmap-centre-de-m-diation-et-d-arbitrage-de-paris_10-mauvaises-raisons-de-ne-pas-utiliser-la-activity-7270765455571668992-lT9u/?utm_source=share&utm_medium=member_android

« Constatation et déclarations dans le cadre d’une médiation » par Nicolas Charrel, Avocat – Médiateur (Contrats Publics n°255 juillet août 2024)


« 𝗠𝗘𝗗𝗜𝗔𝗧𝗜𝗢𝗡 𝗘𝗧 𝗖𝗢𝗡𝗙𝗜𝗗𝗘𝗡𝗧𝗜𝗔𝗟𝗜𝗧𝗘 : 𝗟𝗘 𝗖𝗢𝗡𝗦𝗘𝗜𝗟 𝗗’𝗘𝗧𝗔𝗧 𝗥𝗘𝗡𝗩𝗘𝗥𝗦𝗘 𝗟𝗘 𝗣𝗥𝗜𝗡𝗖𝗜𝗣𝗘 𝗗𝗘 𝗖𝗢𝗡𝗙𝗜𝗗𝗘𝗡𝗧𝗜𝗔𝗟𝗜𝗧𝗘. 𝗟𝗲 𝗺𝗲́𝗱𝗶𝗮𝘁𝗲𝘂𝗿 𝗲𝘁 𝗹𝗲𝘀 𝗽𝗮𝗿𝘁𝗶𝗲𝘀 𝗱𝗼𝗶𝘃𝗲𝗻𝘁 𝗴𝗲́𝗿𝗲𝗿 𝗹𝗮 𝗰𝗼𝗻𝗳𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁𝗶𝗮𝗹𝗶𝘁𝗲́ 𝗱𝗲𝘀 𝗰𝗼𝗻𝘀𝘁𝗮𝘁𝘀 𝗱𝗲 𝘁𝗶𝗲𝗿𝘀 𝗻𝗼𝘁𝗮𝗺𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗲𝗻 𝗰𝗮𝘀 𝗱’𝗲𝘅𝗽𝗲𝗿𝘁𝗶𝘀𝗲 𝗲𝗻𝗰𝗮𝗽𝘀𝘂𝗹𝗲́𝗲 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗲 𝗽𝗿𝗼𝗰𝗲𝘀𝘀𝘂𝘀 𝗱𝗲 𝗺𝗲́𝗱𝗶𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻. La #confidentialité est fondamentale en médiation : elle permet de libérer la parole, aide à partager des solutions possibles si… et rassure les parties pour leur permettre de trouver un accord sur leur différend. Découvrez mon commentaire critique de l’avis du CE du 14 novembre 2023, rendu sur conclusions contraires du rapporteur public, qui fragilise la confiance des parties sur la confidentialité pourtant fondamentale dans médiation. Tous les objets de la médiation sont concernés. » (Extrait linkedin.com 20/10/2024)

Article à consulter sur https://www.linkedin.com/posts/fabrice-vert-8705b8212_m%C3%A9diation-et-confidentialit%C3%A9-avis-ce-14-11-activity-7255928210515718144-YRS2?utm_source=share&utm_medium=member_android

« La médiation et la confidentialité » par Jean-Louis Lascoux (village-justice.com)


« La confidentialité est essentielle en médiation, offrant aux parties un espace sécurisé pour échanger librement. Cependant, des exceptions et confusions existent, en particulier entre médiation et conciliation. Pour préserver l’intégrité de la médiation, il est crucial de renforcer les garanties de confidentialité et d’éduquer les acteurs concernés.

En matière de résolution des différends pouvant être judiciarisés ou non, la médiation repose sur un principe fondamental : la confidentialité. Ce cadre protecteur, garant de la neutralité du médiateur et de la liberté des échanges, est mis en question par des pratiques qui brouillent sa portée et des débats juridiques qui prennent de l’ampleur. Ce texte examine les implications de ces défis, en passant par les contextes du travail, notamment dans le domaine de la médiation de la consommation.

Au sommaire de cet article…

(Extrait de village-justice.com du 19/11/2024)

En savoir plus sur https://www.village-justice.com/articles/mediation-confidentialite,51478.html