PUBLICATION DU NUMÉRO 2 DE LA REVUE DES MEDIATIONS : MÉDIATIONS ET DIVERSITE CULTURELLE – 2ème PARTIE : DE LA PRATIQUE (ETE 2023), 79P


Nous avons le plaisir de vous annoncer la publication du 2ème numéro de la Revue des Médiation . Ce numéro constitue la 2ème partie du précédent numéro ayant pour thème « Médiations et diversité culturelle » . La « Revue des Médiations » qui remplace la Lettres Médiations, est une revue électronique de langue française fondée par des médiateurs et des chercheurs français avec la participation de représentants de pays francophones comme le Québec, la Belgique, le Luxembourg et la Suisse. Nous nous sommes limités dans un premier temps à quelques pays francophones et nous cherchons des correspondants d’autres pays. Si vous êtes intéressés merci de nous contacter à RevueDesMediations@gmail.com;

Le comité de rédaction

Revue des médiations N°2 sur « Médiations et diversité culturelle- 2ème partie : la pratique » à télécharger sur https://www.observatoiredesmediations.org/Asset/Source/refBibliography_ID-159_No-01.pdf

Revue des médiations N°1 sur « Médiations et diversité culturelle – 1ère partie : Approches théoriques » à télécharger sur https://www.observatoiredesmediations.org/Asset/Source/refBibliography_ID-157_No-01.pdf

Les précédents numéros peuvent être téléchargés sur

Lettre des Médiations N° 11 sur médiation et innovations à télécharger suhttps://www.observatoiredesmediations.org/Asset/Source/refBibliography_ID-155_No-01.pdf

Lettre des Médiations N° 10 sur la médiation dans le domaine international à télécharger sur  https://www.observatoiredesmediations.org/Documentation/Bibliographie?ID=151

Lettre des Médiations N° 9 sur la médiation dans le domaine de l’environnement dans le monde francophone à télécharger sur https://www.observatoiredesmediations.org/coreWeb/docReader/myReader.php?fID=refBibliography_ID-146_No-01.pdf

Lettre des Médiations N° 8 sur la médiation dans le domaine de la santé dans le monde francophone à télécharger sur https://www.observatoiredesmediations.org/Asset/Source/refBibliography_ID-134_No-01.pdf

Lettre des Médiations N° 7 sur la médiation dans le champ pénal dans le monde francophone à télécharger sur https://www.observatoiredesmediations.org/Documentation/Bibliographie?ID=128


Lettre des Médiations N° 6 sur la médiation de la consommation dans le monde francophone à télécharger sur https://www.observatoiredesmediations.org/Asset/Source/refBibliography_ID-115_No-01.pdf


Lettre des Médiations N° 5 sur la médiation des relations de travail dans le monde francophone à télécharger sur https://www.observatoiredesmediations.org/Asset/Source/refBibliography_ID-108_No-01.pdf

Lettre des Médiations N° 4 sur la médiation interentreprise dans le monde francophone à télécharger sur https://www.observatoiredesmediations.org/Asset/Source/refBibliography_ID-40_No-01.pdf


Lettre des Médiations N° 3 sur la médiation familiale dans le monde francophone à télécharger sur https://www.observatoiredesmediations.org/Asset/Source/refBibliography_ID-116_No-01.pdf


Lettre des Médiations N° 2 sur les médiations sociales à télécharger sur https://www.observatoiredesmediations.org/Asset/Source/refBibliography_ID-56_No-01.pdf


Lettre des Médiations N° 1 sur les médiation scolairesà télécharger sur https://www.observatoiredesmediations.org/coreWeb/docReader/myReader.php?fID=refBibliography_ID-51_No-01.pdf

L’Institut de la Médiation dans l’Espace Francophone (IMEF)


L’IMEF semblerait avoir été créé en 2010 mais depuis 2015 il n’y aurait plus d’activité publique (note LDM)

« Genèse

L’Institut de la Médiation dans l’Espace Francophone (IMEF) est né de la volonté d’une communauté de professionnels et d’institutions partenaires partageant l’ambition de développer la médiation comme un puissant vecteur de changement de société, étroitement lié au dessein fondateur de la francophonie.

La volonté d’une communauté constituée autour de la médiation à partir d’une série de rencontres en Europe

La vision de la médiation que souhaite promouvoir l’IMEF s’appuie en premier lieu sur une communauté de professionnels, riche d’une grande diversité d’expériences et d’orientations, qui lui a donné naissance :

Principalement issus de pays francophones (Canada, France, Belgique, Suisse…) ou souhaitant promouvoir le développement de la médiation dans l’espace francophone, ces professionnels proviennent d’une grande variété d’horizons : avant tout médiateurs, avocats, magistrats, consultants, formateurs et coachs, également chercheurs en médiation et gestion des conflits, sociologues, universitaires, dirigeants et responsables d’entreprises, d’institutions, de collectivités territoriales, d’associations…

L’IMEF s’est construit en fédérant progressivement tous ces professionnels de la médiation au fil d’une série de rencontres internationales organisées depuis 2010 en Europe. Ces rencontres successives ont été conçues de façon à croiser les apports des sciences sociales – sociologie, psychologie, droit, philosophie,… – pour prendre la mesure des expériences de médiation et permettre aux professionnels de s’ouvrir à de nouvelles compréhensions. Au final, émergea de ces rencontres, une vision de la médiation, communément partagée entre les membres de l’IMEF.

Cette série de rencontres a fait émerger :

  • Une vision partagée de la médiation définie comme un mode approprié de prévention et de règlement amiable des différends, qui responsabilise les personnes et/ou les parties et met en valeur la citoyenneté active et responsable.
  • La volonté de construire une théorie générale de la médiation, enallant au-delà du cadre judiciaire des conflits et en traitant leur prévention, et plus largement, en fédérant toutes les pratiques de médiation qui se situent sur l’axe des métiers de l’accompagnement relationnel (comme la médiation judiciaire et la médiation conventionnelle, la médiation organisationnelle, la médiation en contexte d’autorité, la médiation de projet, la prévention des différends, …)
  • Un projet commun de création d’une « maison des médiations », qui œuvrerait à la promotion et au développement de la médiation dans l’espace francophone et réunirait des praticiens et des enseignants, lors d’activités de niveau international.
  • Un intérêt partagé à promouvoir les objectifs, méthodes et outils de la médiation au travers de toute forme d’activité humaine susceptible de les intégrer, en jouant le rôle de « passeur d’idées ».

Une vision de la médiation inscrite au cœur du projet de la francophonie

La création d’un espace francophone de la médiation prend racine dans la profonde convergence entre cette vision de la médiation et le projet de la francophonie :

Issu de la société civile, le mouvement de la francophonie est porté par un double héritage commun : les valeurs humanistes de paix, de solidarité, de coopération affirmées notamment par la déclaration universelle des droits de l’homme de 1948, et la langue française, langue diplomatique historique et outil de communication, de réflexion, de création et d’échange d’expériences, outil qui serait partagé sur les 5 continents.

La Francophonie vise à mettre les liens entre ses membres au service de la paix, en instituant un espace de dialogue, de coopération et de partenariat dans le respect de la diversité des peuples, des cultures et des nombreuses langues en usage dans l’espace francophone.

La Charte de la francophonie[1] met notamment l’accent sur le renforcement des capacités des états de droit et sur le développement – au-delà du dialogue entre les cultures – d’une culture du dialogue, enracinée dans la diversité de l’espace francophone.

L’Organisation internationale de la Francophonie s’attache à articuler la démocratie, le respect des droits humains, la paix et le développement durable (Déclaration de Bamako). Elle participe à la prévention des conflits, à l’accompagnement des sorties de crises et des transitions, au renforcement de la protection des civils et à la consolidation de la Paix (Déclaration de Saint Boniface, Québec). Elle privilégie l’instauration d’un dialogue interculturel, propre à créer une solidarité, et d’une diplomatie préventive. Elle participe au Conseil des Droits de l’Homme et à la Commission de consolidation de la Paix institués dans le cadre des Nations Unies.

Au niveau de la citoyenneté comme dans les relations internationales, le projet francophone articule ainsi très étroitement médiation, démocratie et paix et privilégie par principe la prévention et la médiation, la sanction restant un recours ultime et exceptionnel.


[1] Adoptée par l’OIF lors du VIIème sommet de la Francophonie en novembre 1997 à Hanoï (Vietnam), puis révisée lors de la XXIème conférence ministérielle de la Francophonie en novembre 2005 à Antananarivo (Madagascar). »

(Extrait de /imefblog.wordpress.com/)

En savoir plus sur https://imefblog.wordpress.com/

Création de l’Association Francophone Internationale de Médiation (AFIM) le 13 septembre 2022 à Genève


« L’Association de Médiation Internationale Francophone («Association Francophone Internationale de Médiation” / “AFIM”) a été créée le 13 septembre 2022 à Genève, en Suisse, comme une évolution de la section romande de la Chambre suisse de médiation commerciale (« SKWM/CSMC/SCCM »). L’objectif de l’organisation est de créer un réseau international de médiateurs francophones accrédités ou en formation, et d’étendre la pratique réussie des petits déjeuners de médiation (« P’tit Déjeuner de la médiation“) à un public plus large de médiateurs francophones à travers le monde.

(….)

L’organisation offrira mensuellement « P’tit déjeuner de la médiation” séances. Si la médiation commerciale et internationale restera au centre des discussions, le champ des petits-déjeuners de médiation sera élargi à tout médiateur exerçant dans d’autres zones et au-delà de la Suisse. Ces sessions sont gratuites pour tous les membres de l’AFIM et les membres de ses entités coopérantes.

Le prochain petit-déjeuner de médiation aura lieu le Wednesday, Octobre 12th 2022 from 08h15-09h30 Heure d’Europe centrale (CET) avec Aloysius Goh, Médiatrice certifiée IMI et avocate en médiation, et fondatrice de Sage Médiation Pte Ltd (SG), un IMI MA QAP. M. Goh s’exprimera sur « Sujets d’actualité concernant la Convention de Singapour”. L’événement se déroulera en anglais, avec des sous-titres simultanés en français.

Accédez à l’événement via le lien ZOOM : https://us02web.zoom.us/j/2035501758?pwd=MS80VzgwUTBWdHQ3aVhyTFQxY1lCdz09.  » (Extrait de imimediation.org du 19/10/2022)

En savoir plus sur https://imimediation.org/fr/2022/10/11/association-of-francophone-international-mediation-afim-established/

Sénégal – L’attrait des maisons de Justice : 75% de médiation sur 175 mille dossiers, 1 million d’usagers


« Près d’un million d’usagers et plus de 200 mille personnes accueillies et informées sur leurs droits, 75% de médiations réussis. Tels sont, entre autres chiffres, les résultats enregistrés de l’activité des maisons de Justice pour la séquence 2006-2021. C’est Amaury Hoste, chef d’équipe Gouvernance et stabilité à l’Union européenne (Ue), qui l’a fait savoir lundi. «Au Sénégal, le dispositif de Justice de proximité constitue une véritable référence au regard des résultats importants enregistrés. En quinze ans, de 2006 à 2021, près d’un million d’usagers ont fréquenté les maisons de Justice et plus de 200 000 personnes ont été accueillies et informées sur leurs droits. Le résultat des médiations est de l’ordre de 75%, sur plus de 175 000 dossiers traités», a-t-il expliqué lors de l’inauguration de la Maison de justice de Bambilor.

12 nouvelles maisons pour faciliter la Justice de proximité 
Le ministère de la Justice, dans le cadre du projet de l’Union européenne en appui au renforcement de l’Etat de droit (Pared), a entamé, depuis le 18 mars, une série d’inaugurations de 12 maisons de Justice sur le territoire national, pour conforter les bons résultats enregistrés par la Justice de proximité. «Nous sommes là aujourd’hui, au nom du Garde des sceaux, pour inaugurer la Maison de la justice de Bambilor. Depuis 2 semaines, le ministère de la Justice est dans un processus d’inauguration de 12 maisons de la Justice», a noté Aissé Gassama Tall, Secrétaire générale du ministère de la Justice, indiquant que Saint-Louis, Ourossogui et Richard Toll auront les leurs. » -A. B. NDIAYE (Extrait de lequotidien.sn du 13/04/2022)

En savoir plus sur https://lequotidien.sn/75-de-mediation-sur-175-mille-dossiers-1-million-dusagers-lattrait-des-maisons-de-justice/

PUBLICATION DU NUMÉRO 11 DE LA LETTRE DES MÉDIATIONS : MÉDIATION ET INNOVATION (AOUT 2021), 75P.


Nous avons le plaisir de vous annoncer la publication du 11ième numéro de la lettre des médiations consacré aux innovation dans la médiation . Cette « lettre des médiations » est une revue électronique de langue française fondée par des médiateurs et des chercheurs français avec la participation de représentants de pays francophones comme le Québec, la Belgique, le Luxembourg et la Suisse. Nous nous sommes limités dans un premier temps à quelques pays francophones et nous cherchons des correspondants d’autres pays. Si vous êtes intéressés merci de nous contacter à letmed@numericable.fr

Le comité de rédaction

Lettre des Médiations N° 11 sur médiation et innovations à télécharger sur https://www.observatoiredesmediations.org/Asset/Source/refBibliography_ID-155_No-01.pdf

ou sur https://www.observatoiredesmediations.org/Documentation/Bibliographie?ID=155

Les précédents numéros peuvent être téléchargés sur

Lettre des Médiations N° 10 sur la médiation dans le domaine international à télécharger sur  https://www.observatoiredesmediations.org/Documentation/Bibliographie?ID=151

Lettre des Médiations N° 9 sur la médiation dans le domaine de l’environnement dans le monde francophone à télécharger sur https://www.observatoiredesmediations.org/coreWeb/docReader/myReader.php?fID=refBibliography_ID-146_No-01.pdf

Lettre des Médiations N° 8 sur la médiation dans le domaine de la santé dans le monde francophone à télécharger sur https://www.observatoiredesmediations.org/Asset/Source/refBibliography_ID-134_No-01.pdf

Lettre des Médiations N° 7 sur la médiation dans le champ pénal dans le monde francophone à télécharger sur https://www.observatoiredesmediations.org/Documentation/Bibliographie?ID=128


Lettre des Médiations N° 6 sur la médiation de la consommation dans le monde francophone à télécharger sur https://www.observatoiredesmediations.org/Asset/Source/refBibliography_ID-115_No-01.pdf


Lettre des Médiations N° 5 sur la médiation des relations de travail dans le monde francophone à télécharger sur https://www.observatoiredesmediations.org/Asset/Source/refBibliography_ID-108_No-01.pdf


Lettre des Médiations N° 4 sur la médiation interentreprise dans le monde francophone à télécharger sur https://www.observatoiredesmediations.org/Asset/Source/refBibliography_ID-40_No-01.pdf


Lettre des Médiations N° 3 sur la médiation familiale dans le monde francophone à télécharger sur https://www.observatoiredesmediations.org/Asset/Source/refBibliography_ID-116_No-01.pdf


Lettre des Médiations N° 2 sur les médiations sociales à télécharger sur https://www.observatoiredesmediations.org/Asset/Source/refBibliography_ID-56_No-01.pdf


Lettre des Médiations N° 1 sur les médiation scolairesà télécharger sur https://www.observatoiredesmediations.org/coreWeb/docReader/myReader.php?fID=refBibliography_ID-51_No-01.pdf

L’AOMF s’est réunie à la Principauté de Monaco pour une conférence: « Protéger les droits des générations futures : quel rôle pour les Ombudsmans ? »


« Le Haut-commissariat à la protection des droits, des libertés et à la médiation de la Principauté de Monaco accueille les 12 et 13 juillet 2021 une conférence de l’Association des Ombudsmans et Médiateurs de la Francophonie sur le thème suivant : « Protéger les droits des générations futures : quel rôle pour les Ombudsmans ? »

Considérant la multiplication des marches pour le climat et le rajeunissement de ce phénomène croissant de manifestations ces dernières années, les décideurs politiques sont interrogés sur leurs responsabilités envers leurs citoyens quant aux enjeux vitaux que sont la préservation de la planète et de l’humanité.

Dans de nombreux pays, les acteurs politiques, dont les décisions tendent à être majoritairement dictées par le court-termisme et les cycles électoraux, peinent à prendre en considération les besoins des jeunes générations n’ayant pas encore accès au droit de vote, et plus encore ceux des générations à naître qui ne sont par définition pas reconnues comme des sujets de droit. Au plan international, les déclarations et conventions incorporant un principe de responsabilité envers les générations futures revêtent encore pour la plupart une dimension essentiellement symbolique. Lorsque des engagements sont pris, notamment dans le domaine de la lutte contre le réchauffement climatique dont les effets irréversibles sur les écosystèmes s’annoncent dévastateurs, leur mise en œuvre reste incertaine et conditionnée dans les faits à l’adhésion et aux efforts de tous les Etats, dont certains parmi les plus pollueurs et consommateurs de ressources continuent de fermer les yeux sur leur responsabilité environnementale, ne permettant que mal d’enrayer une fuite en avant.

Mettre en œuvre et garantir le respect des droits humains aujourd’hui ne peut dès lors plus s’envisager sans protéger les droits fondamentaux des générations de demain. Au côté des actions en justice que l’on a vu prospérer ces dernières années dans un certain nombre de pays, visant sous l’impulsion de la société civile à contraindre les autorités à des mesures concrètes pour protéger le devenir des citoyens, d’autres mécanismes doivent pouvoir entrer en jeu pour parvenir plus largement à inscrire dans la réalité le concept de justice intergénérationnelle, tant dans ses aspects sociaux qu’environnementaux, et partant la représentation, même indirecte, des générations à venir.

Dans ce cadre, la figure de l’Ombudsman est apparue pour certains comme une voie possible pour donner corps à la défense des intérêts des jeunes générations et de celles à venir.

Cette rencontre s’articule autour de trois axes de réflexions. D’abord la thématique « Démocratie et équité transgénérationnelles : quelle représentation pour les générations futures ? » est nourrie par des réflexions d’Emilie GAILLARD, Maître de Conférences en droit privé à Sciences Po Rennes, Coordinatrice Générale de la Chaire Normandie pour la Paix et co-auteure de l’ouvrage Legal Actions for Future Generations , de Charles GIRARD, Philosophe, Maître de Conférences en philosophie du droit à l’Université Jean Moulin de Lyon et d’Axel GOSSERIES, Maître de recherche FNRS, Professeur extraordinaire de droit à Louvain et co-auteur de l’ouvrage Institutions for Future Generations, sous la modération d’Anne Eastwood, Haut-commissaire à la protection des droits, des libertés et à la médiation de la Principauté de Monaco.

Dans un deuxième temps, la thématique « Quelles possibilités d’action pour l’Ombudsman dans la défense des droits fondamentaux étendus aux générations futures ? » a été nourrie par Daniel AGACINSKI, Délégué Général à la Médiation des services publics au sein du Défenseur des droits (France), Erinda BALLANCA, Avocate du Peuple (Albanie), Mohamed BENYAHYA, Conseiller du Médiateur du Royaume du Maroc, Edouard NDUWIMANA, Ombudsman de la République du Burundi, Akos KOZMA, Commissaire pour les droits fondamentaux de Hongrie, Sophie HOWE, Commissaire pour les générations futures du Pays-de-Galles et Ahmed ALLOUCH, Conseiller auprès de l’Assemblée constituante tunisienne, Vice-Président et directeur de projet du Think Tank Jeunesse Sans Frontières, sous la modération de Marc Bertrand, Médiateur de la Fédération Wallonie et Wallonie-Bruxelles (Belgique) et Vice-président de l’AOMF.

Enfin, la thématique « La protection des droits fondamentaux en période de pandémie : exemples concrets et enjeux pour l’avenir » a été animée par Claire Hédon, Défenseure des droits de France et Secrétaire général de l’AOMF, par un échange avec Jérôme AASS, Médiateur Fédéral de Belgique, Alioune Badara CISSÉ, Médiateur de la République du Sénégal, Awa AMADOU ABOUDOU, Médiateur de la République du Togo , Bernard DE VOS, Délégué général aux droits de l’enfant de la Fédération Wallonie-Bruxelles (Belgique), Hery Philippe RAKOTOARISON, Chargé de mission auprès du Médiateur de la République de Madagascar et Sophie HOWE, Commissaire pour les générations futures du Pays-de-Galles. » (Extrait de aomf-ombudsmans-francophonie.org juillet 2021)

En savoir plus sur https://www.aomf-ombudsmans-francophonie.org/2021/07/12/laomf-sest-reuni-a-la-principaute-de-monaco-pour-une-conference-proteger-les-droits-des-generations-futures-quel-role-pour-les-ombudsmans/

PUBLICATION DU NUMÉRO 10 DE LA LETTRE DES MÉDIATIONS : MÉDIATION DANS LE DOMAINE INTERNATIONAL (AVRIL 2021), 72P.


Nous avons le plaisir de vous annoncer la publication du 10ème numéro de la lettre des médiations consacré à la médiation dans le domaine international. Cette « lettre des médiations » est une revue électronique de langue française fondée par des médiateurs et des chercheurs français avec la participation de représentants de pays francophones comme le Québec, la Belgique, le Luxembourg et la Suisse. Nous nous sommes limités dans un premier temps à quelques pays francophones et nous cherchons des correspondants d’autres pays. Si vous êtes intéressés merci de nous contacter à letmed@numericable.fr

Le comité de rédaction

Lettre des Médiations N° 10 sur la médiation dans le domaine international à télécharger suhttps://www.observatoiredesmediations.org/Documentation/Bibliographie?ID=151

ou https://www.observatoiredesmediations.org/coreWeb/docReader/myReader.php?fID=refBibliography_ID-151_No-01.pdf

Les précédents numéros peuvent être téléchargés sur

Lettre des Médiations N° 8 sur la médiation dans le domaine de la santé dans le monde francophone à télécharger sur https://www.observatoiredesmediations.org/Asset/Source/refBibliography_ID-134_No-01.pdfLettre des Médiations N° 7 sur la médiation dans le champ pénal dans le monde francophone à télécharger sur https://www.observatoiredesmediations.org/Documentation/Bibliographie?ID=128
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Lettre des Médiations N° 5 sur la médiation des relations de travail dans le monde francophone à télécharger sur https://www.observatoiredesmediations.org/Asset/Source/refBibliography_ID-108_No-01.pdf
Lettre des Médiations N° 4 sur la médiation interentreprise dans le monde francophone à télécharger sur https://www.observatoiredesmediations.org/Asset/Source/refBibliography_ID-40_No-01.pdf
Lettre des Médiations N° 3 sur la médiation familiale dans le monde francophone à télécharger sur https://www.observatoiredesmediations.org/Asset/Source/refBibliography_ID-116_No-01.pdf
Lettre des Médiations N° 2 sur les médiations sociales à télécharger sur https://www.observatoiredesmediations.org/Asset/Source/refBibliography_ID-56_No-01.pdf
Lettre des Médiations N° 1 sur les médiation scolairesà télécharger sur https://www.observatoiredesmediations.org/coreWeb/docReader/myReader.php?fID=refBibliography_ID-51_No-01.pdf

Appel à manifestations d’intérêt de l’AUF ; initiation à la médiation dans les universités


« Dans le cadre de la mise en œuvre de son projet « Dialogue interculturel au Moyen-Orient », l’Agence Universitaire de la Francophonie (AUF) au Moyen-Orient considère les actions de sensibilisation et de formation à la médiation comme pertinentes pour restaurer le dialogue et créer une dynamique de renforcement de capacités dans ce domaine au sein des établissements universitaires.

Dans cette perspective, l’AUF Moyen-Orient s’associe au Centre professionnel de Médiation (CPM) de l’Université Saint-Joseph de Beyrouth (USJ), premier centre universitaire de médiation au Liban, pour offrir aux étudiants, enseignants ou cadres administratifs de ses universités membres des activités de sensibilisation à la médiation, en mode virtuel en raison de la crise sanitaire mondiale.

L’objectif principal de cette action d’initiation à la médiation est de développer chez le public universitaire une écoute active et une capacité à mieux communiquer, mais aussi de diffuser une culture de paix et de dialogue dans les universités.

L’AUF Moyen-Orient publie cet appel à candidatures, qui a pour finalité d’identifier les établissements intéressés à co-organiser ce type d’atelier en ligne au profit de leur public estudiantin et académique.

Les demandes d’appui doivent être présentées dans le cadre d’un dossier rempli conformément au calendrier de l’appel à manifestations d’intérêt, téléchargeable depuis le site internet de l’AUF Moyen-Orient (www.auf.org/moyen-orient).

Calendrier

  • 20 janvier 2021 : Lancement, mise en ligne et diffusion de l’appel à candidatures par l’AUF
  • 25 février 2021 : Clôture de l’appel à candidatures
  • mi-mars 2021 : Sélection des demandes, publication des résultats
  • À partir de fin mars 2021 : Mise en œuvre des ateliers de formation jusqu’à fin 2021 (Extrait de auf.org/nouvelles du 20/01/2021)

En savoir plus sur https://www.auf.org/nouvelles/appels-a-candidatures/appel-manifestations-dinteret-initiation-la-mediation-dans-les-universites-2/

Catherine TIRVAUDEY (dir.), « Le rôle du juge en matière de MARD/PRD. Regards croisés Québec, Suisse, Belgique, France » Presses Universitaires de Franche-Comté, 190p. 20€


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Cet ouvrage, fruit d’un colloque qui s’est déroulé à Besançon en octobre 2018, s’intéresse à la perception et au recours aux MARD/PRD dans les juridictions française, canadienne (Québec), belge et suisse. Y sont abordés à la fois le choix opéré par le juge, préférant le mode amiable au contentieux classique, la manière de le mettre techniquement en œuvre et enfin ce qu’il modifie dans la mission du juge et dans la vision qu’il a de la justice. Approfondissant la réflexion sur une thématique innovante, ce livre vient en complément d’un ouvrage récent des PUFC sur les droits étrangers, notamment anglo-saxons, au secours des MARD/PRD

PUBLICATION DU NUMÉRO 9 DE LA LETTRE DES MÉDIATIONS : LA MÉDIATION DANS LE DOMAINE DE L’ ENVIRONNEMENT DANS LE MONDE FRANCOPHONE (JUIN 2020), 64p.


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Nous avons le plaisir de vous annoncer la publication du 9ème numéro de la lettre des médiations consacré à la médiation dans le domaine de l’environnement dans le monde francophone. Cette « lettre des médiations » est une revue électronique de langue française fondée par des médiateurs et des chercheurs français avec la participation de représentants de pays francophones comme le Québec, la Belgique, le Luxembourg et la Suisse. Nous nous sommes limités dans un premier temps à quelques pays francophones et nous cherchons des correspondants d’autres pays. Si vous êtes intéressés merci de nous contacter à letmed@numericable.fr

Le comité de rédaction

Lettre des Médiations N° 9 sur la médiation dans le domaine de l’environnement dans le monde francophone à télécharger sur https://www.observatoiredesmediations.org/coreWeb/docReader/myReader.php?fID=refBibliography_ID-146_No-01.pdf

Editorial : Pour une refondation de la médiation

Le numéro 9 de la Lettre des Médiations est consacré à la médiation dans le domaine de l’environnement et sa publication se fait dans un contexte particulier, celui de la pandémie provoquée par le Covid-19 qui a accru la crise sociale, économique et écologique que connaissaient nos sociétés depuis des années. Le contenu de ce numéro a été élaboré avant cette crise sanitaire et les auteurs n’ont pas pu intégrer cette nouvelle dimension dans leur article. Aussi, nous voudrions, dans le cadre de cet éditorial, apporter notre contribution à tous ces appels pour que « le monde d’après » ne soit plus celui « d’avant » et que la médiation prenne toute sa place dans la manière de « repenser » nos sociétés d’après pandémie notamment dans le domaine de l’environnement.

Cette nécessité de repenser la société, ou ce que l’on appelle communément le « vivre ensemble » se pose aussi pour le monde de la médiation et nous devons faire de cette période particulière que nous vivons, une opportunité pour réinterroger ce qui fonde
l’action des médiateurs et plus généralement repenser les paradigmes de la médiation. En effet, la médiation n’a pas échappé à ces phénomènes de spécialisation, de rationalisation, d’instrumentalisation par les pouvoirs politiques et économique, mais aussi de marchandisation en devenant un véritable marché… Il convient donc de repenser les fondements de la médiation, en partant de l’idée que ce n’est pas une simple technique de gestion des conflits mais un véritable système de régulation sociale permettant de gérer non seulement les relations entre les individus mais aussi les relations de ces derniers avec leur environnement (Bonafé-Schmitt).

L’environnement : le parent pauvre de la médiation

Si l’on se réfère au développement de la médiation depuis le milieu des années soixante-dix, on constate que la médiation dans le domaine de l’environnement, tout comme celui de la santé, sont les derniers nés de la grande famille de la médiation. En restant dans la
métaphore familiale, on peut même ajouter que l’environnement est le « parent pauvre » de la famill de la médiation, comme le montrent les articles de ce numéro sur l’évaluation de la place de la médiation environnementale dans les pays francophones (à l’exception toutefois du Québec). Ce constat est fait aussi bien par des chercheurs comme Sophie Allain et Fathi Ben Mrad que par des praticiens comme Jean-Paul Puyfaucher ou Laurent Thévoz et la situation n’a fait que se dégrader au fils des années. Si au cours des années 90, comme le souligne J-P Puyfaucher dans son article « la médiation environnementale semblait porteuse d’avenir. En 2020, le développement de la médiation environnementale ne semble pas avoir répondu à cette attente » (Puyfaucher). Il ajoute même qu’au Québec « on constate que le recours à la médiation est en recul ».
Pour tenter d’expliquer cette situation, nous serions tentés de dire que depuis les débuts de la médiation, les médiateurs se sont trop focalisés sur la relation sociale, c’est-à-dire la (re)création du lien social, en oubliant le lien qui nous unit à la nature et plus généralement à l’environnement. Il serait donc urgent de faire de la médiation environnementale une priorité, surtout en cette période de pandémie, d’aggravation des conditions climatiques, de gaspillage des ressources naturelles…car comme l’a écrit Fathi Ben Mrad, « les préoccupations environnementales lorsqu’elles deviennent des inquiétudes sociétales génèrent de la conflictualité » (Ben Mrad). Il ne s’agit pas pour nous de verser dans un discours naturaliste ou catastrophiste et de plaider pour une « médiation verte », mais de sortir de cette médiation autocentrée sur le lien social et de l’ouvrir à ce qui nous lie à la nature, à l’environnement.

La médiation doit se refonder autour de ces logiques à la fois sociale et environnementale, sans les opposer, ni les superposer, car la médiation a pour fonction, comme le rappelle Sophie Allain dans son article, de contribuer à la résolution de conflits afin de faciliter « la cohabitation d’êtres humains avec et dans leur environnement par un tiers neutre et indépendant, selon un processus reposant sur l’implication des parties prenantes » (Allain). Tout en partageant la définition de Sophie Allain nous serions tentés d’aller plus loin, car la médiation est souvent réduite à la régulation des conflits et on ne prend en compte les dimensions éducatives et préventives de celleci. Tout comme la médiation scolaire par les pairs qui peut s’apparenter à un processus éducatif en matière d’apprentissage de la citoyenneté par les élèves, la médiation environnementale pourrait être enseignée dans les écoles. Dans cette période de crise sanitaire, où l’apprentissage des « gestes barrières » dans les établissements scolaires est recommandé, on pourrait aussi concevoir en raison de la crise écologique, des « gestes de médiation » pour favoriser, par exemple, le compostage, le tri sélectif ou encore lutter contre la dégradation de la biodiversité.

 Un flou sémantique.

Pour faire de la médiation environnementale une priorité, il faut, en premier lieu, la sortir du flou sémantique dans laquelle elle se trouve depuis des années malgré les tentatives de chercheurs ou de praticiens pour en clarifier le contenu. Cela est surtout vrai dans les pays francophones, comme le montre l’état des lieux des différents pays dressés par les auteurs de ce numéro. Ainsi, en France, on parle le plus souvent de concertations, de débat public, de dialogue territorial… alors qu’en Suisse on parlerait de procédures de participation, d’initiative et de référendum…
Ce flou sémantique dissimule, en fait, la difficulté dans les pays francophones et même latins à l’image de l’Espagne, de l’Italie…de faire émerger une véritable médiation environnementale, c’est-àdire de redonner aux acteurs le pouvoir de gérer leurs conflits. C’est surtout vrai en France, ou l’Etat s’érige en défenseur de l’intérêt général face à une multitude d’intérêts particuliers et c’est pour cela qu’il limite les dispositifs de concertations, de dialogue… à la seule expression des points de vue des citoyens, mais sans leur donner un réel pouvoir de décision. Seul le Québec, avec le BAPE, se distingue des pays francophones, car la « Belle Province » s’est beaucoup inspirée des principes de médiation en vigueur dans les pays anglo-saxons à savoir que l’Etat n’est qu’un acteur parmi d’autres. On comprend dès lors que la médiation environnementale ne pourra se développer que si les Etats acceptent de redonner aux parties impliquées dans des conflits environnementaux le pouvoir de les gérer directement, c’est-à-dire de leur permettre de se réapproprier la gestion des conflits.

En second lieu, on retrouve le même flou sémantique autour de la notion d’environnement, qui a comme la médiation un caractère polysémique et il est nécessaire d’en cerner les contours pour ne pas se limiter aux espaces ruraux, car « elle peut aussi concerner les espaces maritimes, les espaces littoraux ou encore les espaces urbains » (Allain). A partir de cette approche, il est nécessaire, comme nous l’avons déjà souligné, de repenser les fondements de la médiation en ne se limitant pas au lien social, mais d’intégrer aussi le lien avec la nature, c’est-à-dire de ne pas nous en tenir au simple « contrat social, mais d’intégrer aussi ce que Michel Serres dénomme le « contrat naturel » (Serres). Pour ce faire, il convient de dépasser les approches binaires opposant nature et culture, le sujet et l’objet et d’adopter une approche ternaire. Et Sophie Allain, dans son article, nous donne une piste de réflexion en considérant que la médiation pourrait concerner « toute tension avérée ou possible entre des collectifs humains et leur environnement » (Allain). Selon elle, l’environnement peut être compris comme « milieu de vie pour homme et pour les espèces animales et végétales leur permettant d’assurer leur subsistance et leur reproduction, mais aussi comme ressource pour toutes les activités humaines ».

 Pour une médiation environnementale citoyenne.

Pour avancer dans cette refondation de la médiation, il est nécessaire de sortir des paradigmes traditionnels et de redéfinir les relations entre l’Etat et la société civile, c’est-à-dire de permettre aux citoyens de se réapproprier leur vie sociale mais aussi leur environnement. A l’instar de ce qui se passe en médiation scolaire ou de quartier, où les élèves et les habitants s’investissent dans les fonctions de médiation, les citoyens devraient aussi se réapproprier la gestion des conflits liés à l’environnement. En effet, la crise sanitaire provoquée par la pandémie du Covid19 est une preuve de plus de la faillite du modèle libéral, productiviste et consumériste. La sortie du confinement constitue une opportunité pour que les citoyens se donnent les moyens, à travers la médiation de redéfinir, les règles de vie en commun et ceci dans le respect de l’environnement. Cette démarche permettrait ainsi d’une manière graduelle d’élaborer et de faire évoluer au jour le jour, ce que l’on pourrait appeler un nouveau « pacte socio-environnemental ». Cela est possible car au cours de cette période de confinement, les citoyens, dans tous les pays touchés par la pandémie, ont fait preuve d’une certaine créativité dans la mise en œuvre de nouvelles solidarités au niveau des quartiers, des villages… (Bolis)

Pour continuer dans cette voie, il est nécessaire que les organisations de médiateurs, surtout dans les pays francophones, fassent leur « aggiornamento » en prenant vraiment en compte l’environnement, et en se mobilisant pour aider à la formation de ces « médiateurs-citoyens » seul moyen pour donner vie à ce « pacte socio-environnemental ». Pour parvenir à cet objectif, on ne part pas de rien, car il existe un certain nombre d’organisations francophones, comme le BAPE au Québec ou COMEDIE en France, qui œuvre dans le domaine de la médiation environnementale depuis des années. De même des fondations comme la Fondation de France, ont lancé des programmes dans le domaine de l’environnement ou encore la Fondation pour le Progrès en Suisse a financé des projets de médiation… Donc, toutes les conditions sont réunies pour que la médiation environnementale sorte de l’enfance et devienne « le grand frère » de la famille médiation et ceci pour le bien de tous.

Jean-Pierre Bonafé-Schmitt

Les précédents numéros peuvent être téléchargés sur :

Lettre des Médiations N° 8 sur la médiation dans le domaine de la santé dans le monde francophone à télécharger sur https://www.observatoiredesmediations.org/Asset/Source/refBibliography_ID-134_No-01.pdfLettre des Médiations N° 7 sur la médiation dans le champ pénal dans le monde francophone à télécharger sur https://www.observatoiredesmediations.org/Documentation/Bibliographie?ID=128
Lettre des Médiations N° 6 sur la médiation de la consommation dans le monde francophone à télécharger sur https://www.observatoiredesmediations.org/Asset/Source/refBibliography_ID-115_No-01.pdf
Lettre des Médiations N° 5 sur la médiation des relations de travail dans le monde francophone à télécharger sur https://www.observatoiredesmediations.org/Asset/Source/refBibliography_ID-108_No-01.pdf
Lettre des Médiations N° 4 sur la médiation interentreprise dans le monde francophone à télécharger sur https://www.observatoiredesmediations.org/Asset/Source/refBibliography_ID-40_No-01.pdf
Lettre des Médiations N° 3 sur la médiation familiale dans le monde francophone à télécharger sur https://www.observatoiredesmediations.org/Asset/Source/refBibliography_ID-116_No-01.pdf
Lettre des Médiations N° 2 sur les médiations sociales à télécharger sur https://www.observatoiredesmediations.org/Asset/Source/refBibliography_ID-56_No-01.pdf
Lettre des Médiations N° 1 sur les médiation scolairesà télécharger sur https://www.observatoiredesmediations.org/coreWeb/docReader/myReader.php?fID=refBibliography_ID-51_No-01.pdf

 

« Le recours à des modes informels de régulation : un« champ »limité ? Récits et expériences de médiateurs sociaux et d’intervenants en gestion de conflit au Québec et en Ontario » par Véronique Strimelle dans LEMONNE A., STRIMELLE V. et F. VANHAMME (Eds.) (2019). « Justice ! ». Conflits de savoirs, savoirs en conflit, Montréal : Érudit, Livres et Actes


Résumé
La recherche présentée dans le cadre de ce chapitre s’inscrit dans une réflexion plus globale portant sur les modes de régulation existant hors du cadre pénal. En analysant les propos de trente-deux médiateurs sociaux et intervenants assurant des services spécialisés en règlement des conflits, nous voulons mieux comprendre ce que font ces praticiens considérés comme alternatifs quand leur intervention est requise pour régler un conflit. Nous voulons aussi mieux comprendre les relations qu’ils entretiennent avec les autres organismes de régulation sociale, particulièrement quand leur savoir entre
en conflit avec les savoirs plus « reconnus » légalement. (Extrait de

article à consulter :https://www.erudit.org/en/books/hors-collection/justice-conflits-de-savoirs-savoirs-en-conflits/000290li.pdf