Apsis-Émergence propose, depuis une trentaine d’années, un service de médiation de voisinage (republicain-lorrain.fr)


« Apsis-Émergence propose, depuis une trentaine d’années, un service de médiation de voisinage. Les binômes de bénévoles cherchent à « (re)créer du lien entre les personnes » en conflit. « On les amène à prendre une décision », explique Maël Olszewski, chef de l’Espace Rencontres.

vous n’arrivez plus à communiquer avec votre voisin alors qu’un désaccord vous oppose ? L’association Apsis-Émergence peut vous venir en aide.

« La conflictualité augmente dans la société », note Maël Olszewski, chef de l’Espace Rencontres. Mais il regrette : « La médiation de voisinage, on n’y pense pas toujours. Pourtant, ça fait une trentaine d’années que ça existe. »- T Héberlé – (Extrait de republicain-lorrain.fr

En savoir plus sur https://www.republicain-lorrain.fr/societe/2023/12/20/la-mediation-de-voisinage-on-n-y-pense-pas-toujours

Conflits de voisinage : l’association Apsis-Émergence forme des médiateurs bénévoles (republicain-lorrain.fr)


« Alexia Maiset est médiatrice familiale et scolaire à Apsis-Émergence. Elle coordonne, sur Thionville, un petit groupe de médiateurs bénévoles de voisinage au sein de l’association.

Les médiateurs de voisinage permettent à des voisins en conflit de trouver des solutions acceptables pour chacun aux difficultés qui les opposent. » (Extrait de republicain-lorrain.fr du 6/11/2023)

En savoir plus sur https://www.republicain-lorrain.fr/societe/2023/11/06/conflits-de-voisinage-apsis-emergence-prone-la-mediation

Québec : La médiation, une solution miracle aux chicanes entre voisins (journaldemontreal.com)


« Les gens aux prises avec des conflits avec leurs voisins devraient opter pour la médiation afin de s’attaquer au cœur du problème et ainsi trouver des solutions qui ne sont pas nécessairement financières, affirment des experts. 

«La médiation permet d’aller bien au-delà du conflit juridique. Elle permet de régler aussi le conflit relationnel», indique Me Sylvianne Fréchette, vulgarisatrice juridique chez Éducaloi. 

Actuellement, une séance de médiation gratuite de trois heures est offerte à tous ceux qui ouvrent un dossier à la Division des petites créances de la Cour du Québec. Comme il s’agit d’une présence volontaire, les deux partis doivent être en accord pour y participer.  

(…)

Le ministre de la Justice, Simon Jolin-Barrette, a fait adopter un projet de loi au printemps dernier ayant comme but de la rendre obligatoire pour tous les dossiers dont la réclamation est de 5000$ ou moins. Cette nouvelle mesure entrera en vigueur à une date ultérieure. » – C. Payant -(Extrait de journaldemontreal.com du 4/09/2023)

En savoir plus sur https://www.journaldemontreal.com/2023/10/01/la-mediation-une-solution-miracle-aux-chicanes-entre-voisins

Vidéo : « quand des médiateurs sont appelés au secours dans les conflits de voisinage » (France 2 – E.Huin, A.Forveille, B.Blanc, A.Tranchant)


Vidéo à consulter sur https://www.francetvinfo.fr/societe/societe-quand-des-mediateurs-sont-appeles-au-secours-dans-les-conflits-de-voisinage_5988158.html

« La médiation pour gérer les litiges de voisinage », Caroline Theuil (journaldelagence.com)


Comment gérer un conflit de voisinage ?

« Si pendant de nombreuses années, l’affaire devait être portée devant les tribunaux, depuis le 1er janvier 2020 la loi de modernisation de la justice est venue rendre obligatoire, pour certains litiges, une tentative préalable de médiation, de conciliation ou de procédure participative. Il en va ainsi des différends relatifs aux troubles anormaux de voisinage ou tendant au paiement d’une somme n’excédant pas 5 000 €, au bornage, aux distances d’implantation des plantations ou à l’élagage d’arbres ou de haies, au curage des fossés et canaux servant à l’irrigation des propriétés ou au mouvement des usines et moulins, et à l’ensemble des autres cas prévus à l’article 750-1 du Code de procédure civile.

L’idée poursuivie par l’instauration de cette procédure est à n’en pas douter le désengorgement des tribunaux. Toutefois, cette nouvelle alternative de résolution amiable reste encore bien timide en ce sens où la loi ne parle que de tentative. En d’autres termes, le législateur pousse à essayer de trouver un compromis sans pour autant imposer une obligation de résultat, un accord, si bien que bon nombre d’adversaires ne voient dans cette démarche qu’une formalité administrative de plus, une entrave à la procédure judiciaire. Et pourtant la réalité du processus est tout autre et l’intérêt à s’entendre amiablement est bien réel. » (Extrait de journaldelagence.com du 2/05/2023)

Article à consulter sur https://www.journaldelagence.com/1312097-la-mediation-pour-gerer-les-litiges-de-voisinage-caroline-theuil

Suisse : La médiation de voisinage à Genève


Le Temps

« D’un côté, il y a Marion et Paul, un couple de trentenaires qui valorise la convivialité. Marion joue du violon et tous deux aiment inviter des amis de temps en temps. De l’autre côté, sur le même palier, il y a Sabine, une quadragénaire qui a besoin de beaucoup de sommeil et «est très sensible au bruit». Entre les deux, depuis trois ans, c’est le conflit. Pas la guerre, non, mais un bal régulier de remarques et d’interventions à la porte de la part de la plus âgée qui se dit «épuisée». Alertée par Sabine, la régie a botté en touche et conseillé la médiation.

L’été dernier, c’est finalement Paul qui a contacté l’Association genevoise pour la médiation de voisinage (AsMéd-GE), qui a son équivalent vaudois. Que s’est-il passé entre les voisins qui, chacun, jurent de leur bonne foi? A travers la médiation, méthode réputée efficace et peu coûteuse, les parties ont-elles réussi à trouver une issue? Réponse et récit détaillé de Carole Aeschbach, chargée de communication pour le Groupement Pro Médiation (GPM) et médiatrice FSM.

Le télétravail augmente l’agacement

Ce n’est une surprise pour personne: avec le semi-confinement et le télétravail, les conflits entre voisins ont augmenté. Le bureau genevois est passé de 76 sollicitations en 2019 à 96 en 2020. Le motif numéro un? Le bruit, qui, avant les odeurs ou le palier encombré, suscite le plus de crispations, informe Carole Aeschbach.Abonnez-vous à cette newsletter J’accepte de recevoir les offres promotionnelles et rabais spéciaux.

Un temps pour soi

Mais qui dit «demande», ne dit pas forcément «médiation». Parfois, le simple fait d’être écouté permet au requérant de mieux envisager la situation et de retourner vers son voisin avec une ébauche de solution. Ensuite, pour qu’il y ait médiation, il faut que les deux parties soient d’accord. Or, quand, avec l’autorisation de la partie A, l’AsMéd-GE sollicite par courrier la partie B, les silences et refus sont nombreux. «La médiation n’est pas un arbitrage ou une enquête, nous ne tranchons jamais entre qui a raison et qui a tort, rappelle Carole Aeschbach. Il s’agit d’un processus volontaire et tourné vers l’avenir, qui permet aux deux parties de trouver une issue, leur issue.»

Trois paliers de conflit

C’est donc une méthode qui suppose une capacité d’écoute, de réflexion et une bonne disposition d’esprit. «Parfois, une des deux parties est trop fragile, pas assez outillée pour entamer une médiation. Ou alors, il lui faut du temps pour y penser. La médiation a parfois lieu des mois après la première prise de contact.»

C’est qu’il y a trois paliers dans les conflits, poursuit la médiatrice. Au premier, la discussion sur le litige est possible et la médiation peut se dérouler de manière sereine. Au second palier, des violences verbales ont déjà été échangées, il y a cristallisation du conflit et les médiateurs doivent d’abord réinstaller un climat de confiance entre les parties avant d’entamer la médiation. Enfin, au troisième palier, il y a eu violences physiques et/ou destructions de biens d’autrui et là, le dépôt de plainte et l’action judiciaire sont souvent nécessaires.

Jouer du violon sans culpabiliser

Rien de si grave dans la situation de Paul, Marion et Sabine. Les deux parties sont de bonne composition, partantes pour entrer en médiation. Précision préalable: «A l’AsMéd-GE, les médiations de voisinage se font toujours avec deux médiateurs, car, dans les immeubles, nous pouvons facilement avoir près de dix personnes concernées par un conflit.»

La première étape? Chaque partie expose ce qu’il attend de la médiation. Paul veut éviter que les choses ne débordent, il aimerait aussi discuter des notions de «bruit» et de «respect», vu que Sabine vient régulièrement sonner lorsque des amis sont présents et que Paul se sent envahi. Marion souhaiterait être libre de jouer du violon sans culpabilité et de pouvoir recevoir ses amis. Quant à Sabine, elle aimerait pouvoir être bien chez elle, dormir correctement et se sentir respectée.

Ecouter l’autre sans l’interrompre

Lors de la deuxième étape, chacun donne sa vision de la situation, tandis que les autres écoutent, sans interrompre. Paul trouve compréhensible le besoin de calme de Sabine, mais dit que lui et Marion ont fait déjà beaucoup d’efforts en demandant à leurs convives de parler moins fort dès 22h, efforts qui n’ont pas amélioré les relations. Marion confie qu’elle a changé ses horaires de violon et qu’elle finit par ne plus oser jouer du tout.«Nous sommes dans notre bon droit, nous ne pouvons pas nous arrêter de vivre non plus!»

Sabine restitue qu’elle a beaucoup subi jusqu’ici, qu’elle n’aime pas se plaindre et que c’est une épreuve pour elle d’aller sonner chez ses voisins en soirée et de «se faire mal recevoir». «Je me fais réveiller dans mon sommeil, je ne gère pas le bruit après 23h, ça altère mes performances au travail.»

Ces récits, les médiateurs les reformulent en insistant sur les émotions. La colère et la lassitude de Marion, le malaise et la peur de Sabine. Les intéressé(e)s valident ou non ces reformulations et les complètent. «Par des questions ouvertes, nous les aidons à assumer leur coresponsabilité dans le conflit et à devenir plus autonomes dans la gestion du différend. Petit à petit, chacun comprend ce qui anime profondément les autres, descend dans la partie immergée de l’iceberg», détaille la médiatrice, qui finit, ici, par cette synthèse: «La partie A valorise la convivialité, la partie B privilégie le silence, mais toutes deux tiennent au respect.» – Marie-Pierre Genecand – (Extrait de letemps.ch du 8/02/2021)

En savoir plus sur https://www.letemps.ch/societe/mediation-voisinage-y-etiez

Québec : Un projet pilote de médiation entre voisins à Tecumseh


 

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La ville de Tecumseh offrira à partir de septembre un service de médiation pour ces citoyens pendant un an.

Souvent, les résidents nous appellent et veulent régler le comportement de leurs voisins et parfois ça ne peut [pas] être réglementé, explique le conseiller municipal Andrew Dowie.

Le projet a pour but de résoudre des problèmes qui ne sont pas d’ordre municipal. C’est pas contre la loi de manquer de respect [envers] une personne ou la propriété d’une autre, note le conseiller.

Andrew Dowie dit souvent se retrouver au milieu de disputes entre voisins. Un voisin m’appelle puis l’autre voisin va m’appeler. Nous sommes pris dans le milieu et il n’y a pas vraiment de résolution, explique-t-il.

Si le nombre de plaintes déposées à la ville diminue dans la prochaine année, ce sera signe que le programme aura porté ses fruits, affirme Andrew Dowie. Le projet est la création de l’organisme Services à la famille Windsor-Essex et de l’école d’études communautaires du Collège St. Clair. (Extrait de ici.radio-canada.ca du 21/07/2020)

En savoir plus sur https://ici.radio-canada.ca/premiere/emissions/matins-sans-frontieres/segments/entrevue/189571/projet-pilote-mediation-voisions-tecumseh-andrew-dowie?RelatedContentIds=Article-BB16Jmpi,Article-BB16INB5,Article-BB16ISQA,Article-BB16Z4Di,Article-BB16ZbvS,Article-BB16VKOj

Publication du Guide du CNB n°8 mai 2020 : GUIDE DE RÉSOLUTION AMIABLE DES BRUITS DE VOISINAGE À L’USAGE DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES, ASSOCIATIONS, GESTIONNAIRES IMMOBILIERS…


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PRÉAMBULE
La lutte contre les bruits de voisinage est un enjeu majeur de santé publique et de lien
social relevant des pouvoirs de police du maire.
Les maires ont en effet l’obligation en application du Code général des collectivités
territoriales d’assurer la tranquillité publique des habitants de leur commune au
moyen des dispositions du Code de la santé publique, du Code de l’environnement
ainsi que d’arrêtés municipaux.
Pour autant le dispositif réglementaire peut se révéler insuffisant lorsque le conflit de
bruit entre le plaignant et le fauteur persiste, ou semblerait pouvoir subsister encore
en dépit d’un constat et d’une sanction.
Les moyens alternatifs de règlement des conflits (MARC) ou, plus ouvertement,
les moyens amiables de règlement des différends (MARD) ont pour objet de tenter
de lever ces difficultés en mettant en place des stratégies, distinctes des dispositifs
réglementaires et judiciaires, permettant aux voisins de construire ensemble à l’aide
d’un tiers une solution aux problèmes sonores qui les opposent et d’établir de nouvelles
relations sociales pacifiées.
Les initiatives de médiation conduites en milieu scolaire participent du même objectif
de résolution concertée des conflits et également d’éducation à la citoyenneté en
responsabilisant les élèves.
Ce guide a pour objet d’aider notamment les collectivités territoriales, les associations
et les gestionnaires immobiliers à développer les possibilités de recours à ces moyens
amiables en cas de bruit de voisinage. (Extrait de

Cuide à conulter sur https://www.ecologique-solidaire.gouv.fr/sites/default/files/CNB-Guide_8-Resolution_amiable-Web_Mail-20_04_27-ALR.pdf

Vidéo : « Ces nouveaux médiateurs qui se chargent de resoudre vos conflits de voisinage » par Roselyne Conan, directrice générale de l’Anil (l’Agence nationale pour l’information sur le logement) (capital.fr)


Capture.PNG154.PNG« Dans le « Grand rendez-vous de l’immobilier », Roselyne Conan, directrice générale de l’Anil (l’Agence nationale pour l’information sur le logement) fait le point sur les nouvelles médiations ouvertes depuis le début de l’année pour résoudre les conflits de voisinage. Depuis le 1er janvier, une réforme de la Justice vous impose en effet les réglements à l’amiable pour toutes une série de litiges : les litiges estimés à moins de 1.500 euros, ainsi que les troubles liés au voisinage dont une liste a été fixée par décret (problème lié à un mur mitoyen, à une question de bornage sur un terrain…).

Pour chacune de ces situations, les particuliers doivent faire appel à un conciliateur ou un médiateur, avant même de saisir les tribunaux. L’objectif étant naturellement de trouver des arrangements rapides et efficaces entre voisins, plutôt que d’engorger les tribunaux avec des tas de procédures longues et coûteuses… Pour savoir où trouver un concialateur, le plus simple est de contacter votre Agence départementale pour l’information sur le logement (Adil) qui vous conseillera et vous guidera.

Pour rappel, les dispositifs de médiations existent depuis longue date dans le secteur du logement. En matière de rapport locatif notamment. En cas de litiges, locataires et bailleurs peuvent ainsi saisir les commissions départementales de conciliation. » – -(Extrait de capital.fr du 02/04/2020)

A écouter sur https://www.capital.fr/immobilier/ces-nouveaux-mediateurs-qui-se-chargent-de-resoudre-vos-conflits-de-voisinage-1366532

Emploi : Médiateur-trice urbain-ne à 90% Ville de Neuchâtel (Suisse)


Ville de Neuchâtel

« Le Service communal de la sécurité, au travers de son entité de médiation urbaine, promeut le « bien-vivre ensemble » par des actions de prévention, de sensibilisation et de médiation de proximité. Afin de compléter son équipe, il est à la recherche d’un-e

Médiateur-trice urbain-ne à 90%

Service / Médiation urbaine

Activités
Ce poste peut être fractionné en un poste à 40% et un poste à 50%.

Exigeant de par les horaires de travail (soirées, weekends, et jours fériés) et les postures exemplaires attendues, ce poste conviendra à une personne motivée et convaincue de la démarche. Le-la médiateur-trice urbain-ne sera en charge de :

  • Assurer une présence de proximité par le biais de tournées diurnes et nocturnes ;
  • Entrer en relation avec des personnes rencontrant ou posant des problèmes ;
  • Gérer les situations conflictuelles entre individus et/ou groupes ;
  • Etre en mesure de développer une relation bienveillante avec la population ;
  • Proposer et animer des projets spécifiques ayant pour objectif le « bien-vivre ensemble » ;
  • Travailler en étroite collaboration avec l’ensemble du réseau communal et cantonal (services institutionnels, etc.) ;
  • Engager des actions de sensibilisation et de prévention ;
  • Collaborer dans le cadre des projets du service ;
  • Participer à des groupes de travail.

Profil souhaité
Titulaire d’un bachelor ou d’un CFC, de préférence en lien avec la fonction, vous êtes au bénéfice de connaissances et d’une expérience confirmée en médiation et gestion de conflits. Vous possédez de bonnes capacités d’analyse et savez affronter des situations stressantes. Vous avez une bonne expérience du travail en équipe ainsi qu’une bonne connaissance du réseau social, sécuritaire et sanitaire neuchâtelois, vous êtes par ailleurs doté-e d’une grande capacité d’écoute et savez développer des relations basées sur la confiance et la bienveillance. Vous appréciez le travail en extérieur et acceptez des horaires de travail irréguliers, nuits, weekends et jours fériés compris. Vous êtes de nationalité suisse ou détenteur-trice d’un permis de travail valable. Vous maîtrisez parfaitement la langue française, une autre langue est un atout. En outre, vous possédez une excellente condition physique et êtes une personnalité à la moralité irréprochable.

Entrée en fonction / 1er mars 2020 ou à convenir

Délai de postulation / 29 novembre 2019

Renseignements / Tout renseignement complémentaire peut être obtenu auprès de M. Samuel Monbaron, adjoint au chef de Service de la sécurité, au 032 717 56 02 ou samuel.monbaron@ne.ch.

Si vous souhaitez relever ce défi, veuillez postuler en ligne en joignant votre dossier complet (lettre de motivation, CV, diplômes et certificats de travail). (Extrait de jobup.ch du 30/10/2019)

En savoir plus sur https://www.jobup.ch/en/jobs/detail/1685656/

Belgique : un service pour résoudre les conflits de voisinage à Beaumont


Bruno Lambert.

« La Commune de Beaumont vient de signer une convention avec un nouveau service de médiation, pour résoudre les problèmes de conflits de voisinage. » (Extrait de lanouvellegazette.be du 31/07/2019)

En savoir plus sur https://www.lanouvellegazette.be/418898/article/2019-07-31/un-service-pour-resoudre-les-conflits-de-voisinage-beaumont