« La majorité des requêtes parvenues à la délégation concerne des demandes de logements de divers types, l’écartement des listes, l’emploi, l’aménagement des quartiers et le raccordement au réseau d’eau et d’électricité, selon la même source.
La délégation a reçu durant la même période plus de 15 000 citoyens dont certains ont reçu des orientations et d’autres des conseils sur entre autres les procédures de régulations des situations juridiques de terrains, selon la même source.
L’instance du médiateur de la République travaille, a-t-il ajouté, en coordination avec les divers secteurs pour résoudre avec célérité les problèmes des citoyens et a déposé des registres de réclamations au niveau des différentes structures publiques pour recueillir les observations des citoyens concernant le mauvais accueil et le retard dans la réponse. Elle œuvre également à améliorer les conditions d’accueil des citoyens y compris par le recours aux moyens électroniques facilitant la communication entre les citoyens et l’administration et le dépôt de requêtes via des portails électroniques, selon la même source. Organisées à l’occasion du 5e anniversaire de la création de l’instance du médiateur de la République, ces portes ouvertes se poursuivront jusqu’à la fin de la semaine en cours. » (Extrait de elwatan-dz.com du 18/02/2025)
« L’ensemble des structures de la médiation de la République à travers le pays sont au service des citoyens en favorisant la résolution des préoccupations soulevées par ces derniers, a souligné, dimanche à Ghardaia, le médiateur de la République, Abdelmadjid Ammour.S’exprimant lors d’une rencontre avec la société civile, et cadres de la wilaya, coprésidée par le wali de Ghardaia Abdellah Abinouar et le médiateur de la République, Ammour a indiqué que la médiation de la République place l’ensemble de ses structures existantes à travers les différentes communes du pays pour prendre en charge les doléances touchant à la vie quotidienne et aux préoccupations de la population.Et d’ajouter: « l’adoption d’une telle approche de réunir l’ensemble des acteurs de la société civile vise à redonner confiance aux citoyens dans l’action participative et la bonne gouvernance ».Cette approche permet également de diagnostiquer les manques constatés au niveau des différentes régions dans le développement socioéconomique et d’y remédier de manière réfléchie et efficace selon les priorités, a souligné le médiateur de la République.La médiation de la République œuvre en étroite collaboration avec l’ensemble des partenaires notamment les collectivités locales ainsi que le tissu associatif pour un développement harmonieux et durable au service de l’intérêt général et du bien-être du citoyen dans chaque localité du pays, a-t-il rappelé. » (Extrait de lexpressiondz.com du 17/04/2023)
« Selon le Matin d’Algérie, le président algérien Abdelmadjid Tebboune a reçu ce 26 février 2023 les groupes armés maliens signataires de l’accord de paix de 2015. Alors que la crise entre les groupes signataires et le gouvernement malien est au plus fort, le médiateur algérien s’efforce de sauver l’accord de paix.
Alghabass Ag Intallah, Bilal Ag Acherif, Moussa Ag Acharatoumane, Fahad Ag Al Mahmoud… Tous les principaux représentants de la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA) et de la Plateforme, réunis au sein du Cadre stratégique permanent (CSP), étaient présents en Algérie.
(…)
Au cours de nombreuses réunions de travail, avec le ministre algérien des Affaires étrangères Ramtane Lamamra et avec d’autres officiels algériens, ils ont à nouveau dénoncé le manque d’implication, selon eux, des autorités maliennes de transition dans la mise en œuvre de l’accord de paix. » (Extrait africanmanager.com du 1/03/2023)
« Selon le délégué du médiateur de la République à Chlef, Ahmed Zidane, 2.120 requêtes de citoyens ont été examinées sur un total de 2.476 introduites en 2022, 104 autres requêtes ont été jugées hors compétences et leur destinateurs ont été orientés vers les services concernés.
Le même responsable a précisé que les requêtes concernent notamment le logement (toutes formules confondues et les recours), l’absence de commodités et de réseaux d’assainissement et d’eau potable, et le raccordement aux réseaux de gaz et d’électricité.
Certaines plaintes concernent le secteur de l’éducation, notamment la restauration, le transport scolaires, le recrutement et la titularisation d’enseignants contractuels.
M.Zidane a également fait part de l’entame, par ses services, de visites de terrain en vue du suivi de la mise en place de registres de doléances au niveau de différentes administrations. 13 visites ont déjà été effectuées à ce jour, a-t-il indiqué, louant l’échos réservé par les responsables locaux à cette opération.
Outre ces sorties de terrain, l’accueil des citoyens et de leurs requêtes, la délégation de la médiation de la République de Chlef met à la disposition des citoyens un registre officiel de doléances, avec la possibilité d’accès à son portail électronique des requêtes pour y inscrire leurs préoccupations, a-t-il fait savoir. » (Extrait de msn.com du 20/02/2023)
« Depuis l’indépendance, en 1962, la diplomatie algérienne, désormais clé de voûte de l’Algérie nouvelle, joue un rôle important en matière de médiation pour la résolution des crises et conflits, notamment en Afrique, en s’appuyant sur un nombre de fondements et principes qui constituent la doctrine de la politique extérieure du pays.
La diplomatie algérienne repose sur trois principes inaliénables : le droit des peuples à l’autodétermination, la non-ingérence dans les affaires internes des Etats et la promotion du dialogue inclusif dans les conflits internationaux, quelle que soit leur gravité.
C’est sur ces fondements que s’est construite puis consolidée la diplomatie algérienne depuis l’indépendance, et c’est dans ce sens que le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, est engagé depuis son élection en 2019.
Ainsi, l’Algérie continue de participer activement à l’extinction de plusieurs foyers de tension dans les pays du Sahel et d’Afrique, notamment au Mali voisin, en sa double qualité de chef de file de la Médiation internationale et président du Comité de suivi de l’Accord pour la paix et la réconciliation au Mali, issu du processus d’Alger.
La médiation algérienne avait été couronnée de succès, le travail diplomatique ayant abouti en juin 2015 à la signature de l’accord de paix et de réconciliation au Mali, baptisé « Accord d’Alger », en cours de mise en œuvre.
En Libye voisine également, l’Algérie, qui promeut la politique de bon voisinage, joue un rôle déterminant dans la résolution de la crise politique et sécuritaire qui frappe ce pays depuis 2011. Sa position repose sur la non-ingérence politique et le rejet de toute intervention étrangère dans la résolution du conflit en Libye, prônant la solution politique à travers un dialogue inclusif inter-libyen. » (Extrait de aps.dz/algerie du 19/12/2022)
« Le rôle de la médiation judiciaire dans le règlement des litiges et la préservation des liens sociaux a été mis en exergue, samedi dernier, par les participants à un séminaire sur le thème de la médiation, organisé par la cour de justice de Tizi Ouzou.
L’enseignant à la faculté de droit de l’université Mouloud-Mammeri Mohand Amokrane Boubchir, qui a donné une communication sur “La médiation dans la loi”, a souligné que le recours au médiateur judiciaire pour le règlement de certains litiges, relevant de ses missions, permettra de “réduire le nombre d’affaires qui atterrissent sur le bureau des instances judiciaires tout en préservant les liens sociaux”.
Un conflit réglé à l’amiable permet aux deux parties concernées de préserver le lien familial, professionnel ou d’amitié et d’éviter les rancunes et autres animosités si les deux adversaires se retrouvent devant la justice, a-t-il expliqué. Le conférencier a observé que le médiateur judiciaire n’a pas pour mission de donner tort ou raison à une des parties en conflit, mais à proposer une solution arrangeant les deux plaignants. Selon lui, certaines affaires relevant notamment des conflits familiaux ou fonciers, peuvent être réglées à l’amiable via la médiation.
Me Boubchir a rappelé, dans une déclaration à la presse, en marge de ce séminaire, que jadis la médiation était très répandue dans plusieurs villages de la région de Kabylie, relevant que très peu d’affaires arrivaient en justice, les autres étant réglées à l’amiable par l’assemblée du village qui désigne un “sage”, connu pour sa sagesse et son discernement, spécialement à cet effet. “Avant, dans les villages, tous les litiges doivent d’abord passer par l’assemblée du village, pour essayer d’y trouver une solution, et il était rare qu’on recoure à la justice, qui n’est sollicitée que pour des affaires graves”, a-t-il observé, en ajoutant qu’il serait intéressant de “faire revivre cette ancienne tradition”. (Extrait de liberte-algerie.com du 01/02:2021)
« À la surprise générale, le chef de l’État, Abdelmadjid Tebboune, a mis fin, hier, aux fonctions du médiateur de la République, Karim Younès, et nommé à sa place Brahim Merad. Celui qui fut président du panel du dialogue s’est distingué tout récemment par son discours conciliant. Il n’ira pas au bout de sa mission.
Karim Younès n’est plus ministre d’État, médiateur de la République. Le président Tebboune a décidé, hier, de mettre fin à ses fonctions et de désigner Brahim Merad, ancien wali et chargé des zones d’ombres comme nouveau médiateur de la République.
Ce départ inattendu d’un proche du chef de l’État signe la fin de mission à un homme dont la tonalité dans le discours tranchait singulièrement avec le discours officiel. Indice de nouveaux rééquilibrages au sein du sérail ? Si l’on ignore pour l’heure les raisons de son limogeage, il n’en demeure pas moins que depuis qu’il est sorti “indemne” d’une tentative de bâillonnement, il poussait la rhétorique jusqu’au fait de se poser comme un “résistant” contre une orientation partagée par tous. Un bref aperçu de son parcours depuis son rappel pour présider aux destinées de la commission de dialogue en 2019 démontre qu’il s’est parfois positionné sans trop se soucier des équilibres fragiles au sein du pouvoir.
Son retour a été ponctué par son rôle prépondérant au sein du panel de dialogue et de médiation qu’il a drivé pour préparer le terrain à l’élection présidentielle de décembre 2019. Une mission qui n’a pas eu les résultats escomptés pour le régime : d’abord, en ne réussissant pas à convaincre nombre de figures d’adhérer à la démarche et ensuite, compte-tenu de la situation politique d’alors marquée par la persistance du mouvement populaire qui s’était opposé à la feuille de route du pouvoir, à savoir le retour à la légitimité constitutionnelle. » (Extrait de liberte-algerie du 19/05/2021)
« Le Médiateur de la République, Karim Younes a affirmé jeudi à Alger que son instance était indépendante et placée auprès du président de la République afin « d’accompagner et faciliter toute mesure garantissant les droits des citoyens ».
Lors d’une conférence nationale sur le médiateur de la République, M. Younes a fait part de « plaintes reçues relatives aux disfonctionnements des instances centrales de l’Etat, des collectivités locales et des services publics, le but étant de les traiter dans le cadre des dispositions législatives et réglementaires en vigueur ».
Le médiateur de la République se fait seconder par des délégués locaux afin de pouvoir s’acquitter de ses missions dans les règles de l’art, a-t-il souligné, expliquant que le délégué au niveau local « n’est ni wali, ni un juge chargé de rendre justice, ou un avocat chevronné, ni encore moins un simple fonctionnaire ». Il serait, en fait, « tantôt facilitateur et réconciliateur entre les parties, et tantôt conseiller ».
A ce sujet, M. Younes invite le délégué du médiateur de la République à « faire preuve d’impartialité, de confidentialité et de bonnes mœurs, mais également professionnel aux faits des affaires publiques ».
Le délégué en question est appelé, par ailleurs, à « être charismatique, avoir une bonne réputation, en mesure d’écouter et apte à supporter ».
Pour M. Younes, « le contact doit être facile et fluide avec l’Instance du médiateur de la République, laquelle est appelée à gérer ses affaires sur les principes de la démocratie et ne fera jamais office des institutions l’Etat ».
De surcroît, l’instance de M. Younes « est indépendante du citoyen et des pouvoirs législatif, exécutif et juridique », et « puise sa législation de la feuille de route tracée par le président de la République ».
En effet, le rôle du médiateur de la République consiste à « assister les citoyens dans le règlement des différends entre eux et l’administration dans le cadre de la protection de leur droits et libertés »».
Adoptée par plusieurs pays dans le monde, la médiation est en soi une formule « civilisée » en faveur de la promotion des droits des citoyens.
Dans un autre registre, M. Younes a indiqué que les services centraux de la médiation avaient reçu depuis l’installation de l’Instance le 17 février passé jusqu’au 2 décembre courant, un total de 4793 requêtes.
Plus explicite, il dit avoir « reçu personnellement 2793 citoyens, toutes franges sociales confondues, venus des quatre coins du pays », faisant savoir que « leurs requêtes ont été étudiées et transmises aux secteurs concernées pour une prise en charge ».
Il ressort de l’analyse des requêtes reçues que « plus de 29% d’entre elles concernent le ministère de l’Intérieur, des collectivités locales et de l’aménagement du territoire », a fait savoir M. Younes, précisant que la wilaya d’Alger arrivait en tête avec 883 requêtes et réceptions, suivie des wilayas d’Oran (102 requêtes), de Sétif (76 requêtes) et de Skikda (75 requêtes).
Le Médiateur de la République a indiqué que cette première conférence nationale du genre, qui vise à consolider les connaissances et les moyens de coopération en faveur de meilleures performances, sera suivie d’autres conférences régionales pour la mise en œuvre des instructions et l’amélioration des performances aux niveaux national et local.
L’Instance du Médiateur de la République s’est dotée de délégués locaux dans 48 wilayas et 11 circonscriptions administratives, lesquels ont immédiatement pris leurs fonctions, a-t-il dit.
M.Younes a en outre déclaré que le rapport annuel de l’Instance du Médiateur de la République était « en cours d’élaboration » au même titre qu’un rapport sur « les principales préoccupations des citoyens dans les domaines de l’éducation, de la santé, de l’investissement, de l’économie et de l’administration », avec la formulation d’une série de propositions. » N.Benrahal –elmoudjahid.com du 18/12/2020)
« Plus de 800 plaintes et préoccupations soulevées par des citoyens ont été traitées par les délégations du Médiateur de la République dans les quatre coins du pays depuis la création de son Instance début 2020, a indiqué mardi depuis Tipasa le Conseiller auprès du Médiateur de la République.
Dans une déclaration à l’APS, en marge de la visite du Médiateur de la République, Karim Younes dans la wilaya, M. Rabah Hanifi a souligné que « les délégations réparties à travers les différentes wilayas ont été destinataires de plus de 4.100 dossiers, objets de plaintes ou préoccupations soulevées par des citoyens, dont 800 ayant reçu une suite favorable ».
La plupart des dossiers traités concerne des problèmes restés longtemps en suspens dans les wilayas intérieures, liés aux secteurs de l’Habitat, de l’Investissement et de la Justice dans son volet inhérent à l’application des décisions, le Médiateur de la République ne devant en aucun cas intervenir dans les affaires objets de contentieux ou les enquêtes au niveau de la Justice.
Créée par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune le 17 février dernier avec désignation de M. Karim Younes à sa tête, l’Instance qui se veut «un trait d’union entre le Pouvoir et la société civile » a traité les questions liées au secteur de l’emploi dans son volet inhérent au règlement des conflits professionnels, des dossiers de réinsertion des travailleurs licenciés, des licenciements abusifs et des problèmes des retraités. » (Extrait de aps.dz/algerie du 28/10/2020)
« La commission juridique de l’Instance nationale de dialogue et de médiation s’est réunie, hier, afin d’étudier les propositions recueillies suite aux consultations menées avec les différentes parties.
Dans une déclaration à la presse, le coordinateur général de cette instance M. Karim Younes a affirmé que le rapport final de la commission qu’il préside est prêt pour être soumis au chef de l’Etat, Abdelkader Bensalah. «Le rapport a été également transmis aux différents partis. Certains l’ont approuvé tandis que d’autres l’ont rejeté», a rappelé Karim Younés.
L’ancien président de l’APN a, en outre, dévoilé une partie des conclusions contenues dans le rapport final, notamment celles relatives au code électoral. Il ne sera désormais plus obligatoire la collecte de 600 signatures individuelles de la part d’élus.
Selon des médias online qui ont repris hier cette déclaration, il sera désormais exigé de chaque candidat à la présidence de la République d’être titulaire d’un diplôme universitaire afin de mettre fin aux candidats non sérieux. Il convient de rappeler que l’Instance de dialogue et de médiation a achevé jeudi dernier, ses rencontres avec les partis politiques, associations et personnalité nationales dans le cadre d’un dialogue mené depuis plus d’un mois. Ainsi, M. Karim Younes, a terminé la série de ses rencontres, avec l’entretien accordé au président de l’Organisation nationale des Enfants de chouhada.
Dans un premier bilan, le Panel a annoncé avoir rencontré 23 partis politiques et plus de 6075 personnalités et associations qui ont formulé des propositions de sortie de crise. Toutefois, plusieurs partis et personnalités ont décliné l’invitation du Panel, tel que le MSP, le RCD, alors que les anciens partis proches du pouvoir n’ont pas été conviés au dialogue.
Selon les premières informations sur le rapport, ce dernier s’est penché sur deux propositions. La première porte sur la constitution d’une autorité en charge de l’organisation, de la surveillance et de la proclamation des résultats du scrutin et la seconde sur les propositions d’amendement de la loi organique relative aux élections dans le chapitre consacré à la présidentielle. L’expert en droit constitutionnel et membre de la commission juridique de l’Instance de dialogue et de médiation, Rachid Lourari, a indiqué que les parties avec lesquelles le dialogue s’est déroulé, se sont félicitées du contenu du rapport final sur les amendements proposés aux deux projets de lois organiques portant création et organisation de l’Autorité nationale des élections et du projet de loi organique relative aux élections.
Concernant le rejet par certains partis politiques des propositions de la Commission de dialogue et de médiation, notamment en ce qui concerne l’organisation des élections présidentielles, M. Lourari a estimé que «les courants qui rejettent les propositions de l’INDM pour l’organisation des élections présidentielles étaient à l’origine opposés au processus de dialogue dans son ensemble et depuis le début. Il s’agit des partis qui réclament une période de transition et sur lesquels il ne faut pas trop s’appuyer car ils ne sont pas prêts à changer d’idée parce qu’ils y adhèrent. Ce qui nous intéresse, c’est le consensus que nous obtenons du reste de la sphère politique que nous avons rencontré, a-t-il dit.
Appelé à s’exprimer sur le sort de l’instance de dialogue et de médiation, l’expert constitutionnel a souligné, que le Panel avait pour mission de réunir et de rassembler les points de vue, de recueillir des propositions et de dialoguer avec le plus grand nombre d’acteurs sur la scène politique et nationale et d’ouvrir la voie à l’organisation d’élections présidentielles. «La mission de cet organe sera terminée une fois qu’un nouveau président sera élu», a-t-il souligné.
Pour sa part, le membre de l’Instance nationale pour le dialogue et la médiation, Abdelwahab Bendjelloul, a affirmé que la mission du Panel était de préparer le terrain pour la tenue des élections présidentielles dans les meilleurs délais. «Du moment que nous sommes parvenus avec les personnalités que nous avons rencontré à des dénominateurs communs concernant la nécessité d’aller à une élection présidentielle, en recueillant des propositions relatives à l’organisation du processus… pas besoin de perdre du temps, et nous devons aller vers l’organisation de ces élections présidentielles.» L’Instance qui a été installée, fin juillet, a subi faut-il le rappeler, lors de sa mission plusieurs attaques de la part de plusieurs personnalités et partis, sur le terrain et sur les réseaux sociaux, ce qui a provoqué la colère de son coordinateur, Karim Younes, qui a dénoncé à plusieurs reprises ces attaques. » – Salima Ettouahria – (Extrait de elmoudjahid.com du 8</09/2019)
« Karim Younes, coordinateur de l’instance nationale de dialogue et de médiation a considéré qu’il était désormais nécessaire que le gouvernement actuel démissionne. Une suggestion émise par Karim Younes à l’occasion d’une rencontre avec les membres du conseil consultatif de l’Instance nationale de dialogue et de médiation. Le coordinateur a estimé nécessaires ‘’l’application des articles 7 et 8 de la constitution, qui disposent que le peuple est la source du pouvoir ‘’, ainsi que ‘’ la satisfaction des revendications du mouvement populaire, notamment la démission du gouvernement actuel ‘’. (Extrait de reflexiondz.net du 1/09/2019)