Livre : VERNIAU Rolland, REVOL Jacques, « Pas l’ombre d’un regard. Histoire d’une médiation » Média&Médiations, 2024, 192p.


Les ouvrages sur la médiation se multiplient et je voudrais mettre en avant celui de Rolland Verniau et Jacques Révol, car il mériterait le prix de l’excellence en matière de vulgarisation de la médiation. Dans la préface, Pierre Grand écrit que « ce récit de médiation se lit comme un roman », et dans la même veine, j’ajouterai « il se lit comme un thriller ». En effet, dans chaque chapitre, il y a des rebondissements inattendus, l’irruption de nouveaux personnages,… qui ponctuent les 30 mois de son déroulement ce qui n’est pas commun pour une médiation. Et puis, il y a le style plein d’humour de Roland Verniau pour décrire cette médiation et notamment, cette jubilation, dans la manière dresser le portrait de ces personnages hauts en couleur qui peuplent cette médiation. Il dépeint aussi d’une manière très bucolique, les lieux du déroulement de l’action c’est-à-dire les fermes et villages du Beaujolais, ce qui rend ce livre très agréable à lire.

En effet, il s’agit d’une médiation qui se déroule dans le milieu agricole, ce qui n’est pas commun et elle oppose les associés d’un GAEC qui connaît de grosses difficultés financières. Tout commence, par une audience ordinaire au Palais de Justice de Lyon ou après un échange entre les parties et leurs avocats, les magistrats ordonnent une mesure de médiation. Mais le jugement présente la particularité de prévoir que « si dans le cadre de la médiation judiciaire les parties ne sont pas parvenues à un accord, elles peuvent convenir de poursuivre les discussions dans le cadre d’une médiation conventionnelle » (p.29). Une sage décision prise par les juges puisque la médiation a duré plus de 30 mois et nous sommes donc loin de la médiation judiciarisée avec ses deux fois trois mois. Cette durée tend à démontrer que la temporalité de la médiation dépend directement de l’évolution des échanges entre les parties et non du médiateur ou du juge prescripteur.

Avec une telle durée, on peut comprendre que les auteurs aient intitulé les premiers pas de la médiation « Le début du chemin » car celui-ci sera long. Dans un souci de proximité, mais peut-être pas de neutralité, la première séance médiation a été organisée au sein du Palais de Justice de Villefranche-sur-Saône qui était plus proche des domiciles des médiés. La première rencontre a réuni les trois associés, c’est-à-dire, d’une part les deux frères Roy, décrits comme « deux colosses, des forces de la nature » ; Et d’autre part Pierre Garçon le 3ème associé, mais celui-ci était accompagné de sa compagne. Ce fut la première péripétie, car les frères Roy s’opposaient à la présence de la compagne prétextant qu’elle n’avait pas le statut d’associé.

Cet incident est assez révélateur de la nécessité pour les médiateurs de s’interroger sur le rôle de certains acteurs que je qualifie d’« indirects », comme, en l’espèce, la compagne de l’une des parties, car ceux-ci peuvent, non seulement influencer mais surtout risquent de faire échouer le processus de médiation. A travers cet exemple, on peut constater l’aspect systémique de la médiation qui ne se limite pas simplement aux acteurs « directs », c’est-à-dire les participants à la médiation, mais à tous ces tiers qui peuvent avoir une influence directe ou indirecte sur le processus de médiation, comme les avocats, les membres d’une famille, mais aussi les compagnies d’assurances, les organismes sociaux…  Un accord fut rapidement trouvé par le médiateur qui proposa que Noëlle Pilar soit présente mais à la condition posée par les frères Roy « qu’elle ne parle pas, ce n’est même pas la femme de Garçon » (p.36).

Dans cette médiation qui prenait une dimension collective, les auteurs abordent aussi une question importante celle de la co-médiation. En effet, devant la difficulté de gérer le processus, non seulement en raison du nombre de participants mais aussi du blocage de la communication entre les parties, le médiateur c’est-à-dire Rolland Verniau, fait appel à un second médiateur, Jacques Revol, le co-auteur de l’ouvrage. Avec son humour habituel, il le décrit comme un « personnage truculent. Eté comme hiver, il marche avec des sandales » et qui « porte bien son prénom » puisqu’il a fait plusieurs fois le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle (p. 51). Comme le dit si bien, Rolland Verniau, ils sont maintenant « Deux sur le chemin », ce qui, dans les faits, ne sera pas un luxe puisque la médiation a duré plus de deux ans. La narration de ce cas démontre bien que la médiation n’est pas un processus formel et linéaire et que sa plasticité permet en fonction des circonstances de l’adapter à l’évolution de la situation, comme dans le cas présent, l’appel à un second médiateur.

 Accompagné de son « médiateur humaniste » , comme Jacques Revol, aime se présenter, les deux « compères » vont développer une stratégie en matière de gestion du processus de médiation qui s’écarte du schéma classique souvent présenté dans les manuels de médiation. Le premier point que je tenais à souligner est celui d’un déplacement sur les lieux, en l’espèce les fermes des associés en conflit. Pour eux, il était important de « s’immerger dans l’environnement de ces familles de paysans pour tenter de comprendre leur conflit. Pourquoi une telle haine » (p.67). L’organisation de cette rencontre séparée sur les lieux a eu un résultat positif car elle a permis, à Maurice Garçon, l’un des associés, qui s’était enfermé dans un mutisme lors des précédentes rencontres de libérer, non seulement sa parole mais aussi ses émotions. Ces déplacements sur les lieux ont permis de créer un lien de confiance entre les médiateurs et le médiés ce qui a facilité le déroulement de la médiation par la suite.

Le deuxième point est celui de la temporalité de la médiation et des lieux de son déroulement. Dans ce type de médiation, en raison des distances et du nombre de participants, l’échelonnement des dates de rencontres comme la durée des séances obéit à des règles qui sortent du schéma classique des médiations. Il en est de même des lieux car les médiateurs ont jonglé en fonction des déplacements entre des locaux mis à la disposition par la mairie où se situaient les fermes et la salle du conseil de l’ordre des avocats.

Le troisième point est celui des acteurs mobilisés au cours de la médiation et surtout leur multiplicité. Tout d’abord, les médiateurs ont mobilisé les avocats des médiés car la dissolution d’un GAEC n’est pas une mince affaire et nécessite des compétences particulières qui ne relèvent pas de celles de médiateur. Et comme, les auteurs le soulignent  « les avocats ont été à la manœuvre, comme nous leur avions demandé, pour réfléchir aux aspects techniques et juridiques d’une telle opération » (p.80). Au-delà des aspects techniques, les médiateurs, en donnant la parole aux avocats, voulaient démontrer leur volonté qu’ils soient « co-constructeurs de la médiation » et « surtout rassurer et sécuriser leurs clients sur les impacts que cette dissolution allait provoquer » (p.80). Ensuite, les médiateurs pour avancer vers une solution ont aussi mis à contribution un expert agricole pour procéder à « l’évaluation des actifs du GAEC, hors immeuble » (p.88).

Les médiateurs ne se sont pas contentés de traiter les aspects techniques de la dissolution du GAEC mais ils ont aussi pris en charge, les aspects relationnels et émotionnels. C’est l’avantage d’une co-médiation car si Rolland Verniau qui est avocat s’est surtout chargé de la dimension juridique, il a laissé à Jacques Revol, l’aspect humain de l’affaire. C’est donc le « médiateur humaniste », « féru de cet exercice » qui va demander à chacun d’exprimer sur une feuille de papier « ses besoins essentiels » des « plus pragmatiques aux plus intimes » (p.90). L’un note en majuscules  « BESOIN DE COMPREHENSION », un autre, « J’ai besoin qu’on nous comprendre ». C’est tout l’intérêt de la médiation de ne pas se limiter à la partie immergée de l’iceberg c’est-à-dire la dissolution du GAEC, mais d’aborder l’ensemble des aspects relationnels et émotionnels liés au conflit.

Le quatrième point à mettre en avant, dans cette médiation, est la technique de « l’accord partiel », utilisée par les médiateurs pour marquer l’avancée des discussions mais aussi créer une dynamique en vue de parvenir à un accord final. Ainsi, il y eut, non pas, un mais trois accords partiels au cours de la médiation ce qui n’est pas courant, mais qui s’explique en grande partie par la durée de la médiation. Ces accords partiels ont ponctué les différentes étapes de la médiation comme par exemple celui-ci ou il est mentionné : « les parties sont d’accord pour que les médiateurs mandatent en leur nom Maître Maurice Picard pour qu’il soit le liquidateur amiable du GAEC (…) » (p.106). Si j’ai reproduit cet extrait de l’accord, c’est pour souligner l’émergence de ce nouvel acteur dans le processus de médiation : l’administrateur judiciaire. C’est une nouvelle preuve de la plasticité de ce mode de gestion des conflits qui s’adapte à chaque évolution de la situation au fur et à mesure de l’avancée des discussions entre les parties. Il ne s’agissait pas d’un acteur anodin puisqu’il était présenté comme central par les auteurs « sans lui, il n’y aurait jamais eu d’accord. Il fut pour nous le troisième médiateur » (p.114).

Dans cette phase d’élaboration de l’accord, un autre acteur a été invité à participer au processus de médiation, la banque du GAEC, en raison de l’existence d’un passif important de l’ordre de 300 000€. La mobilisation de ce nouvel acteur représente une nouvelle démonstration de la dimension systémique de la médiation dans la mesure ou des acteurs indirects, des tiers, comme la banque du GAEC, vont être insérés dans le processus de médiation. L’intervention de ce nouvel acteur a été actée dans un accord partiel « Les parties sont accord pour que les médiateurs prennent contact avec la banque pour engager une négociation en vue d’une réduction significative de la dette du GAEC de la banque (…) » (p.106). Si j’ai reproduit cette partie d’accord, c’est que l’on assiste à un changement de posture des médiateurs dans le sens où ils vont devenir des négociateurs pour le compte des médiés. Les « puristes » de la médiation, à juste raison, vont s’insurger contre ce changement de statut car il est contraire aux règles déontologiques. Les auteurs en ont conscience puisqu’ils écrivent que « nous sommes seulement négociateurs dans cette affaire et non plus médiateurs » (p.131). Mais, ce changement de casquettes, même s’il a pris la forme d’un accord de la part de l’ensemble des participants, pose le problème plus général des médiateurs cumulant plusieurs fonctions comme celle d’avocat, d’expert judiciaire,… et démontre que le processus de médiation n’est nullement figé mais est encore en construction.

Comme cette médiation s’apparente à un véritable roman, je ne dévoilerai pas le résultat des négociations avec la banque, ni l’accord final pour encourager les médiateurs confirmés à lire l’ouvrage de R. Verniau et J. Revol car le style imagé et humoristique leur fera passer un bon moment. Outre la forme, l’ouvrage est une véritable étude de cas dans un domaine peu abordé celui du monde agricole. Enfin, je conseille la lecture de l’ouvrage à tous ceux qui ne connaissent pas ou peu la médiation car il permet de s’informer sur ce mode de gestion des conflits d’une manière ludique.

Jean-Pierre BONAFE-SCHMITT

Lettre des Médiations

Ouvrage en vente sur https://www.medias-mediations.fr/

Théâtre : « Mission médiation. Plongée dans l’expérience d’un couple en crise », THEO THÉÂTRE, 20 rue Théodore Deck, 75015 Paris


De Jacques Salzer, Fabienne Devillers, Jean Rooy
Compagnie Les Semblables Différents.
Mise en scène Olivier Courbier
Avec Fabienne Devillers, Franck Duret, Stéphane Rouabah, Mathilde Vacaresse

Une invitation à s’immerger dans les échanges d’un couple en crise et de leur fille. Une plongée dans une médiation, avec vous. S’en sortiront-ils ?

Comment arrive-t-on d’une relation d’amour à un conflit durable ?
Emma quitte Philippe. Il l’aime et s’y oppose. Que vit Juliette, leur fille ? Qu’en savent ses
parents ? Que peut l’avocat, le juge ? Le médiateur peut-il aider quand la passion est là ?
Vous serez aussi amenés à intervenir. S’en sortiront-ils ? (Extrait)

En savoir plus sur https://www.theotheatre.com/spectacle/2024-10-01/mission-mediation.html

17eme Fête de la Médiation de l’IFOMENE : « Le monde a besoin de médiateurs » les les 18 et 19 octobre 2024 à l’ICP de Paris


« À l’occasion de la Semaine mondiale de l’amiable, participez à la 17ème édition de la Fête de la Médiation, qui se tiendra les 18 et 19 octobre 2024. Organisé par l’Institut de Formation à la Médiation et à la Négociation (Ifomene) de l’ICP, cet événement réunit chaque année un millier de personnes intéressées par la médiation.

Au programme

Le vendredi 18 octobre :

les locaux de l’Institut Catholique de Paris seront à disposition de toutes les organisations de médiation et de MARD souhaitant y tenir leurs réunions, conseils d’administration, assemblées générales ou conférences-débats moyennant une contribution financière.

Le samedi 19 octobre :

Représentation d’une création t

Stands des associations, centres et institutions de médiation

Conférences sur les thèmes « Culture, médiation et interculturalité en entreprise » et « Politique de l’amiable : où en sommes-nous ? », avec la participation du Conseil National de la Médiation

Discussions et présentations des ouvrages spécialisés par des éditeurs et auteurs

Ateliers thématiques (médiation au sein des organisations internationales, justice restaurative, trialogue : magistrats, avocats et autres juristes, médiation santé et médico-social)

Visites thématiques et animations culturelles autour de la médiation. (Extrait)

En savoir plus sur https://www.icp.fr/a-propos-de-licp/agenda/ifomene-17e-fete-de-la-mediation

6ème Semaine internationale de la médiation 11-18 octobre 2024 – Les conflits et leur traitement : 82 événements proposés pour 2024


La Semaine de la Médiation est une action de promotion de la médiation auprès du grand public, à dimension nationale et internationale. Ce site vous informe des actions organisées près de chez vous.

Si vous êtes médiateur, il vous permet d’organiser et de faire connaître votre action.

Liste des événements sur https://semainemediation.fr/

107ème édition | Café de la Médiation et de la Négociation : « Comprendre les spécificités des secteurs de la santé et du médico-social » 10 oct. 2024 18:00 – 19:30


Avec

Claude Evin, avocat au Barreau de Paris et Médiateur. Ancien député et ancien ministre des Affaires sociales et de la solidarité, auteur de « La médiation au service de la santé et du médico-social » Decitre, 2022 edition “Les presses de l’EHESP”

Docteur Sylvie TESSIER, médecin coordonnateur régional d’un grand groupe gestionnaire d’EHPAD (EMEIS)

Frédéric Pigny, directeur du centre hospitalier de Mont de Marsan, médiateur régional pour les personnels des établissements publics de santé et médico-sociaux en Occitanie

Avec le concours de Chimène Bocquet, Directrice de l’Ifomene

Animé par Hirbod Deghani-Azar, ambassadeur de l’amiable, avocat-médiateur

Leur expertise vous permettra de mieux comprendre que les secteurs de la santé et du médico-social ont un besoin primordial de relations harmonieuses entre toutes les parties prenantes. Au moins autant un besoin de médiations de prévention que de règlement des litiges.

L’Ifomene a constamment développé des formations dédiées à ce domaine à haute valeur éthique et humaine. C’est à l’Ifomene que le Ministère de la Santé a confié la formation des équipes du Médiateur National de la Santé, et aujourd’hui des modules du diplôme de médiateur et le Groupement interculturel et international de médiation en santé (GIMES) poursuivent et approfondissent cet axe essentiel.

Il est donc important de comprendre ce monde complexe d’interactions entre des univers très différents mais nécessairement complémentaires. » (Extrait de

Inscription sur https://www.eventbrite.fr/e/billets-107eme-edition-cafe-de-la-mediation-et-de-la-negociation-1023614517577

Belgique :  » journée des ressources humaines : la médiation collective en entreprise  » mardi 08/10/2024, organisée par MC sociale-Association active dans la promotion de la Médiation et de la Conciliation en droit social


« Du 3 au 11 octobre 2024, la Commission fédérale de médiation organise la Semaine de la Médiation.
Chaque jour de la semaine sera consacré à un thème différent.

Nous aimerions vous inviter à participer à notre événement ‘Journée des RH’ le mardi 8 octobre.

Durant cette session, nous approfondirons le thème : ‘La Médiation collective en Entreprise’. Les intervenants sont : Marie-Anne Bastin, Philippe Lambiliotte, Moreno Olivier et Laure Veirier.

Précisons que celle-ci se fera en ‘en ligne’, de 09h30 à 11h00, est entièrement gratuite, et compte pour 1h30 de formation permanente. » (Extrait de https://www.linkedin.com/posts/mediation-et-conciliation-sociale-mc-sociale_formation-m%C3%A9diation-collective-en-entreprise-activity-7241720600879075328-vgX3/?utm_source=share&utm_medium=member_android)

Inscriptions via le lien : https://lnkd.in/eb6mJbiq

Semaine de la Médiation avec les Notaires de France du 11 au 18 octobre 2024 (petitesaffiches.fr)


« Du 11 au 18 octobre 2024, les Notaires de France participent à la Semaine Internationale de la Médiation, un événement sur l’ensemble du territoire visant à promouvoir l’usage de la médiation comme solution efficace et apaisée pour la résolution des conflits. Cette initiative s’inscrit dans la volonté des notaires de conseiller et d’accompagner les particuliers et les professionnels dans la gestion de leurs différends, voire de renforcer leur rôle de médiateurs, pour les notaires formés à la médiation.

(….)

2 jours pour échanger gratuitement avec un notaire médiateur au 36 20* « dites médiation notaire » : mercredi 16 et jeudi 17 octobre, entre 16h et 20h, les notaires médiateurs se relaient pour informer les Français sur l’intérêt de la médiation et des modes amiables.
Les 25 centres de médiation du notariat mobilisés sur l’ensemble de la semaine avec l’organisation de permanences d’information, de sessions interactives animées par des notaires spécialisés en médiation, abordant des thématiques variées telles que les conflits familiaux, les différends immobiliers, et les litiges commerciaux.
Des événements organisés partout en France, tels que des conférences, ateliers, informations, pour faire découvrir les outils de la médiation au public et participer au développement de la culture de la médiation. » (Extrait de petitesaffiches.fr du 16/09/2024)

En savoir plus sur https://www.petitesaffiches.fr/actualites,069/droit,044/semaine-de-la-mediation-avec-les,31097.html

France :6ème Semaine internationale de la médiation 11-18 octobre 2024 : Les conflits et leur traitement


En savoir plus sur https://semainemediation.fr/

Belgique : la Semaine de la Médiation aura lieu du 3 au 11 octobre 2024 (fbc-cfm.be)


« La Semaine de la Médiation est devenue incontournable depuis 2016.
Cet événement réunit des centaines de médiateurs de tout le pays.
Il met l’accent sur les partenariats avec les référents et le monde académique.
Une soixantaine d’activités ont lieu chaque année dans toute la Belgique, dont des « meet & greets » avec le secteur de la construction et les magistrats en 2023 et des ateliers.

Extrait de fbc-cfm.be

En savoir plus sur https://fbc-cfm.be/semainedelamediation

Luxembourg : « Semaine Mondiale de la Médiation : SENSIBILISATION À LA MÉDIATION » par le Centre de Médiation a.s.b.l., le 15 oct. 2024, 09:00 – 16:30


Inscription sur https://www.linkedin.com/events/semainemondialedelam-diation-se7224711661083897856/about/

« Kit pratique amiable » : outils pratiques proposés aux professionnels par les ambassadeurs de l’amiable.


« Les ambassadeurs de l’amiable mettent à disposition un kit de documents pratiques pour inciter au recours aux modes amiables de résolution des différends (MARD). Ce kit contient différentes fiches thématiques sur le recours à l’amiable et sur les outils procéduraux, une foire aux questions sur l’audience de règlement amiable (ARA) et la césure du procès, ainsi que des trames d’injonction de médiation. » (Extrait)

Kit à télécharger sur https://www.justice.gouv.fr/documentation/ressources/kit-pratique-amiable