« đ—Ÿđ—Č đ—șđ—ČÌđ—±đ—¶đ—źđ˜đ—Č𝘂𝗿 đ—±đ—Œđ—¶đ˜-đ—¶đ—č đ—ČÌ‚đ˜đ—żđ—Č đ˜‚đ—» đ—Čđ˜…đ—œđ—Č𝗿𝘁 đ—±đ˜‚ đ—±đ—Œđ—șđ—źđ—¶đ—»đ—Č đ—±đ˜‚ đ—±đ—¶đ—łđ—łđ—ČÌđ—żđ—Čđ—»đ—± ? » question posĂ©e par Equanim International (linkedin.com)


« La question est revient avec insistance dans les nombreux Ă©vĂšnements que nous organisons.

▶ D’un cĂŽtĂ©, l’expertise, qu’elle soit technique, sectorielle ou juridique, est souvent perçue comme un gage de crĂ©dibilitĂ© pour le #mĂ©diateur. Elle lui permettrait de comprendre rapidement les enjeux, d’apprĂ©hender la complexitĂ© du diffĂ©rend et d’asseoir son autoritĂ©. Elle comporte aussi le risque que le mĂ©diateur guide les parties vers sa solution, d’inspiration expertale, bridant l’autonomie des parties.

▶ D’un autre cĂŽtĂ©, l’intervention du mĂ©diateur transcende les aspects techniques du diffĂ©rend : il a pour but de guider les parties vers une solution, au-delĂ  des pures considĂ©rations techniques ou juridiques. Sa connaissance du domaine du diffĂ©rend pourrait donc ne pas ĂȘtre utile.

🔀 La rĂ©ponse pourrait en rĂ©alitĂ© ĂȘtre plus nuancĂ©e : le mĂ©diateur doit ĂȘtre un expert de la rĂ©solution des diffĂ©rends. Plus qu’une expertise technique, sectorielle ou juridique, c’est sa capacitĂ© Ă  agir en fonction de la dynamique des parties pour les guider vers un accord qui est dĂ©terminante. (Extrait de linkedin.com)

En savoir plus sur https://www.linkedin.com/posts/equanim-international_extraits-des-documents-cm-cdj-activity-7164192118205317121-p7kd/?utm_source=share&utm_medium=member_android


En savoir plus sur Lettre des Médiations

Abonnez-vous pour recevoir les derniers articles par e-mail.

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.