PUBLICATION DE LA LETTRE N°12 NOVEMBRE 2020 DE L’ANM


Lettre à consulter sur https://www.anm-mediation.com/page-newsletter.php?id=136211

Publication « Au fil de la médiation » Numéro 61 – 2 novembre 2020 de l’ANM


publication à consulter sur https://www.anm-mediation.com/site-showfile-internal.php?id=136196

Publication de « Au fil de la médiation » n°58 – 15 septembre 2020 de l’ANM


A consulter sur https://www.anm-mediation.com/site-showfile-internal.php?id=132476

Publication de La Lettre n°11 Mai 2020 de l’ANM


Le Covid-19 : émergence d’un collectif ?

Le confinement* conduit nombre de travailleurs à ne plus être dans leur environnement habituel. Les voilà plongés dans le champ de la famille, qui se mêle à l’aire professionnelle. Les enfants, les proches, les animaux domestiques prennent leur place dans les millions de bureaux virtuels. Beaucoup n’ont pas l’habitude de ces intersections. Je travaille en ce moment sur un conflit ancien et très lourd avec plusieurs salariés qui, littéralement, ne se supportent plus. Ayant entamé la médiation avant le confinement et me trouvant proprement au milieu du gué, j’ai décidé de la poursuivre en menant des entretiens téléphoniques à distance. L’effet est saisissant. Les personnes, jusqu’à présent empêtrées dans ce conflit, sont comme apaisées, elles sont plus en distance avec ce qui les oppose, elles reconnaissent elles-mêmes que leur parole est plus libre, et cela va même au-delà. Le confinement chez soi, en faisant tomber la posture professionnelle, favorise en quelque sorte une prise de recul salvatrice. Au-delà de l’anecdote, je sens qu’effectivement, dans le trouble que vivent certains, le fait de ne plus aller au boulot classiquement, de ne plus jouer un rôle social, avec ses rituels, peut être un moment d’interrogation sur le sens de sa propre vie.

Dans les séances de médiation en présentiel, l’environnement est capital. On essaie toujours de faire en sorte que les gens soient placés dans un cadre physique propice à une forme de lâcher-prise. Avec le télétravail, c’est le médiateur qui de manière tout à fait amusante lâche prise, il n’est plus le grand ordonnateur. Tous, nous changeons de peau. On change de cadre. On n’est pas vu. Pas observé par les autres ou par ses responsables. C’est proprement libératoire. Les gens sont incroyablement disponibles, ils parlent moins vite, il n’y a plus la même urgence, on écoute l’autre plus facilement. L’éloignement de l’entreprise permet de quitter son rôle ou le rôle que l’on vous assigne et qui justifie votre place. Ça fait du bien. Quelle liberté ! même si certaines entreprises se sont empressées d’installer le pointage à distance ! Reste à savoir comment les gens retourneront au travail, dans quel état d’esprit ils seront. Comment reviendront-ils à la « normalité » après ce temps singulièrement anormal ? D’ailleurs, que faudra-t-il garder de cette anormalité ? C’est une question fondamentale à laquelle les entreprises et les administrations devront répondre, sous des formes à inventer.

Les gens ont un immense besoin de parler. Ça me rappelle les premiers temps d’internet, quand tout le monde faisait son petit blog, avec cette soif de se raconter, de se dire, de montrer enfin qui l’on était vraiment. Il y avait du bon et du moins bon, du pathétique et du détonnant, mais ça vivait. Je retrouve ça parce que les gens ont la trouille, ils découvrent quelque chose à quoi ils n’ont jamais été confrontés dans notre société : la vulnérabilité. Ceux qui ont connu la guerre sont de plus en plus rares. Là, d’un seul coup, notre société moderne montre crûment sa fragilité sur un versant sanitaire à laquelle elle n’était pas préparée. Notre fragilité potentielle et celle de nos proches se rappellent à nous.

Pourtant, nous vivons et participons tous en ce moment à l’émergence d’un immense collectif. La crise désinhibe les gens, les barrières tombent. On construit des ponts, on tisse de nouveaux liens et on a des envies de faire société. Je suis un tenant du management de la lenteur. Je prône les valeurs du silence, de l’écoute. Le monde du travail est aujourd’hui un étonnant creuset de l’authenticité. Celle-ci se révèle encore plus dans cette crise, elle va être à coup sûr source d’un progrès collectif. Il faut la laisser instiller. D’une certaine manière, le Covid-19 favorise ce mouvement, lent mais sûr. Les gens ne se ferment plus sur eux-mêmes mais ont tendance à s’ouvrir. L’éloignement mais aussi le confinement créent plus de chaleur collective qu’on l’aurait imaginé, on se surprend soi-même. Les rues sont désertes, les campagnes sont encore plus vides, il n’y a quasiment plus de bruit mécanique, le ciel n’est plus strié par les avions mais l’avenir est empli d’une belle promesse collective. De toute façon, nous n’avons pas le choix. Nous devons y croire, sans céder à la première désillusion. On va y arriver !

Hervé Chavas, Médiateur, consultant et formateur
Maître de conférences associé, CIFFOP, Université Paris II Panthéon-Assas

Rubriques

  • En hommage à Étienne Le Roy
    • Étienne l’humaniste
    • Défendre la cause de la médiation – Plaidoyer d’un anthropologue du droit
  • Spécial Angers Médiation 2020
    • Discours d’ouverture d’Hervé Carré, président du Congrès : la médiation, un repère au cœur d’un monde en transition
    • Reflets angevins d’une médiatrice humaniste
    • Discours de clôture de Gabrielle Planès, présidente d’honneur de l’ANM : Médiation 21, une voix pour les médiateurs
  • Le sens de la citoyenneté pour des temps troublés
    • Le médiateur territorial : un acteur engagé au service du citoyen et de la collectivité
    • Intermédiés n°7 : inventons ensemble la citoyenneté de demain
  • Tribune libre de l’ANM
    • La médiation africaine, chef-d’œuvre du patrimoine culturel immatériel de l’humanité ?
    • Chronique d’une victoire incertaine ou l’apprentissage de l’humilité
  • Les événements
    • Les Vendanges de la médiation, 27-29 septembre 2019, à Suilly-la-Tour (Nièvre)
    • Les 20 ans de l’Association des médiateurs européens, 4 octobre 2019, à Paris
    • Le Concours de médiation de l’université Lyon II, 7 et 14 novembre 2019, à Lyon
    • La Table ronde sur la médiation pénale et la justice restaurative, 28 novembre 2019, à Genève
  • Les témoignages
    • Les rencontres restauratives : agir plutôt que subir
  • Les ouvrages sélectionnés par l’ANM
    • La relation, ça se gère ! Pour faire avancer les projets en entreprise
    • La comédiation – Mode d’emploi. Clés, témoignages et expériences
    • La justice restaurative en France et en Europe. Actes de la journée d’étude du 22 mai 2019 à l’université Lyon 2
  • Les associations adhérentes
    • AMELY, des actions citoyennes, de l’école au quartier
  • La rubrique internationale
    • L’association Le Souffle : l’apprentissage du collectif à travers les pratiques préventives et restauratives en milieu scolaire
    • Un lieu, des liens : la première Maison de la Paix au Liban

Lettre à consulter sur https://www.anm-mediation.com/newsletter.php?fullid=121766

 

La Lettre n°10 Octobre 2019 de l’ANM


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« L’ANM, un acteur engagé au service des habitants de Paris » par Karine Mehler, Administratrice ANM (anm-mediation.com)


La médiation de voisinage pour Paris Habitat

En juin 2017, l’Association Nationale des Médiateurs (ANM) et Paris Habitat ont conclu un accord de partenariat pour une durée de trois ans aux termes duquel l’organisme de logement social a confié à l’ANM le soin de mener des médiations auprès de certains de ses locataires rencontrant des difficultés de voisinage.

Office public de l’habitat de la ville de Paris, gérant plus de 300 000 logements, Paris Habitat est un acteur majeur du logement social à Paris et en proche banlieue. S’il ne fallait donner qu’un seul chiffre pour faire prendre conscience de l’importance de ce bailleur social, ce serait celui-là : un parisien sur dix est locataire auprès de Paris Habitat !

Créée en 1993, l’ANM est une association de médiation, généraliste, forte de plus de 800 adhérents répartis dans toute la France. L’ANM a notamment pour objet de promouvoir et favoriser la médiation par tous moyens appropriés et de proposer à toutes personnes physiques ou morales, privées ou publiques, des médiateurs dont elles reconnaissent la compétence et l’indépendance, dans le respect du Code national de Déontologie des Médiateurs.

A mi-parcours, il est intéressant de faire un point d’étape sur les enseignements tirés de cette expérience non seulement sur les conflits traités mais aussi sur les expériences mises en place en interne par l’ANM.

Tout d’abord, rappelons brièvement le cadre et l’organisation de cette collaboration.

Les conflits de voisinages sont seuls concernés

La convention, circonscrite aux 230 000 logements situés dans Paris intra-muros, s’applique aux seuls conflits de voisinage d’ordre privé, entre deux ou plusieurs voisins, relatifs à l’occupation du logement (bruit, odeurs…dégâts des eaux répétitifs), aux incivilités ou encore aux perceptions de discrimination…

Il est important de préciser que, classiquement, les troubles psychiques en sont exclus.

De même que tous les litiges concernant les relations des locataires avec leur bailleur. Pour certains d’entre eux, relatifs au contrat de location, à la contestation des loyers et des charges, aux demandes de travaux et leur qualité ou à l’entretien des espaces communs, les locataires disposent par ailleurs de la possibilité de se tourner directement vers le médiateur interne de Paris Habitat.

Objectif : permettre le « vivre ensemble »

Il est demandé aux médiateurs d’aider les locataires à retrouver une jouissance paisible de leur logement en utilisant les outils classiques de la médiation : favoriser le dialogue afin de faire émerger des solutions et permettre le « vivre ensemble ».

En même temps, il est demandé aux médiateurs d’apporter aux équipes du bailleur, tout en respectant le principe de confidentialité,  des clés de compréhension les plus fines possibles de ces « troubles de voisinage » afin que celui-ci puisse traiter efficacement le problème de « jouissance paisible » et soit en mesure d’instaurer une nouvelle culture du « vivre ensemble ».

Le choix des cas proposés à la médiation

Il appartient à chaque délégation parisienne de Paris Habitat (Paris intra-muros est géré par quatre délégations : Nord-Est, Nord-Ouest, Sud-Est et Sud-Ouest) de décider librement des cas à envoyer en médiation. Au fil du temps, cependant, certaines délégations ont demandé à avoir un référent choisi parmi les médiateurs de l’ANM afin d’évaluer, en cas de doute, si la situation est de nature à être traitée en médiation ou non. Cette collaboration, qui vise à améliorer et à développer la prestation offerte aux habitants, évolue et se renforce au cours du temps, grâce notamment à la mise en place d’un site dédié comportant une interface de discussion, comme on le verra plus bas.

Les dossiers sont préparés par les équipes du service de la tranquillité et de la sûreté résidentielle. Les locataires reçoivent un courrier les informant de la mise en place de l’offre de médiation, gratuite pour le locataire, et donc entièrement prise en charge par le bailleur. Le processus de médiation y est succinctement présenté.

En même temps, Paris Habitat envoie à l’ANM un dossier comprenant les coordonnées des locataires, des informations succinctes sur la nature du conflit, son antériorité ainsi que les pièces existantes (telles que les plaintes et différents courriers adressés au bailleur) quand il y en a.

Une fois le dossier reçu, l’ANM l’attribue à l’un des 10 médiateurs volontaires qui, au sein de l’association, se sont engagés dans cette activité. Le médiateur désigné se met alors rapidement en contact avec les locataires et organise chaque entretien individuel. Une fois ces entretiens menés et le consentement à la médiation (pas toujours facile à obtenir) recueilli, une réunion plénière est organisée, plus rarement une deuxième. Un appel téléphonique est prévu un mois plus tard avec chacun des locataires afin de faire le point de la situation.

Alors, après dix-huit mois d’activité et quelque cent vingt cas traités, quels enseignements peuvent être tirés de cette expérience ?

La typologie des conflits

Il est frappant de constater que plus de la moitié des plaintes émane de personnes vivant seules. Deux tiers d’entre-elles sont dirigées contre des familles avec enfants mais 20% sont aussi dirigées contre un voisin vivant seul. Nous n’avons pas encore aujourd’hui traité les données liées à l’âge des plaignants et à leur vie sociale. Mais pour ma part, j’ai pu constater, au cours de mon expérience forcément limitée aux quelques cas rencontrés, que la solitude, la mauvaise santé, l’âge et l’absence de liens sociaux et familiaux réguliers sont des caractéristiques que l’on retrouve fréquemment chez les plaignants.

La majeure partie des conflits, 96 % des cas, est, comme le plus souvent en matière de conflits de voisinage, liée aux nuisances sonores causées par l’une des deux parties.

Cependant nous retrouvons assez régulièrement durant les médiations la mise en avant de nombreux différends interculturels existant entre les protagonistes. Dans ces cas précis, la médiation a pour effet de résoudre ces différends, sans reprise du conflit.

Nous constatons également que, dans une faible partie des conflits traités, 7% des cas, le conflit de voisinage est instrumentalisé par l’une des parties dans le but d’obtenir gain de cause pour une demande formulée à Paris Habitat (relogement notamment). Dans ce cas, il apparaît difficile d’entrer en médiation, car nous faisons souvent face au refus du plaignant d’adhérer au processus.

Rapidité d’intervention est gage d’efficacité de la médiation

Sans surprise, nous constatons que plus le conflit est ancien, plus il est difficile à résoudre.

Ainsi, les médiations qui rencontrent le plus fort taux de réussite (72%), sans reprise ultérieure du conflit, sont celles qui prennent place dans la première année de la naissance du différend. Au-delà de cette période, le taux de réussite descend à 43%.

Une des difficultés majeures réside dans le fait de convaincre les parties à entrer en médiation. Et là, encore, le temps joue clairement en défaveur de la médiation. Car plus le conflit est installé, plus se multiplient les situations de refus d’entrée en médiation d’une des parties concernées. Le taux de refus d’entrée en médiation atteint ainsi les 53% pour les conflits vieux de plus de trois ans quand il n’est que de 19% pour les conflits de moins d’un an.

D’autres enseignements concernent plus particulièrement l’organisation pratique du partenariat au sein de l’ANM qui s’est doté d’un outil internet dédié à Paris Habitat et a mis en place une offre de co-médiation à destination des jeunes médiateurs.

Mise en place d’une offre de co-médiation pour les jeunes médiateurs

Dans le cadre de ce partenariat, l’ANM a souhaité mettre en place un système de co-médiations avec un médiateur confirmé et un médiateur junior afin de permettre à ce dernier de s’exercer en toute sécurité.

A chaque nouvelle médiation, l’ANM attribue un médiateur junior au médiateur confirmé. Dans un mode de fonctionnement idéal, l’ANM s’efforce de faire évoluer les binômes de telle sorte que le médiateur junior puisse travailler au minimum avec deux médiateurs confirmés.

S’agissant d’un partage d’expérience, le médiateur junior n’est pas rémunéré. A ce jour, 80 médiateurs juniors ont pu bénéficier de cette offre de co-médiation. La plupart d’entre eux terminent juste leur formation et trouvent ainsi une première expérience pratique et rassurante aux côtés de leur « tuteur ».

Cette expérience s’est révélée très enrichissante à la fois pour les médiateurs expérimentés et pour les débutants et correspond parfaitement à la mission que s’est fixée l’ANM d’accompagnement de ses adhérents et de la promotion de la médiation.

Mise en place d’un site dédié

Au départ, toutes les correspondances médiateurs – Paris Habitat se faisaient via l’ANM par échange d’emails et/ou coups de téléphone. Il est vite apparu nécessaire d’organiser les relations afin que chacun puisse gagner en temps et en efficacité.

Ainsi, l’ANM a progressivement mis en place une plateforme d’échange en ligne, aujourd’hui pleinement opérationnelle, permettant à Paris Habitat d’être en contact direct avec les médiateurs.

Cette plateforme d’accès restreint permet à chaque médiateur saisi d’un dossier d’en prendre connaissance. Le site regroupe ainsi les coordonnées des locataires, les différentes pièces du dossier et permet d’échanger directement avec les équipes de Paris Habitat en y notant les démarches effectuées. De son côté, Paris Habitat est ainsi tenu au courant en temps réel de l’état d’avancement du dossier.

L’ANM tient à préciser que le principe de confidentialité de la médiation est pleinement respecté : le contenu des discussions, tout ce qui relève de l’intimité des participants à la médiation, n’est pas dévoilé à Paris Habitat.Seuls les données factuelles, la suite des démarches effectuées et leurs résultats sont transmis au bailleur social.

Enfin, une interface de discussion permet aux différents intervenants (PH-médiateur) de discuter entre eux.

Conclusions

Cette activité de l’ANM est en plein développement. Nous espérons traiter plus de 100 dossiers de conflits de voisinage par année. La plate-forme en ligne facilite les échanges entre les divers acteurs ; les outils statistiques utilisés permettent d’analyser cette activité sur les plans quantitatif et qualitatif.

Pour l’ANM, cette activité représente

  • un engagement citoyen au service des habitants de la Ville de Paris,
  • une contribution à l’amélioration du vivre ensemble,
  • une promotion de la médiation appréciée des habitants aux prises avec un conflit de voisinage,
  • une possibilité offerte aux médiateurs débutants de pratiquer la médiation,
  • un cadre pédagogique sécurisant pour accompagner les premiers pas d’une professionnalisation.

(Extrait de anm-mediation.com n° 9 avril 2017)

(En savoir plus sur http://www.anm-mediation.com/index.php/fr/?option=com_content&view=article&id=532:l-anm-un-acteur-engage-au-service-des-habitants-de-paris&catid=102:numero-09

Publication de la La Lettre n°09 avril 2017 de l’ANM


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Lettre à consulter sur http://www.anm-mediation.com/index.php/fr/actualites/newsletter/listid-1/mailid-19-numero-09

Formation : LA MÉDIATION ADMINISTRATIVE, 7-8/6/2019, ANM, Paris


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Publication de la Lettre d’information de l’ANM numéro 37, avril 2019


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Lettre d’information à consulter sur http://anm-mediation.com/images/Lettre_dinformation_bi-mensuelle__avril_2019_num%C3%A9ro_37.pdf

Lettre d’information bi-mensuelle de l’ANM Avril 2019 n° 37


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(Extrait de anm-mediation.com du 6/4/2017

Lettre d’information à consulter sur http://www.anm-mediation.com/index.php/fr/actualites/506-lettre-d-information-bi-mensuelle-de-l-anm-avril-2019-n-37

Communiqué : L’ANM et le collectif Médiation 21 se mettent à la disposition de tous les acteurs du Grand débat national


En savoir plus sur http://www.anm-mediation.com/index.php/fr/