Webinaire : « La prévention et la gestion des rixes entre bandes : comment la médiation sociale peut-elle agir en prévention pour éviter ces phénomènes ? » organisé par France Médiation et l’ANCT, le 3 avril 2025 de 13h30 à 14h30


Audio – Antidot Episode 11: « Sortir du conflit impactant une équipe avec la médiation collective » par Emilie Thivet-Grivel, avocate, médiatrice


A écouter sur https://www.linkedin.com/posts/emiliethivet-grivel_plus-javance-plus-je-r%C3%A9alise-quele-conflit-activity-7309128319927476225-yGul/?utm_source=share&utm_medium=member_android&rcm=ACoAAAI9qKIBUdrVnyHXEanNZav8WKMzIxTvR8I

Belgique :  » journée des ressources humaines : la médiation collective en entreprise  » mardi 08/10/2024, organisée par MC sociale-Association active dans la promotion de la Médiation et de la Conciliation en droit social


« Du 3 au 11 octobre 2024, la Commission fédérale de médiation organise la Semaine de la Médiation.
Chaque jour de la semaine sera consacré à un thème différent.

Nous aimerions vous inviter à participer à notre événement ‘Journée des RH’ le mardi 8 octobre.

Durant cette session, nous approfondirons le thème : ‘La Médiation collective en Entreprise’. Les intervenants sont : Marie-Anne Bastin, Philippe Lambiliotte, Moreno Olivier et Laure Veirier.

Précisons que celle-ci se fera en ‘en ligne’, de 09h30 à 11h00, est entièrement gratuite, et compte pour 1h30 de formation permanente. » (Extrait de https://www.linkedin.com/posts/mediation-et-conciliation-sociale-mc-sociale_formation-m%C3%A9diation-collective-en-entreprise-activity-7241720600879075328-vgX3/?utm_source=share&utm_medium=member_android)

Inscriptions via le lien : https://lnkd.in/eb6mJbiq

« Médiation collective : éclairages sur cet outil de résolution des situations conflictuelles », Risques psychosociaux, 11/09/2024, Editions Tissot


« Plébiscitée pour solutionner des conflits interpersonnels, la médiation peut aussi être utilisée pour apaiser des tensions collectives. Deux médiateurs en entreprise, Julie Fritsch et Michael Copsidas, nous apportent leurs éclairages sur le sujet

(…)

Dans quelles situations la médiation collective est-elle indiquée ?

Julie Fritsch : De manière générale, une médiation, qu’elle soit collective ou individuelle, a tout son sens dans les situations conflictuelles ou de tensions, quand le dialogue est devenu difficile, voire impossible, lorsque l’aspect émotionnel et relationnel crée des dysfonctionnements. L’entreprise est un terreau favorable à l’émergence de conflits, il faut déculpabiliser à ce sujet (personnalités différentes, contextes de changements, objectifs forts, etc.) ! Le tout, c’est d’éviter l’escalade. Concernant les situations collectives, nous sommes souvent sollicités dans le cas : 

  • d’une équipe avec un climat délétère, une mauvaise ambiance dont on a du mal à déterminer les causes ;
  • d’un conflit entre deux équipes distinctes ;
  • d’une équipe divisée en clans ;
  • d’un CODIR qui dysfonctionne, rendant les décisions de plus en plus difficiles à prendre ;
  • d’un CSE avec des membres qui ne s’entendent plus, paralysant ainsi le dialogue social au sein de l’entreprise. » (Extrait de editions-tissot.fr/actualitedu 11/09/2024)

En savoir plus sur https://www.editions-tissot.fr/actualite/sante-securite/mediation-collective-eclairages-sur-cet-outil-de-resolution-des-situations-conflictuelles

Webinaire : « La médiation d’équipe « , le 26 avril 2024, de 12h30 à 14h00, organisé par le Groupement Pro Médiation (GPM) – Suisse


« O b j e c t i f s
Ce webinaire est conçu pour les professionnels souhaitant approfondir leurs compétences en
médiation de conflits au sein des équipes.
À travers l’analyse de cas réels, les participant-e-s apprendront comment aborder
efficacement les médiations de conflits d’équipe et comprendre leurs particularités.


C o n t e n u
Ce webinaire propose une exploration des méthodes de médiation de conflits d’équipe à
travers des cas pratiques, les cas des participant-e-s peuvent être intégrés également.
Les participant-e-s découvriront des s tratégies adaptées pour naviguer dans ces scénarios
complexes, en se concentrant sur l’importance de la dynamique de groupe, les structures
hiérarchiques, et les contraintes organisationnelles. Le webinaire mettra également un
accent particulier sur le processus de médiation multi -acteurs.


D e s t i n a t a i r e s
Médiateur.ice.s au bénéfice d’une formation initiale à la médiation de 120h minimum.


N o m b r e d e p a r t i c i p a n t s

Minimum 10 ; maximum 16


D a t e e t h o r a i r e s
Vendredi 26 avril 2024, de 12h30 à 14h00
M o d a l i t é s d u w e b i n a i r e


Visioconférence sur Zoom (un lien de connexion sera transmis aux personnes inscrites).


F o r m a t e u r
Pascal Gemperli
Médiateur FSM assermenté par les Tribunaux cantonaux vaudois, genevois
et fribourgeois pour les affaires civiles et reconnu par la Chambre Suisse
de Médiation Commerciale (CSMC ) – Formateur et coach accrédité par
l’International Coaching Federation (Extrait)

C o û t d e l a f o r m a t i o n
CHF 130 pour les non -membres du GPM
CHF 100 pour les membres du GPM

Informations et inscription sur : https://lnkd.in/euGs-qV3

Environnement – Médiation sur les pesticides à La Rochelle : entre agriculteurs et habitants, « le fossé est trop grand »


« Après sept mois d’échanges entre agriculteurs et habitants de la plaine d’Aunis, particulièrement exposés aux pesticides, un sentiment d’échec et de frustration règne.

Réconcilier les agriculteurs et les habitants autour de la question des pesticides dans un climat de défiance grandissant. La tâche s’annonçait ardue. Cet exercice, inédit en France, a pris la forme d’une médiation d’envergure à huis clos, commencée en septembre par l’agglomération de La Rochelle, en Charente-Maritime. Une centaine de participants ont été recrutés sur cinq communes. Mais après sept mois d’échanges, six ateliers préparatoires, deux séances plénières et une réunion de restitution le 29 mars, le laboratoire aquitain laisse un sentiment général de frustration et un constat d’échec. Chacun campe sur ses positions. «Tout ça pour ça. Le fossé est trop grand», résume, amère, une riveraine qui regrette «un manque de volonté malgré des échanges cordiaux».

A quelques encablures du littoral touristique, dans les villages de la plaine d’Aunis, il faut dire que l’ambiance est électrique depuis 2018. Pilotée par l’Inserm, une étude épidémiologique a révélé un excès de risque de cancers pédiatriques à Saint-Rogatien. Dans ce village de 2 400 habitants, aux portes de La Rochelle, six enfants et adolescents ont développé un cancer entre 2008 et 2017. D’autres ont été détectés depuis, sans qu’un lien officiel n’ait été établi. La nouvelle a suscité un vent de panique chez les habitants. C’est dans ce contexte qu’est née l’association Avenir santé environnement – représentée à la médiation – qui compte 120 membres. » – Eva Fonteneau, – (Extrait de Libération.fr du 19/04/2023)

En savoir plus sur https://www.liberation.fr/environnement/agriculture/mediation-sur-les-pesticides-a-la-rochelle-entre-agriculteurs-et-habitants-le-fosse-est-trop-grand-20230419_JNKQMTBCZVAD5JHPCMPIWF5AVM/

« Comment impliquer les médecins dans la médiation collective et de projet à l’hôpital public ? » par Le Professeur Yann MIKAELOFF explore cette question institutionnelle par la sociologie des organisations (Partie 3)? Manager Santé n°3, avril 2023


« La médiation à l’hôpital, dès lors qu’elle impacte le collectif ou la définition d’un projet, nécessite d’adopter une vision globale au-delà des seuls individus en dispute, facilitant alors la construction d’objectifs durables pour l’organisation.

Il s’agit d’une vision à dimension globale entrainant alors un changement de paradigme par l’introduction de perspectives systémiques qui pourrait probablement s’appliquer à toute action de médiation en santé, telles sont les interdépendances entre l’individu et le système complexe, qui caractérisent les établissements de santé. La médiation sera alors envisagée sous le prisme d’une intervention globale, authentique et humaniste, comprenant que des indicateurs comme l’absentéisme, les démissions, la souffrance et la violence au travail sont la face émergée visible de l’iceberg des dysfonctionnements.

Ici, la médiation de conflit interindividuelle sera initiée à l’échelle du service, voire de l’établissement, pour atteindre un niveau supérieur à l’interpersonnel et construire avec les médiés/parties une solution durable en s’appuyant sur les principes développés dans les deux articles précédents (en recontextualisant la qualité des relations entre les individus).

Les différents niveaux d’analyse et de compréhension ne s’excluent pas. Il s’agit de focaliser sur plusieurs niveaux complémentaires, pour éviter le risque de la réduction par trop simplificatrice des problèmes aux individus, voire de l’instrumentalisation de la médiation dans le cadre d’un système mal abordé ; puis de choisir le bon objectif et la bonne focale faisant des allers-retours du microscope au « macroscope » (terme de Joël de Rosnay). La question peut même ouvrir à des dimensions macroéconomiques, géopolitiques et civilisationnelles. » (Extrait manager sante.com d’avril 2023)

En savoir plus sur https://managersante.com/2023/04/10/comment-impliquer-les-medecins-dans-la-mediation-collective-et-de-projet-a-lhopital-public-le-professeur-yann-mikaeloff-explore-cette-question-institutionnelle-par-la-sociologie-des-organisations/?s=09

« Passez de médiateur à facilitateur : Développer ses compétences pour résoudre les conflits de groupe » par Jean Poitras, Psychologue et expert en gestion de conflits


« Une médiatrice obtient un mandat afin de régler un différend entre deux employés. Mais à peine son intervention débutée, elle s’aperçoit que le conflit initial entre les deux employés s’est étendu pour impliquer d’autres membres du département. Peut-elle utiliser ses habiletés de médiation pour résoudre ce différend de groupe ? La réponse simple constitue un oui. Cependant, un intervenant habitué à résoudre des conflits interindividuels devrait ajouter des outils pour être en mesure de dénouer efficacement une querelle de groupe. Pour mieux comprendre, examinons ce qui distingue les deux types de situations. 

Un conflit interpersonnel survient lorsque deux collègues ou plus demeurent en désaccord ou s’affrontent en raison de divergences de croyances, de valeurs, d’opinions ou de comportements. On peut aussi inclure dans cette catégorie les affrontements de caractères. S’ils ne sont pas réglés, ils entraînent des émotions négatives, des relations endommagées et une diminution du rendement des personnes impliquées. Les conflits relationnels peuvent affecter la productivité, le moral et la satisfaction des individus touchés. 

Un conflit de groupe, en revanche, implique trois collègues ou plus au sein d’une équipe qui nourrit des différences dans les objectifs, les valeurs, les opinions ou d’autres facteurs organisationnels. Ils entraînent des conséquences nuisibles comme une baisse de l’efficacité ou encore la formation de clans. On peut aussi parfois assister à l’émergence de leaders négatifs qui viennent alors cristalliser la situation. Les conflits de groupe ont un impact plus large sur l’organisation et affectent le rendement, le travail d’équipe et même la réputation de l’entreprise.  » (Extrait linkedin.com du 22/03/2023)

En savoir plus sur https://www.linkedin.com/pulse/passez-de-m%C3%A9diateur-%C3%A0-facilitateur-d%C3%A9velopper-ses-pour-jean-poitras/?utm_source=share&utm_medium=member_android&utm_campaign=share_via

À Calais, la médiation est dans une impasse


La Croix logo

« Les propositions de Didier Leschi, revenu à Calais mardi 2 novembre pour poursuivre sa médiation, ont été rejetées par les associations soutenant les grévistes de la faim, qui entendent continuer leur action.

(…)

À peine une demi-heure après avoir commencé à recevoir leurs représentants dans les locaux d’un foyer pour jeunes travailleurs, le médiateur du gouvernement est sorti sous les huées d’une quarantaine de militants qui l’attendaient à l’extérieur. Le haut fonctionnaire, directeur général de l’Office français de l’immigration et de l’intégration (Ofii), a ensuite quitté les lieux dans une voiture, sans faire la moindre déclaration. » -P. Charrier -(Extrait de la-croix.com du 2/11/2021)

En savoir plus sur https://www.la-croix.com/France/A-Calais-mediation-impasse-2021-11-02-1201183272

« Pour dénouer un conflit de groupe, il faut parfois encourager l’expression des désaccords! » par Jean Poitras et Solange Pronovost (conflits-strategies.com)


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« Référons-nous à un contexte auquel bon nombre de gestionnaires et d’intervenants ont été confrontés. Vous facilitez une discussion avec un groupe en situation conflictuelle. Lors des rencontres privées, presque tout le monde vous a mentionné en avoir assez des comportements d’un des leaders négatifs. Mais voilà que durant l’entretien collectif, personne n’ose parler comme si au fond, les choses n’étaient pas si pires. Est-ce que les gens ont exagéré lorsqu’ils se sont entretenus avec vous? Comment expliquer l’apparente «harmonie» alors que vous savez que plusieurs pensent qu’il y a un problème? Selon le psychologue Irving Janis, vous faites face probablement à ce qu’il identifie comme étant la pensée de groupe. Mieux comprendre ce fait observable constitue un atout majeur pour les professionnels qui animent des échanges avec des équipes aux prises avec un conflit.
En n’osant pas exprimer les désaccords, un groupe
peut prendre des décisions nuisibles, voire illogiques.

On peut définir la pensée de groupe comme un phénomène psychologique qui se produit au sein d’un groupe de personnes pour lesquelles le désir de concorde entre elles les amène à tenter de minimiser les conflits en supprimant activement les points de vue divergents. Lors d’un différend, il s’agit donc d’un mécanisme de défense visant à préserver le statu quo de peur que les choses empirent si on aborde un sujet difficile. En fait, il n’est pas rare qu’afin d’obtenir une véritable conversation, l’intervenant doive comprendre et briser ce processus.

Pensée de groupe en contexte de conflit. Dans une telle situation, la pensée de groupe se forme généralement de la façon suivante. Les débats entre les membres des clans créent beaucoup de tensions relationnelles, ce qui les rend mal à l’aise. Pour éviter ces émotions négatives, les gens développent le réflexe de contourner les sujets de discordes. Et quand quelques personnes soulèvent des points litigieux, la majorité garde le silence pour ne pas jeter de l’huile sur le feu. La pensée de groupe conduit alors au maintien de la dynamique dysfonctionnelle qu’aucun individu ne veut mettre en lumière de peur de raviver le conflit. À la longue, non seulement esquive-t-on les questions de désaccord, mais on en vient à croire que de toute façon, rien ne peut être fait pour les régler.
Impact et gestion de la pensée de groupe. Si la pensée de groupe réussit à conserver une certaine harmonie de surface parmi ses membres, elle nuit considérablement aux efforts de résolution. En effet, pour désamorcer un conflit, il faut parler ouvertement de celui-ci. Ainsi, lorsque le phénomène est présent, les gens n’osent pas exprimer leur opinion ou parler des sujets délicats. On risque alors d’avoir des conversations superficielles et des faux consensus. Or, pour résoudre une situation conflictuelle, il faut changer les schèmes de pensée! Cela n’est possible qu’en abordant de front les éléments litigieux. Gérer l’effet de la pensée de groupe est donc important si on veut s’assurer que les discussions ne passent pas à côté des vrais enjeux ou ne révèlent pas les véritables points de vue.
À cet effet, la littérature propose quatre stratégies qui peuvent être adaptées lors d’un échange entre les personnes impliquées dans un conflit :
  •  Expliquer le phénomène. Il s’agit tout simplement de le décrire au groupe afin que les membres en prennent conscience et admettent que parfois ils en sont victimes. L’intervenant les incite alors à faire un effort pour ne pas taire les désaccords en leur expliquant entre autres l’importance de tout mettre sur la table.
  • Rassurer les gens sur le fait que les débats seront constructifs. Pour beaucoup de personnes, la crainte que les discussions déraillent est souvent suffisante pour les amener à se taire. Il est donc nécessaire que l’intervenant précise la façon dont il encadrera les pourparlers afin que ceux-ci restent courtois. Si on veut que les participant(e)s s’expriment, ces dernier(ère)s doivent avoir confiance que le dialogue ne dérapera pas.
  • Encourager les leaders à moins parler. La présence de ces meneurs exacerbe habituellement le phénomène de la pensée de groupe. En effet, les subalternes hésitent généralement à émettre une opinion différente de celle de leur supérieur ou de certains de leurs collègues influents. Sans les exclure des échanges, l’intervenant doit les encourager à prendre le moins de place possible. Il peut notamment les inviter à ne pas s’exprimer en premier, mais plutôt à la fin.
  • Utiliser des petits groupes de discussion. Une stratégie efficace consiste à former des sous-groupes pour ensuite mettre en commun les conclusions de chacun d’eux. À cet égard, il est prouvé qu’il est plus facile de donner son point de vue librement en présence d’un plus petit nombre de personnes que lorsqu’elles sont plusieurs. De plus, si les propos des sous-groupes sont ramenés à l’ensemble de façon agrégée (ou dans un tout), les gens seront encore plus confortables de partager leur opinion.
Un des défis associé à la gestion d’un conflit de groupe est de donner une voix à la majorité silencieuse. C’est souvent la clé pour redresser la dynamique qui s’y est installée. Mais pour ce faire, il faut créer un contexte qui sera propice pour que ces personnes puissent s’exprimer; ce qui n’est pas nécessairement le cas en situation conflictuelle. En effet, le phénomène de la pensée de groupe peut inhiber l’expression de certains enjeux qui doivent être discutés pour la résoudre. C’est dans cette perspective que pour dénouer ce genre de situation, il faut parfois encourager la verbalisation des désaccords. Évidemment, pour l’intervenant, il ne s’agit pas simplement de faciliter l’extériorisation des opinions, mais aussi de canaliser le dialogue dans un cadre de recherche de solution. Selon notre expérience, celle-ci devient beaucoup plus aisée quand on désamorce la pensée de groupe.
Références 
  • BARON, Robert S. So right it’s wrong: Groupthink and the ubiquitous nature of polarized group decision making. Advances in experimental social psychology, 2005, vol. 37, no 2, p. 219-253.
  • TURNER, Marlene E. et PRATKANIS, Anthony R. Mitigating groupthink by stimulating constructive conflict. Using conflict in organizations, 1997, p. 53-71.
  • HUMPHREY, Stephen E., AIME, Federico, CUSHENBERY, Lily, et al. Team conflict dynamics: Implications of a dyadic view of conflict for team performance. Organizational Behavior and Human Decision Processes, 2017, vol. 142, p. 58-70.

Vidéo : « Devriez-vous conduire une médiation de groupe et une médiation interpersonnelle de la même manière ? » par Jean Poitras (Conflits-Strategies.com)


 

Conflits stratégie.PNG125.PNGAlors que les conflits interpersonnels impliquent deux individus, les conflits de groupe met en cause généralement deux clans. Or la présence de plusieurs personnes mêlées à un conflit peut créer un effet de groupe. Par exemple, il a été démontrer que les individus en situation de groupe sont davantage polarisés et intransigeants qu’en situation de dyade. Devriez-vous tenir compte de ce phénomène lorsque vous planifier votre stratégie de médiation ? Selon une récente étude, il semble que oui. En effet, l’efficacité des stratégies de facilitation et de pressions peut varier en fonction du type de conflit. Qu’est-ce que cela signifie pour les médiateurs?

Pour savoir comment choisir votre stratégie de médiation, visionnez le court vidéo : http://www.conflits-strategies.com/2016/10/devriez-vous-conduire-une-mediation-de.html

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