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Notre prochaine conférence en ligne, le 29 octobre à 18h (CET) : Le modèle transformatif comme cadre commun à une équipe (convictions, promesses, intentions et pratiques)…… une source de clarté, de cohérence et de force individuelles et collectives
« A l’occasion de la Journée internationale des Femmes 2025, l’Agence Universitaire de la Francophonie (AUF) vous propose de partir à la rencontre de femmes engagées et inspirantes qui façonnent le monde francophone à travers une série de courts interviews et portraits. Trois questions à Johanna Hawari Bourjeily, fondatrice et directrice du Centre professionnel de médiation de l’Université Saint-Joseph de Beyrouth (Liban), partenaire de l’AUF, et membre de la Commission Médiation et Gestion des conflits de l’AUF.
Quelles circonstances vous ont conduite à épouser une carrière dans la médiation ?
Après l’obtention d’un diplôme d’études approfondies (DEA, ex-Master 2) en droit pénal et d’un diplôme de criminologie de l’Université Assas – Paris II (France), j’ai passé mon certificat d’aptitude à la profession d’avocat. C’est au cours de ma carrière d’avocate pénaliste à la Cour d’Appel de Paris que j’ai rencontré, par hasard, la médiation. En effet, je devais défendre une jeune femme de 21 ans accusée de coups et blessures et, le procureur, au regard de la nature de l’infraction, a proposé de soumettre au préalable ce cas à la médiation. Ce fut une révélation pour moi. Car, ce processus humaniste avait permis à la fois à la victime d’être entendue et reconnue dans sa souffrance et, à l’auteure du préjudice de prendre conscience des conséquences de son passage à l’acte et ainsi de se responsabiliser.
Pleinement acquise à cette cause, j’ai alors suivi une formation pour devenir médiatrice auprès de l’Institut de formation à la médiation et à la négociation de l’Institut catholique de Paris et du Centre de médiation et de formation à la médiation de Paris. Depuis ce jour, la médiation ne m’a plus quittée et a représenté à mes yeux, une voie à emprunter, celle de la non-violence.
En 2006, vous avez fondé le Centre professionnel de médiation à l’Université Saint-Joseph de Beyrouth. Quel rôle lui avez-vous donné ?
Le Centre professionnel de médiation (CPM) a pour mission de promouvoir une culture de la non-violence et d’ancrer une éducation à la paix au Liban et au Moyen-Orient et ce, à travers la médiation comme outil de transformation sociale.
Le CPM a trois axes d’actions : il est à la fois un centre de formation, de médiation et un incubateur de projets, développés en collaboration avec des institutions nationales et internationales engagées telles que l’AUF, ONU Femmes, etc.
Il forme tant des professionnels provenant de divers secteurs de la société, que d’étudiants des universités libanaises et régionales, à travers le partenariat avec l’AUF, ou des élèves-médiateurs au sein des écoles publiques et privées au Liban.
Par ailleurs, des médiateurs professionnels diplômés du CPM sont mis à la disposition des citoyens pour les aider à prévenir et résoudre leurs tensions et conflits à l’amiable. Les médiateurs sont impartiaux et neutres et agissent dans un cadre éthique et déontologique.
Pouvez-vous partager une anecdote marquante où la médiation a vraiment changé le cours des choses ? Au lendemain de la guerre de juillet 2006, le CPM, en collaboration avec l’Association Médiateurs sans Frontières et le Mouvement Social libanais, a mis en place un projet regroupant 75 jeunes âgés de 14 à 20 ans de confessions et de régions différentes. Je me souviens en particulier de deux groupes de jeunes provenant de villages voisins dans le sud du Liban qui refusaient de se parler et de se rencontrer en raison de leurs divergences politiques et communautaires. Notre travail de médiateur a consisté à créer des espaces neutres et confidentiels de dialogue et d’écoute afin de les inciter à exprimer leurs ressentis, angoisses et appréhensions. Puis, nous les avons aidés à aller les uns vers les autres sans jugement ni a priori. À l’issue de ce projet, ces jeunes qui se diabolisaient sans même s’être rencontrés ont fini par nouer une belle amitié basée sur la compréhension mutuelle, le dialogue constructif et le respect de la différence. » (Extrait de auf.org du 28/03/2025)
« La médiation joue un rôle crucial dans la résolution des conflits, offrant un espace de dialogue et de compréhension qui favorise la paix et la réconciliation. Dans un monde où les tensions sociales et politiques sont omniprésentes, cet outil devient indispensable pour construire et restaurer du lien. C’est dans ce contexte que Johanna Hawari Bourjeily, fondatrice et directrice du Centre Professionnel de Médiation de l’Université Saint-Joseph de Beyrouth, partenaire de l’AUF de longue date, s’engage avec passion. Elle partage son expérience et sa vision de la médiation, et illustre comment la médiation peut transformer des vies et renforcer le tissu social dans un pays en quête de paix. Témoignage de Johanna Hawari Bourjeily qui est également présidente de « Médiateurs Sans Frontières Liban » et membre de la Commission Médiation de la Conférence régionale de recteurs de l’AUF Moyen-Orient.
• Quel est le plus grand défi auquel vous faites face dans le domaine de la médiation aujourd’hui, et comment le Centre professionnel de médiation y répond-il ? Je souhaiterais en premier lieu définir la médiation, qui est un mode alternatif de résolution des conflits (MARC), qui s’effectue par l’entremise d’un médiateur, tiers neutre et impartial. Ce dernier a pour rôle d’acheminer les parties en désaccord dans la recherche d’une solution satisfaisante à leurs différends. En ce sens, ce processus rapide, confidentiel, informel et peu onéreux, se distingue de la procédure judiciaire et de l’arbitrage. La culture de médiation étant un véritable outil de pacification et de réconciliation, la promouvoir dans la mosaïque culturelle et communautaire que représente le Liban, comporte de nombreux défis, aggravés par les crises économiques, sociales et politiques et ce, dans un contexte de guerres régionales. Afin de faire face à ces défis qui se situent à plusieurs niveaux, le Centre Professionnel de Médiation (CPM) de l’Université Saint-Joseph de Beyrouth adapte et réajuste, de manière régulière, ses interventions et actions au regard de la réalité du terrain. » (Extrait de auf.org du 28/01/2025)
Nous avons le plaisir de vous annoncer la publication du 2ème numéro de la Revue des Médiation . Ce numéro constitue la 2ème partie du précédent numéro ayant pour thème « Médiations et diversité culturelle » . La « Revue des Médiations » qui remplace la Lettres Médiations, est une revue électronique de langue française fondée par des médiateurs et des chercheurs français avec la participation de représentants de pays francophones comme le Québec, la Belgique, le Luxembourg et la Suisse. Nous nous sommes limités dans un premier temps à quelques pays francophones et nous cherchons des correspondants d’autres pays. Si vous êtes intéressés merci de nous contacter àRevueDesMediations@gmail.com;
L’IMEF semblerait avoir été créé en 2010 mais depuis 2015 il n’y aurait plus d’activité publique (note LDM)
« Genèse
L’Institut de la Médiation dans l’Espace Francophone (IMEF) est né de la volonté d’une communauté de professionnels et d’institutions partenaires partageant l’ambition de développer la médiation comme un puissant vecteur de changement de société, étroitement lié au dessein fondateur de la francophonie.
La volonté d’une communauté constituée autour de la médiation à partir d’une série de rencontres en Europe
La vision de la médiation que souhaite promouvoir l’IMEF s’appuie en premier lieu sur une communauté de professionnels, riche d’une grande diversité d’expériences et d’orientations, qui lui a donné naissance :
Principalement issus de pays francophones (Canada, France, Belgique, Suisse…) ou souhaitant promouvoir le développement de la médiation dans l’espace francophone, ces professionnels proviennent d’une grande variété d’horizons : avant tout médiateurs, avocats, magistrats, consultants, formateurs et coachs, également chercheurs en médiation et gestion des conflits, sociologues, universitaires, dirigeants et responsables d’entreprises, d’institutions, de collectivités territoriales, d’associations…
L’IMEF s’est construit en fédérant progressivement tous ces professionnels de la médiation au fil d’une série de rencontres internationales organisées depuis 2010 en Europe. Ces rencontres successives ont été conçues de façon à croiser les apports des sciences sociales – sociologie, psychologie, droit, philosophie,… – pour prendre la mesure des expériences de médiation et permettre aux professionnels de s’ouvrir à de nouvelles compréhensions. Au final, émergea de ces rencontres, une vision de la médiation, communément partagée entre les membres de l’IMEF.
Cette série de rencontres a fait émerger :
Une vision partagée de la médiation définie comme un mode approprié de prévention et de règlement amiable des différends, qui responsabilise les personnes et/ou les parties et met en valeur la citoyenneté active et responsable.
La volonté de construire une théorie générale de la médiation, enallant au-delà du cadre judiciaire des conflits et en traitant leur prévention, et plus largement, en fédérant toutes les pratiques de médiation qui se situent sur l’axe des métiers de l’accompagnement relationnel (comme la médiation judiciaire et la médiation conventionnelle, la médiation organisationnelle, la médiation en contexte d’autorité, la médiation de projet, la prévention des différends, …)
Un projet commun de création d’une « maison des médiations », qui œuvrerait à la promotion et au développement de la médiation dans l’espace francophone et réunirait des praticiens et des enseignants, lors d’activités de niveau international.
Un intérêt partagé à promouvoir les objectifs, méthodes et outils de la médiation au travers de toute forme d’activité humaine susceptible de les intégrer, en jouant le rôle de « passeur d’idées ».
Une vision de la médiation inscrite au cœur du projet de la francophonie
La création d’un espace francophone de la médiation prend racine dans la profonde convergence entre cette vision de la médiation et le projet de la francophonie :
Issu de la société civile, le mouvement de la francophonie est porté par un double héritage commun : les valeurs humanistes de paix, de solidarité, de coopération affirmées notamment par la déclaration universelle des droits de l’homme de 1948, et la langue française, langue diplomatique historique et outil de communication, de réflexion, de création et d’échange d’expériences, outil qui serait partagé sur les 5 continents.
La Francophonie vise à mettre les liens entre ses membres au service de la paix, en instituant un espace de dialogue, de coopération et de partenariat dans le respect de la diversité des peuples, des cultures et des nombreuses langues en usage dans l’espace francophone.
La Charte de la francophonie[1] met notamment l’accent sur le renforcement des capacités des états de droit et sur le développement – au-delà du dialogue entre les cultures – d’une culture du dialogue, enracinée dans la diversité de l’espace francophone.
L’Organisation internationale de la Francophonie s’attache à articuler la démocratie, le respect des droits humains, la paix et le développement durable (Déclaration de Bamako). Elle participe à la prévention des conflits, à l’accompagnement des sorties de crises et des transitions, au renforcement de la protection des civils et à la consolidation de la Paix (Déclaration de Saint Boniface, Québec). Elle privilégie l’instauration d’un dialogue interculturel, propre à créer une solidarité, et d’une diplomatie préventive. Elle participe au Conseil des Droits de l’Homme et à la Commission de consolidation de la Paix institués dans le cadre des Nations Unies.
Au niveau de la citoyenneté comme dans les relations internationales, le projet francophone articule ainsi très étroitement médiation, démocratie et paix et privilégie par principe la prévention et la médiation, la sanction restant un recours ultime et exceptionnel.
[1] Adoptée par l’OIF lors du VIIème sommet de la Francophonie en novembre 1997 à Hanoï (Vietnam), puis révisée lors de la XXIème conférence ministérielle de la Francophonie en novembre 2005 à Antananarivo (Madagascar). »
« L’Association de Médiation Internationale Francophone («Association Francophone Internationale de Médiation” / “AFIM”) a été créée le 13 septembre 2022 à Genève, en Suisse, comme une évolution de la section romande de la Chambre suisse de médiation commerciale (« SKWM/CSMC/SCCM »). L’objectif de l’organisation est de créer un réseau international de médiateurs francophones accrédités ou en formation, et d’étendre la pratique réussie des petits déjeuners de médiation (« P’tit Déjeuner de la médiation“) à un public plus large de médiateurs francophones à travers le monde.
(….)
L’organisation offrira mensuellement « P’tit déjeuner de la médiation” séances. Si la médiation commerciale et internationale restera au centre des discussions, le champ des petits-déjeuners de médiation sera élargi à tout médiateur exerçant dans d’autres zones et au-delà de la Suisse. Ces sessions sont gratuites pour tous les membres de l’AFIM et les membres de ses entités coopérantes.
Le prochain petit-déjeuner de médiation aura lieu le Wednesday, Octobre 12th 2022 from 08h15-09h30 Heure d’Europe centrale (CET) avec Aloysius Goh, Médiatrice certifiée IMI et avocate en médiation, et fondatrice de Sage Médiation Pte Ltd (SG), un IMI MA QAP. M. Goh s’exprimera sur « Sujets d’actualité concernant la Convention de Singapour”. L’événement se déroulera en anglais, avec des sous-titres simultanés en français.
« Près d’un million d’usagers et plus de 200 mille personnes accueillies et informées sur leurs droits, 75% de médiations réussis. Tels sont, entre autres chiffres, les résultats enregistrés de l’activité des maisons de Justice pour la séquence 2006-2021. C’est Amaury Hoste, chef d’équipe Gouvernance et stabilité à l’Union européenne (Ue), qui l’a fait savoir lundi. «Au Sénégal, le dispositif de Justice de proximité constitue une véritable référence au regard des résultats importants enregistrés. En quinze ans, de 2006 à 2021, près d’un million d’usagers ont fréquenté les maisons de Justice et plus de 200 000 personnes ont été accueillies et informées sur leurs droits. Le résultat des médiations est de l’ordre de 75%, sur plus de 175 000 dossiers traités», a-t-il expliqué lors de l’inauguration de la Maison de justice de Bambilor.
12 nouvelles maisons pour faciliter la Justice de proximité Le ministère de la Justice, dans le cadre du projet de l’Union européenne en appui au renforcement de l’Etat de droit (Pared), a entamé, depuis le 18 mars, une série d’inaugurations de 12 maisons de Justice sur le territoire national, pour conforter les bons résultats enregistrés par la Justice de proximité. «Nous sommes là aujourd’hui, au nom du Garde des sceaux, pour inaugurer la Maison de la justice de Bambilor. Depuis 2 semaines, le ministère de la Justice est dans un processus d’inauguration de 12 maisons de la Justice», a noté Aissé Gassama Tall, Secrétaire générale du ministère de la Justice, indiquant que Saint-Louis, Ourossogui et Richard Toll auront les leurs. » -A. B. NDIAYE (Extrait de lequotidien.sn du 13/04/2022)
Nous avons le plaisir de vous annoncer la publication du 11ième numéro de la lettre des médiations consacré aux innovation dans la médiation . Cette « lettre des médiations » est une revue électronique de langue française fondée par des médiateurs et des chercheurs français avec la participation de représentants de pays francophones comme le Québec, la Belgique, le Luxembourg et la Suisse. Nous nous sommes limités dans un premier temps à quelques pays francophones et nous cherchons des correspondants d’autres pays. Si vous êtes intéressés merci de nous contacter à letmed@numericable.fr
« Le Haut-commissariat à la protection des droits, des libertés et à la médiation de la Principauté de Monaco accueille les 12 et 13 juillet 2021 une conférence de l’Association des Ombudsmans et Médiateurs de la Francophonie sur le thème suivant : « Protéger les droits des générations futures : quel rôle pour les Ombudsmans ? »
Considérant la multiplication des marches pour le climat et le rajeunissement de ce phénomène croissant de manifestations ces dernières années, les décideurs politiques sont interrogés sur leurs responsabilités envers leurs citoyens quant aux enjeux vitaux que sont la préservation de la planète et de l’humanité.
Dans de nombreux pays, les acteurs politiques, dont les décisions tendent à être majoritairement dictées par le court-termisme et les cycles électoraux, peinent à prendre en considération les besoins des jeunes générations n’ayant pas encore accès au droit de vote, et plus encore ceux des générations à naître qui ne sont par définition pas reconnues comme des sujets de droit. Au plan international, les déclarations et conventions incorporant un principe de responsabilité envers les générations futures revêtent encore pour la plupart une dimension essentiellement symbolique. Lorsque des engagements sont pris, notamment dans le domaine de la lutte contre le réchauffement climatique dont les effets irréversibles sur les écosystèmes s’annoncent dévastateurs, leur mise en œuvre reste incertaine et conditionnée dans les faits à l’adhésion et aux efforts de tous les Etats, dont certains parmi les plus pollueurs et consommateurs de ressources continuent de fermer les yeux sur leur responsabilité environnementale, ne permettant que mal d’enrayer une fuite en avant.
Mettre en œuvre et garantir le respect des droits humains aujourd’hui ne peut dès lors plus s’envisager sans protéger les droits fondamentaux des générations de demain. Au côté des actions en justice que l’on a vu prospérer ces dernières années dans un certain nombre de pays, visant sous l’impulsion de la société civile à contraindre les autorités à des mesures concrètes pour protéger le devenir des citoyens, d’autres mécanismes doivent pouvoir entrer en jeu pour parvenir plus largement à inscrire dans la réalité le concept de justice intergénérationnelle, tant dans ses aspects sociaux qu’environnementaux, et partant la représentation, même indirecte, des générations à venir.
Dans ce cadre, la figure de l’Ombudsman est apparue pour certains comme une voie possible pour donner corps à la défense des intérêts des jeunes générations et de celles à venir.
Cette rencontre s’articule autour de trois axes de réflexions. D’abord la thématique « Démocratie et équité transgénérationnelles : quelle représentation pour les générations futures ? » est nourrie par des réflexions d’Emilie GAILLARD, Maître de Conférences en droit privé à Sciences Po Rennes, Coordinatrice Générale de la Chaire Normandie pour la Paix et co-auteure de l’ouvrage Legal Actions for Future Generations , de Charles GIRARD, Philosophe, Maître de Conférences en philosophie du droit à l’Université Jean Moulin de Lyon et d’Axel GOSSERIES, Maître de recherche FNRS, Professeur extraordinaire de droit à Louvain et co-auteur de l’ouvrage Institutions for Future Generations, sous la modération d’Anne Eastwood, Haut-commissaire à la protection des droits, des libertés et à la médiation de la Principauté de Monaco.
Dans un deuxième temps, la thématique « Quelles possibilités d’action pour l’Ombudsman dans la défense des droits fondamentaux étendus aux générations futures ? » a été nourrie par Daniel AGACINSKI, Délégué Général à la Médiation des services publics au sein du Défenseur des droits (France), Erinda BALLANCA, Avocate du Peuple (Albanie), Mohamed BENYAHYA, Conseiller du Médiateur du Royaume du Maroc, Edouard NDUWIMANA, Ombudsman de la République du Burundi, Akos KOZMA, Commissaire pour les droits fondamentaux de Hongrie, Sophie HOWE, Commissaire pour les générations futures du Pays-de-Galles et Ahmed ALLOUCH, Conseiller auprès de l’Assemblée constituante tunisienne, Vice-Président et directeur de projet du Think Tank Jeunesse Sans Frontières, sous la modération de Marc Bertrand, Médiateur de la Fédération Wallonie et Wallonie-Bruxelles (Belgique) et Vice-président de l’AOMF.
Enfin, la thématique « La protection des droits fondamentaux en période de pandémie : exemples concrets et enjeux pour l’avenir » a été animée par Claire Hédon, Défenseure des droits de France et Secrétaire général de l’AOMF, par un échange avec Jérôme AASS, Médiateur Fédéral de Belgique, Alioune Badara CISSÉ, Médiateur de la République du Sénégal, Awa AMADOU ABOUDOU, Médiateur de la République du Togo , Bernard DE VOS, Délégué général aux droits de l’enfant de la Fédération Wallonie-Bruxelles (Belgique), Hery Philippe RAKOTOARISON, Chargé de mission auprès du Médiateur de la République de Madagascar et Sophie HOWE, Commissaire pour les générations futures du Pays-de-Galles. » (Extrait de aomf-ombudsmans-francophonie.org juillet 2021)
Nous avons le plaisir de vous annoncer la publication du 10ème numéro de la lettre des médiations consacré à la médiation dans le domaine international. Cette « lettre des médiations » est une revue électronique de langue française fondée par des médiateurs et des chercheurs français avec la participation de représentants de pays francophones comme le Québec, la Belgique, le Luxembourg et la Suisse. Nous nous sommes limités dans un premier temps à quelques pays francophones et nous cherchons des correspondants d’autres pays. Si vous êtes intéressés merci de nous contacter à letmed@numericable.fr