« Soupçon d’erreur médicale, médecin injoignable, facture contestée, personnel soignant critiqué… Dans un hôpital, le patient se plaint régulièrement, à tort ou à raison. Et il a des droits. Notamment, celui d’avoir recours à un médiateur médical. Son rôle: régler les conflits entre patients et personnel soignant en toute indépendance, même si sa fonction est financée par l’hôpital.
Ce service est souvent méconnu du grand public. Dans plusieurs services de l’hôpital de la Citadelle, chaque chambre affiche désormais le numéro du médiateur médical. » (Extrait de rtbf.be du 21/08/2023)
« En tant que professionnel de la 𝐦𝐞́𝐝𝐢𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐟𝐚𝐦𝐢𝐥𝐢𝐚𝐥𝐞, vous avez pu mesurer combien chaque situation est singulière et nécessite de penser et de questionner sans cesse sa pratique.
C’est pourquoi nous vous invitons à rejoindre notre 𝐠𝐫𝐨𝐮𝐩𝐞 𝐝𝐞 𝐟𝐨𝐫𝐦𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 /𝐬𝐮𝐩𝐞𝐫𝐯𝐢𝐬𝐢𝐨𝐧 pour un nouveau cycle de 7 séances réparties sur l’année 2023-2024
Ce groupe se veut un espace d’échanges, de partage et de réflexion.
Entouré de pairs qui se consacrent tous à la médiation familiale et qui sont désireux de confronter leurs pratiques et d’approfondir leurs compétences, vous pourrez prendre le recul nécessaire pour penser et interroger votre posture de médiateur et vos interventions et vous profiterez de la richesse des expériences partagées, de la diversité des points de vue et de la force collective qui émerge des échanges?
« La médiation entre le TEC et le consortium privé chargé du chantier débouche sur un accord coûteux pour la Région : 79 millions. C’est le prix à payer pour que les travaux débouchent un jour sur une mise en service effective.
De station en station, le dossier du tram de Liège s’apparente à un interminable chemin de croix. Initialement prévue pour octobre 2022, la mise en service s’est heurtée à une multitude d’obstacles techniques et/ou budgétaires. Les retards s’accumulent. Mais voici l’information du jour : l’accès au public est désormais fixé au 31 janvier 2025. Trois ans plus tard que prévu.
Aux dernières (et lointaines) nouvelles, l’échéance était prévue pour avril 2024. Mais quatre mois de médiation entre le groupe TEC et le consortium privé Tram’Ardent ont permis d’officialiser, ce vendredi à Liège, le nouveau terminus du chantier, définitif cette fois, espèrent les Liégeois : le mois d’août 2024 pour une « marche à blanc », avec la fin effective des travaux au centre-ville (de trottoir à trottoir sans les rails) dès novembre 2023, hors finitions. » – Eric Deffet – (Extrait de lesoir.be du 23/06/2023)
« Alors que la médiation entre l’Opérateur de Transport de Wallonie et le consortium Tram’Ardent, en charge de la construction du tram de Liège, est toujours en cours, un nouveau retard apparaît déjà quasi certain. La possibilité de voir les efforts se concentrer sur une partie seulement du tracé est envisagée. Dans le pire des cas, c’est-à-dire si la médiation n’aboutit pas à un accord, le chantier pourrait connaître un arrêt brutal et un nouvel appel d’offres devrait être lancé. » (Extrait de
« Mardi, 20 magasins sur les 128 en gestion propre que compte Delhaize en Belgique n’ont pas ouvert leurs portes, a indiqué un porte-parole de l’enseigne au lion. Ces fermetures s’inscrivent toujours dans le cadre du conflit social né de l’annonce par la direction, début mars, de son intention de franchiser les 128 magasins en gestion propre du groupe
(…)Une première réunion a débuté ce mardi matin, au SPF Emploi, entre la direction de Delhaize et les syndicats, en présence d’un médiateur social. Les syndicats espèrent toujours faire revenir la direction sur sa décision alors que la position de cette dernière sur la franchisation semble inflexible. » (Extrait de Lalibre.be du 18/04/2023)
« L’année dernière, le médiateur pour le secteur postal a reçu 5635 plaintes recevables, ressort-il de son rapport annuel publié mercredi soir. Cela représente une baisse de 31,5% par rapport à l’année précédente. Le nombre de dossiers pour lesquels le service de médiation entreprend le démarrage d’une enquête et d’une médiation a également diminué d’environ un tiers (28%)
La baisse du nombre de plaintes s’explique, selon le médiateur, par un possible déclin des achats en ligne, un marché des lettres en baisse, une diminution des litiges avec les douanes pour les colis internationaux et une tendance prudente à une plus grande attention au destinataire de la part des entreprises postales. » (Extrait de rtbf.be du 13/04/2023)
« Ombuds. Brussels a vu le jour le 1er septembre 2022. Cette institution indépendante traite les plaintes des personnes, entreprises ou organisations envers les administrations et communes bruxelloises. Elle traite aussi les signalements d’abus ou de fraude par des membres du personnel.
En quatre mois, 328 plaintes enregistrées
Même s’il est un peu prématuré pour tirer des conclusions, selon l’institution, dans les premières plaintes reçues, il ressort que les motifs sont divers. Le plaignant peut être déçu par la qualité d’un service public, trouver que l’information fournie n’est pas suffisamment claire ou la procédure trop complexe. La plainte peut aussi concerner l’accessibilité d’un service, ou bien le délai de réponse d’une administration.
« L’une de mes priorités est de collaborer avec les administrations pour faciliter le parcours de la personne qui rencontre une difficulté avec une administration« , explique Catherine De Bruecker, la première médiatrice bruxelloise. « Nous sommes là pour soutenir les administrations qui n’ont pas encore de système de gestion de plaintes, dans la mise en place d’un tel service ». Le citoyen mécontent doit donc s’adresser en premier lieu à l’institution qui lui pose souci et ensuite, si la réponse ne lui convient pas, il peut s’adresser en second lieu à Ombuds. Bruxelles. Ensuite, « sur base des signaux identifiés dans les plaintes, l’institution peut mener des enquêtes et formuler des recommandations pour améliorer la situation de manière plus générale« . » -T. Denis -(Extrait de rtbf.be du 31/03/2023)
« L’an dernier, 14.119 personnes ont fait appel au Service de médiation pour le consommateur (SMC), ressort-il du rapport annuel du médiateur publié jeudi. Le nombre de dossiers s’est maintenu à un niveau élevé et constant depuis le début de la crise sanitaire liée au coronavirus et des mesures qui en ont découlé.
Au total, 3.635 dossiers ont effectivement donné lieu à une procédure de médiation entre consommateurs et entreprises afin de dégager une solution à l’amiable. Près de 2.500 réclamations ont en revanche été déclarées non recevables. Enfin, 3.846 dossiers ont été transmis aux médiateurs compétents via le Service de médiation pour le consommateur, qui fait office de guichet unique pour la résolution extrajudiciaire des litiges en Belgique.
Le reste des dossiers traités (4.148) concernaient des demandes d’informations. En moyenne, une procédure engagée auprès du Service de médiation pour le consommateur durait 53 jours en 2022.
Les secteurs les plus concernés par une demande de médiation sont les « services relatifs à l’entretien et à la réparation du logement » (916 dossiers), les « meubles et décoration » (487), les « biens de technologie de l’information et de la communication » (326), les « services en lien avec le sport et les loisirs » (271) et les « compagnies aériennes » (254). » (Extrait de rtbf.be du 30/03/2023)
« Une musique trop forte, une haie qui dépasse, un chien qui aboie souvent… La vie en communauté peut être source de nuisances. Parfois, elles pourrissent une relation de voisinage. Pour désamorcer ces conflits, certaines communes emploient des médiateurs de conflits de voisinage. Leur rôle est de rétablir un dialogue et de permettre aux gens de régler leur problème à l’amiable. « Le médiateur a toujours comme but que les gens puissent se parler » explique Charles-François Pezzin, médiateur communal depuis 15 ans à Marche-en-Famenne. « Statistiquement, la médiation permet de résoudre cinquante pour cent des conflits, mais ces chiffres ne prennent pas en compte que des gens qui ont pu renouer le dialogue sans que la médiation aboutisse vont peut-être trouver une solution plusieurs mois ou années après. Permettre à des gens de se parler, c’est déjà une victoire ».
(…)
Toutes les communes n’emploient pas de médiateur de conflits. Marche-en-Famenne a été pionnière en la matière en province de Luxembourg. C’était il y a 15 ans. Depuis octobre, il existe une charte créée au niveau fédéral pour promouvoir la fonction de médiateur. Toutes les communes sont invitées à la signer. Aubange la signera ce lundi 30 janvier 2023 lors de son Conseil Communal. » – A. Stas – (Extrait de rtbf.be du 29/01/2023)