« Dans le cadre de la 8ᵉ édition de la Journée internationale du vivre ensemble en paix (JIVEP), la Fondation Méditerranéenne du Développement Durable Djanatu al-Arif a organisé, samedi à son siège de Sayada, une rencontre thématique participative intitulée «La médiation et la culture du vivre ensemble en paix».
Cette rencontre a rassemblé près d’une cinquantaine de participants venus de divers horizons, avec une présence marquante du Cheikh Khaled Bentounes, guide spirituel de la confrérie soufie Alâwiyya et initiateur de la Journée internationale du vivre ensemble en paix, proclamée par l’ONU. Placée sous le slogan «Pas à pas, ensemble vers l’autre», cette initiative visait à renforcer les liens fraternels et à promouvoir les valeurs de paix, de dialogue et de solidarité. Dans son allocution à cette occasion, Mouley Bentounes, chargé de communication de la Fondation Djanatu al-Arif, a souligné que cette rencontre coïncide avec la célébration mondiale du vivre ensemble en paix, et vise à mobiliser les consciences autour de l’importance de la médiation comme outil pédagogique essentiel à l’instauration d’une culture pacifique. «Vivre ensemble en paix n’est pas un simple slogan, mais un engagement quotidien, une ouverture vers l’autre, une communication bienveillante et des actions concrètes pour le bien commun», a-t-il affirmé, rappelant que cette démarche repose sur une responsabilité collective. » – Yamina Hamdoud – (Extrait de elmoudjahid.com du 1/06/2025)
« La majorité des requêtes parvenues à la délégation concerne des demandes de logements de divers types, l’écartement des listes, l’emploi, l’aménagement des quartiers et le raccordement au réseau d’eau et d’électricité, selon la même source.
La délégation a reçu durant la même période plus de 15 000 citoyens dont certains ont reçu des orientations et d’autres des conseils sur entre autres les procédures de régulations des situations juridiques de terrains, selon la même source.
L’instance du médiateur de la République travaille, a-t-il ajouté, en coordination avec les divers secteurs pour résoudre avec célérité les problèmes des citoyens et a déposé des registres de réclamations au niveau des différentes structures publiques pour recueillir les observations des citoyens concernant le mauvais accueil et le retard dans la réponse. Elle œuvre également à améliorer les conditions d’accueil des citoyens y compris par le recours aux moyens électroniques facilitant la communication entre les citoyens et l’administration et le dépôt de requêtes via des portails électroniques, selon la même source. Organisées à l’occasion du 5e anniversaire de la création de l’instance du médiateur de la République, ces portes ouvertes se poursuivront jusqu’à la fin de la semaine en cours. » (Extrait de elwatan-dz.com du 18/02/2025)
« L’histoire de la médiation algérienne dans les libérations d’otages, mais aussi la résolution des conflits, illustre une approche diplomatique unique et efficace.
Depuis les Accords d’Alger en 1981 et la libération des otages américains détenus en Iran jusqu’à des interventions plus récentes, comme celles concernant le sud-africain Gerco van Deventer, en mars 2023, et, tout récemment, celle de l’espagnol Joaquín Navarro Cañada, l’Algérie s,est affirmée comme un acteur clé capable d’intervenir dans des situations complexes, pour favoriser le dialogue et résoudre les crises. L’un des moments les plus marquants de la diplomatie algérienne est sans conteste la médiation lors de la crise des otages américains en Iran. En novembre 1979, l’ambassade américaine à Téhéran est envahie par des étudiants iraniens, entraînant la prise en otages de 52 diplomates et employés. Cette crise a duré 444 jours et a créé une impasse diplomatique majeure. L’Algérie, par sa position neutre et son approche pacifique, a été sollicitée pour faciliter les négociations entre les États-Unis et l’Iran. Le 19 janvier 1981, les Accords d’Alger sont signés, permettant la libération des otages. Cet accord a non seulement mis fin à une crise aiguë, mais a également établi l’Algérie comme un médiateur respecté sur la scène internationale. Les diplomates algériens ont été salués pour leur professionnalisme et leur capacité à instaurer un climat de confiance entre les parties adverses. » –Yazid Yahiaoui-(Extrait de elmoudjahid.dz du 24/01/2025)
« Un projet de loi est cependant en voie d’être soumis pour introduire, dans le champ des compétences du médiateur, la médiation conventionnelle. Cette dernière donne toute latitude aux belligérants de faire appel à un médiateur avant d’aller en justice.
Le bureau local de Guelma, affilié à l’organisation algérienne pour le développement et la promotion de la médiation auprès de la justice, a été installé samedi 17 août. Cet événement s’est tenu en présence de maître Boubekeur Belacel président de cette organisation et de Redjemi Larbi vice-président chargé de la formation.
Le vote à bulletin secret s’est déboulé à la Cour de Guelma. «Le procès verbal (PV) de l’installation des 5 membres du bureau local sera remis dans les meilleurs délais aux hautes instances de la justice à Guelma» a déclaré à El Watan Boubekeur Belacel président de cette organisation.
Et de préciser : «Ce bureau travaillera directement avec la Cour de Guelma. La médiation n’est pas une mission nouvelle pour nous en temps que musulman, bien au contraire, plus de 30 versets coraniques y est mentionnée. C’est un moyen légal pour réunir deux ou plusieurs antagonistes, sur injonction du magistrat, afin d’arriver à une entente entre les personnes, notifiée sur PV de conciliation, qui sera transmis à la justice. Bien évidement, est là notre mission.
Elle a pour but de reconstruire les relations humaines.» Quant à la loi qui gère la médiation en Algérie, notre interlocuteur précise qu’«Elle a été instaurée en 2008, pour la première. La loi de la médiation est balisée par le code de procédure civile et administrative. En 2015, il y a eu la parution de la médiation pénale gérée par le procureur de la République.
Ensuite il y a eu l’obligation de la médiation commerciale. Le décret 23-363 qui gère les conflits dans les rapports collectifs, tels que ceux des conflits entre travailleurs et employeurs. Ont ne peut pas imaginer une médiation sans une action en justice. » (extrait de elwatan-dz.com du 19/08/2024)
« Lors des palabres du 19 juillet 2024, Alain DUCASS, médiateur, expert en médiation a présenté notre conférencier Abder Ait Ouali qui a exploré en profondeur la médiation traditionnelle berbère et le concept du Tajmaât.
Voici quelques éléments clés de son intervention enrichissante.
Neutralité et Biais Cognitifs
Abder Ait Ouali a souligné que la neutralité du médiateur est un défi constant. Un médiateur doit être libre de tout biais cognitif pour rester impartial. Cette neutralité permet aux parties de s’exprimer librement et authentiquement. La médiation n’est pas seulement un titre ou une fonction, mais une véritable posture et un état d’esprit.
L’Art de la Médiation
Être médiateur, selon Ait Ouali, est un art. Il est crucial que le médiateur soit capable de naviguer entre les extrêmes sans être influencé par des biais cognitifs, des jeux de pouvoir ou des conflits d’intérêts. Un bon médiateur aide les parties à se remettre en question et à sortir du conflit grâce à une approche décontaminée et authentique.
Le Tajmaât : Une Tradition Vivante
Les communautés kabyles, chaouies et mzabites ont une riche tradition de médiation incarnée par les assemblées villageoises appelées Tajmaât en Kabylie. Ces assemblées, présidées par les anciens, débutent et se terminent par des prières, des bénédictions et de la musique. Chacun a le droit d’y « vider son sac », offrant ainsi un espace de parole libre et respectueuse.
Renaissance de la Médiation Traditionnelle
La médiation traditionnelle, autrefois écartée par la colonisation, renaît aujourd’hui et inspire les nouvelles lois sur la médiation en Algérie. Deux associations algériennes, la promotion de la médiation et l’Union des médiateurs judiciaires algériens, jouent un rôle clé dans cette renaissance.
Conclusion de la Conférence
La conférence s’est conclue sur la note que la qualité d’un médiateur se révèle dans sa capacité à gérer ses propres conflits. Ce n’est pas le diplôme qui fait le médiateur, mais son aptitude à incarner les valeurs de neutralité, d’impartialité et d’authenticité.
Nous vous invitons à découvrir et à vous inspirer de cette riche tradition de médiation qui trouve une nouvelle vie dans nos pratiques modernes.
Cette interview lors des palabres de la médiation met en lumière les aspects profonds et culturels de la médiation berbère et le rôle fondamental du Tajmaât dans la résolution des conflits.’ Lors des palabres du 19 juillet 2024, Alain DUCASS, médiateur, expert en médiation a présenté notre conférencier Abder Ait Ouali qui a exploré en profondeur la médiation traditionnelle berbère et le concept du Tajmaât.
Voici quelques éléments clés de son intervention enrichissante.
Neutralité et Biais Cognitifs
Abder Ait Ouali a souligné que la neutralité du médiateur est un défi constant. Un médiateur doit être libre de tout biais cognitif pour rester impartial. Cette neutralité permet aux parties de s’exprimer librement et authentiquement. La médiation n’est pas seulement un titre ou une fonction, mais une véritable posture et un état d’esprit.
L’Art de la Médiation
Être médiateur, selon Ait Ouali, est un art. Il est crucial que le médiateur soit capable de naviguer entre les extrêmes sans être influencé par des biais cognitifs, des jeux de pouvoir ou des conflits d’intérêts. Un bon médiateur aide les parties à se remettre en question et à sortir du conflit grâce à une approche décontaminée et authentique.
Le Tajmaât : Une Tradition Vivante
Les communautés kabyles, chaouies et mzabites ont une riche tradition de médiation incarnée par les assemblées villageoises appelées Tajmaât en Kabylie. Ces assemblées, présidées par les anciens, débutent et se terminent par des prières, des bénédictions et de la musique. Chacun a le droit d’y « vider son sac », offrant ainsi un espace de parole libre et respectueuse.
Renaissance de la Médiation Traditionnelle
La médiation traditionnelle, autrefois écartée par la colonisation, renaît aujourd’hui et inspire les nouvelles lois sur la médiation en Algérie. Deux associations algériennes, la promotion de la médiation et l’Union des médiateurs judiciaires algériens, jouent un rôle clé dans cette renaissance.
Conclusion de la Conférence
La conférence s’est conclue sur la note que la qualité d’un médiateur se révèle dans sa capacité à gérer ses propres conflits. Ce n’est pas le diplôme qui fait le médiateur, mais son aptitude à incarner les valeurs de neutralité, d’impartialité et d’authenticité.
Nous vous invitons à découvrir et à vous inspirer de cette riche tradition de médiation qui trouve une nouvelle vie dans nos pratiques modernes.
Cette interview lors des palabres de la médiation met en lumière les aspects profonds et culturels de la médiation berbère et le rôle fondamental du Tajmaât dans la résolution des conflits. »Lors des palabres du 19 juillet 2024, Alain DUCASS, médiateur, expert en médiation a présenté notre conférencier Abder Ait Ouali qui a exploré en profondeur la médiation traditionnelle berbère et le concept du Tajmaât.
Voici quelques éléments clés de son intervention enrichissante.
Neutralité et Biais Cognitifs
Abder Ait Ouali a souligné que la neutralité du médiateur est un défi constant. Un médiateur doit être libre de tout biais cognitif pour rester impartial. Cette neutralité permet aux parties de s’exprimer librement et authentiquement. La médiation n’est pas seulement un titre ou une fonction, mais une véritable posture et un état d’esprit.
L’Art de la Médiation
Être médiateur, selon Ait Ouali, est un art. Il est crucial que le médiateur soit capable de naviguer entre les extrêmes sans être influencé par des biais cognitifs, des jeux de pouvoir ou des conflits d’intérêts. Un bon médiateur aide les parties à se remettre en question et à sortir du conflit grâce à une approche décontaminée et authentique.
Le Tajmaât : Une Tradition Vivante
Les communautés kabyles, chaouies et mzabites ont une riche tradition de médiation incarnée par les assemblées villageoises appelées Tajmaât en Kabylie. Ces assemblées, présidées par les anciens, débutent et se terminent par des prières, des bénédictions et de la musique. Chacun a le droit d’y « vider son sac », offrant ainsi un espace de parole libre et respectueuse.
Renaissance de la Médiation Traditionnelle
La médiation traditionnelle, autrefois écartée par la colonisation, renaît aujourd’hui et inspire les nouvelles lois sur la médiation en Algérie. Deux associations algériennes, la promotion de la médiation et l’Union des médiateurs judiciaires algériens, jouent un rôle clé dans cette renaissance.
Conclusion de la Conférence
La conférence s’est conclue sur la note que la qualité d’un médiateur se révèle dans sa capacité à gérer ses propres conflits. Ce n’est pas le diplôme qui fait le médiateur, mais son aptitude à incarner les valeurs de neutralité, d’impartialité et d’authenticité.
Nous vous invitons à découvrir et à vous inspirer de cette riche tradition de médiation qui trouve une nouvelle vie dans nos pratiques modernes.
Cette interview lors des palabres de la médiation met en lumière les aspects profonds et culturels de la médiation berbère et le rôle fondamental du Tajmaât dans la résolution des conflits. » S. Albertelli – (Extrait de avocatpulse.fr du 27/07/2024)
« Le Niger a accepté la médiation de l’Algérie, qui avait proposé aux militaires au pouvoir depuis le 26 juillet dernier « un plan de transition de six mois ». C’est ce qu’a annoncé ce lundi 2 octobre le ministère algérien des Affaires étrangères.
« Le gouvernement algérien a reçu par le canal du ministère nigérien des Affaires étrangères une acceptation de la médiation algérienne visant à promouvoir une solution politique à la crise du Niger », a précisé le ministère dans un communiqué.
Le président algérien, Abdelmadjid Tebboune, a chargé le chef de la diplomatie, Ahmed Attaf, « de se rendre à Niamey dans les plus brefs délais pour y entamer des discussions (…) avec toutes les parties prenantes », selon la même source. » (Extrait de tv5monde.com du 2/10/2023)
« L’ensemble des structures de la médiation de la République à travers le pays sont au service des citoyens en favorisant la résolution des préoccupations soulevées par ces derniers, a souligné, dimanche à Ghardaia, le médiateur de la République, Abdelmadjid Ammour.S’exprimant lors d’une rencontre avec la société civile, et cadres de la wilaya, coprésidée par le wali de Ghardaia Abdellah Abinouar et le médiateur de la République, Ammour a indiqué que la médiation de la République place l’ensemble de ses structures existantes à travers les différentes communes du pays pour prendre en charge les doléances touchant à la vie quotidienne et aux préoccupations de la population.Et d’ajouter: « l’adoption d’une telle approche de réunir l’ensemble des acteurs de la société civile vise à redonner confiance aux citoyens dans l’action participative et la bonne gouvernance ».Cette approche permet également de diagnostiquer les manques constatés au niveau des différentes régions dans le développement socioéconomique et d’y remédier de manière réfléchie et efficace selon les priorités, a souligné le médiateur de la République.La médiation de la République œuvre en étroite collaboration avec l’ensemble des partenaires notamment les collectivités locales ainsi que le tissu associatif pour un développement harmonieux et durable au service de l’intérêt général et du bien-être du citoyen dans chaque localité du pays, a-t-il rappelé. » (Extrait de lexpressiondz.com du 17/04/2023)
« Selon le Matin d’Algérie, le président algérien Abdelmadjid Tebboune a reçu ce 26 février 2023 les groupes armés maliens signataires de l’accord de paix de 2015. Alors que la crise entre les groupes signataires et le gouvernement malien est au plus fort, le médiateur algérien s’efforce de sauver l’accord de paix.
Alghabass Ag Intallah, Bilal Ag Acherif, Moussa Ag Acharatoumane, Fahad Ag Al Mahmoud… Tous les principaux représentants de la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA) et de la Plateforme, réunis au sein du Cadre stratégique permanent (CSP), étaient présents en Algérie.
(…)
Au cours de nombreuses réunions de travail, avec le ministre algérien des Affaires étrangères Ramtane Lamamra et avec d’autres officiels algériens, ils ont à nouveau dénoncé le manque d’implication, selon eux, des autorités maliennes de transition dans la mise en œuvre de l’accord de paix. » (Extrait africanmanager.com du 1/03/2023)
« Selon le délégué du médiateur de la République à Chlef, Ahmed Zidane, 2.120 requêtes de citoyens ont été examinées sur un total de 2.476 introduites en 2022, 104 autres requêtes ont été jugées hors compétences et leur destinateurs ont été orientés vers les services concernés.
Le même responsable a précisé que les requêtes concernent notamment le logement (toutes formules confondues et les recours), l’absence de commodités et de réseaux d’assainissement et d’eau potable, et le raccordement aux réseaux de gaz et d’électricité.
Certaines plaintes concernent le secteur de l’éducation, notamment la restauration, le transport scolaires, le recrutement et la titularisation d’enseignants contractuels.
M.Zidane a également fait part de l’entame, par ses services, de visites de terrain en vue du suivi de la mise en place de registres de doléances au niveau de différentes administrations. 13 visites ont déjà été effectuées à ce jour, a-t-il indiqué, louant l’échos réservé par les responsables locaux à cette opération.
Outre ces sorties de terrain, l’accueil des citoyens et de leurs requêtes, la délégation de la médiation de la République de Chlef met à la disposition des citoyens un registre officiel de doléances, avec la possibilité d’accès à son portail électronique des requêtes pour y inscrire leurs préoccupations, a-t-il fait savoir. » (Extrait de msn.com du 20/02/2023)
« Depuis l’indépendance, en 1962, la diplomatie algérienne, désormais clé de voûte de l’Algérie nouvelle, joue un rôle important en matière de médiation pour la résolution des crises et conflits, notamment en Afrique, en s’appuyant sur un nombre de fondements et principes qui constituent la doctrine de la politique extérieure du pays.
La diplomatie algérienne repose sur trois principes inaliénables : le droit des peuples à l’autodétermination, la non-ingérence dans les affaires internes des Etats et la promotion du dialogue inclusif dans les conflits internationaux, quelle que soit leur gravité.
C’est sur ces fondements que s’est construite puis consolidée la diplomatie algérienne depuis l’indépendance, et c’est dans ce sens que le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, est engagé depuis son élection en 2019.
Ainsi, l’Algérie continue de participer activement à l’extinction de plusieurs foyers de tension dans les pays du Sahel et d’Afrique, notamment au Mali voisin, en sa double qualité de chef de file de la Médiation internationale et président du Comité de suivi de l’Accord pour la paix et la réconciliation au Mali, issu du processus d’Alger.
La médiation algérienne avait été couronnée de succès, le travail diplomatique ayant abouti en juin 2015 à la signature de l’accord de paix et de réconciliation au Mali, baptisé « Accord d’Alger », en cours de mise en œuvre.
En Libye voisine également, l’Algérie, qui promeut la politique de bon voisinage, joue un rôle déterminant dans la résolution de la crise politique et sécuritaire qui frappe ce pays depuis 2011. Sa position repose sur la non-ingérence politique et le rejet de toute intervention étrangère dans la résolution du conflit en Libye, prônant la solution politique à travers un dialogue inclusif inter-libyen. » (Extrait de aps.dz/algerie du 19/12/2022)