Article : « La part et le rôle joués par les modes informels de règlement des litiges dans le développement d’un pluralisme judiciaire (Etude comparative France-USA) », Jean-Pierre Bonafé-Schmitt, Droit et Société  Année 1987/6 pp. 263-283


Article à consulter sur https://www.persee.fr/doc/dreso_0769-3362_1987_num_6_1_960

VISIOCONFÉRENCE –  SESSION EURO-AFRICAINE  : « la médiation interculturelle » ORGANISÉE PAR LE SEAM LE 19 novembre DE 19H À 21H


« La mondialisation entraîne des brassages humains importants et lorsque des personnes de culture différente se rencontrent, les risques de malentendus s’accroissent.

Il en résulte des conflits interculturels qui nécessitent des compétences particulières pour intervenir en médiation.

Dans cette perspective, des médiateurs se forment spécifiquement à la médiation interculturelle et se regroupent en associations professionnelles en Europe (ex ATCC, IFOMENE, BRIDGE…), en Amérique (ex Sherbrooke, APMIQ) et ailleurs.

Notre session du 19 novembre à 19h00 permettra à des médiateurs interculturels de partager leur expérience avec les participants. En particulier Félix Tobin, Nadine Hamade et Jean-Pierre Picard évoqueront l’expérience qui les a conduit à fonder l’association Bridge des médiateurs interculturels.

Comme chaque mois, les sessions sont ouvertes gratuitement aux médiateurs , sur inscription préalable sur Eventbrite. » (Extrait de eventbrite.fr)

Inscription sur alain.ducass@energeTIC.fr

Création d’une association de veilleurs-médiateurs à Sorèze (81)


La création de l’association « Bien vivre à Sorèze » a débutée il y a un an et demi et a été lancée par un questionnaire déposé dans toutes le boites aux lettre des soréziens jusqu’au fin fond de la commune. Il leur expliquait le projet et leur demandait s’ils étaient intéressés. Il s’agissait de répondre à un besoin de communication entre les habitants et la mairie et donc de faire le lien sur leurs remarques concernant l’entretien, la sécurité, l’aide aux personnes…

En effet, dans toutes les communes, ce n’est un secret pour personne, nombreux sont ceux qui n’osent pas solliciter la mairie lorsqu’ils constatent un soucis, et ce pour diverses raisons qui leur appartiennent, mais souvent, entre autres, par peur de ne pas être pris au sérieux. C’est pourquoi cette association se propose en un premier temps de faire les veilleurs, c’est-à-dire observer et constater les incivilités, les problèmes de voisinage, de voirie, de propreté par eux même, voire de faire des photos dans certains cas parfois surprenants. Il leur reviendra aussi de faire remonter l’information recueillie auprès de tous, en servant de médiateur, de relais, et enfin d’en tirer des propositions constructives pour la mairie et pour le bien de tous. Les deux co-présidents sont Rose Fabre et Alain Garcia, tous les deux résidents rue du Maquis et ils sont clairs « Nous ne demandons pas d’argent, nous demandons juste de la bonne volonté… Les doléances recueillies seront anonymes s’il le faut afin de délier les langues plus facilement ». Les réponses positives à ce questionnaire ont été fort nombreuses au point que certains ont anticipé sa création en réglant aussitôt le montant annuel prévu, parfois en le doublant. C’est dire le succès de la proposition. La municipalité est partante et certaines requêtes ont déjà été suivies d’effets. Rose Fabre précise : « Il sera toujours temps d’adhérer car plus nous serons nombreux, plus nous aurons de poids ». (Extrait de ladepeche.fr du

En savoir plus sur https://www.ladepeche.fr/2022/11/13/creation-dune-association-de-veilleurs-mediateurs-10799539.php