Belgique : FORMATIONS CONTINUES AGREES POUR LA MEDIATION A LA HEPL (Haute Ecole de la Province de Liege)


Le 16 fév 2017 : Mme CALEWAERT Brunehilde,
Médiatrice familiale 19-21 H  » La médiation familiale internationale ; une alternative au déplacement illicite d’enfants »

Le 16 mar 2017 : Mme OUDIN Fédérica (Université François Rabelais de Tours) et d’autres intervenants 9 – 16 H « La médiation, un outil au service des relations de travail »

Le 17 mai 2017 : Mme DOPPAGNE Caroline (CHU Liège) 19-21 H « La plainte au travers de la loi relative aux droits du patient – médiation entre les parties. Ce qui facilite la communication » (Extrait de linkedin.com 20/12/2016)

En savoir plus sur https://www.linkedin.com/pulse/mediateurs-vos-agendaspour-des-formations-continues-agreesa-huskin

article : « La médiation interculturelle… un pléonasme ? » par Emily Motu (spécialiste de l’interculturel), Florence Duret-Salzer (médiatrice en entreprise) et Valentine Poisson (rédactrice et consultante)


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« En 1952, deux anthropologues américains, Alfred Kroeber et Clyde Kluckhohn, ont  tenté de recenser la diversité de définitions que recouvrait la notion de culture… ils n’en trouvèrent pas moins de 164 ! Est-ce si compliqué de déterminer ce qui fait la culture d’un homme ? Nous proposons une définition suffisamment large pour les englober toutes : « la culture est l’ensemble des réponses apportées par un groupe aux questions posées par son contexte ». De cette vision anthropologique de la culture, trois éléments retiennent notre attention :

  1. D’une part la culture est acquise, elle repose donc sur du construit ;
  2. D’autre part elle est évolutive, puisque l’émergence de nouvelles questions amène de nouvelles réponses à enrichir la culture du groupe ;
  3. Enfin, la culture dépend d’un contexte particulier, car les réponses apportées ne seraient pas nécessairement adaptées à un autre environnement.

Chacun de nous est porteur de sa culture et de sa vision du monde. Dès lors que deux individus communiquent, qu’ils soient japonais et togolais, ou bien tous deux issus du même village de Picardie, ils entretiennent un échange culturel. L’individu est donc  toujours confronté à un Autre, quel qu’il soit : il n’est ainsi pas nécessaire d’aller au bout du monde pour faire l’expérience de la différence, le pallier de son immeuble est pour cela bien suffisant.

La démarche interculturelle est une dynamique visant à faire dialoguer les cultures. Ainsi, si d’une manière large chaque relation est caractérisée par une multiculturalité spécifique, pour que la relation soit interculturelle, elle doit également traduire une curiosité à l’échange. Pour sa part, la médiation propose de venir recréer les conditions de cette curiosité et d’une ouverture, lorsqu’il y a tension, conflit, fermeture.

Certains conflits entre individus prennent source dans la rencontre entre des croyances et des valeurs différentes. Ces dernières renvoient aux hypothèses implicites que Michael Watkins considère comme les « convictions les plus profondément ancrées, souvent tacites, qui imprègnent et sous-tendent les systèmes sociaux et identitaires. Ces convictions sont l’air que tout le monde respire mais ne voit jamais[1] ». Lorsqu’au travers d’un échange une valeur est heurtée, des hostilités peuvent se déclencher : difficile en effet de renoncer à la vérité que l’on tient pour universelle.

La médiation interculturelle a un rôle à jouer quand ce partage de valeurs est empêché. Comment se dire, partager, rendre compatibles nos différences, lorsqu’on les perçoit potentiellement comme un danger ? Comment restaurer une relation quand le conflit laisse transparaître une opposition au niveau identitaire, en lien avec ses valeurs implicites et fondatrices ?

Comprendre l’Autre en passant par Soi

L’objectif de la démarche interculturelle, comme celui de la médiation, est de faciliter le dialogue entre les parties. Un moyen d’amorcer cette discussion est selon nous de commencer par se focaliser sur les points communs avant d’aborder les différences.

Pour établir des connexions avec l’Autre, il faut être prêt à considérer la multiplicité des « étalons du monde » dans une optique d’enrichissement mutuel, plutôt que dans une logique d’opposition des différentes entités culturelles. L’objectif est ainsi d’intégrer qu’un même questionnement peut amener des réponses différentes, voire opposées : ce n’est pas parce que je réponds « noir » et que tu réponds « blanc » que l’un d’entre nous a tort. Nos systèmes de pensée ne s’entendent pas, mais ils sont tous deux animées par une logique incontestée, chacune rapportée à son contexte. En cela, la démarche interculturelle, comme la médiation, « implique de prendre acte des attentes de l’autre partie, de son regard porté sur le conflit, sans renoncer à ses propres attentes, à son propre regard. Il ne s’agit pas de trancher entre des systèmes d’attentes concurrents mais plutôt de trouver une solution hybride à l’intersection des différents univers de sens pertinents[2] ».

Une fois l’Autre reconnu, il nous semble nécessaire d’entamer une démarche de conscientisation de ses propres comportements. En effet, la majorité de nos comportements relève de valeurs identitaires et culturelles souvent inconscientes. Il s’agit alors de distinguer ce qui pour soi est de l’ordre de la valeur non négociable puisqu’y renoncer reviendrait à se perdre, des schémas usuels desquels on peut se séparer pour faire un pas vers l’Autre. La démarche de médiation peut avoir comme objectif cet approfondissement. On retrouve d’ailleurs cette distinction essentielle tant dans la médiation que dans la communication interculturelle : « comprendre l’autre ne me diminue pas et ne me nie pas. La reconnaissance de l’identité de l’autre ne signifie pas l’abandon (la perte, la négation) de la mienne[3] ». » (Extrait de alternego.com du 20/12/2016)

Article à télécharger sur http://alternego.com/culturenego/mediation/mediation-interculturelle/

Grève des VTC : un médiateur nommé par l’Etat


« Nomination d’un médiateur

Pour apaiser les tensions et mener la suite des négociations entre les chauffeurs et les plateformes, Alain Vidalies a décidé mardi de nommer un médiateur tout en appelant les différentes parties à l' »apaisement » et à s’engager « dans un cycle de discussion ». Décision saluée par l’ensemble des organisations syndicales.

C’est donc Jacques Rapoport, ancien haut responsable à la SNCF, qui a la responsabilité de gérer la suite du dossier. Sa prise de fonction est immédiate et débute dès mardi soir a indiqué Alain Vidalies dans son communiqué.

Si la plateforme Uber « ne s’engage pas dans la voie du progrès, elle aura face à elle un gouvernement absolument déterminé », a lancé le Premier ministre Bernard Cazeneuve interrogé sur le sujet. » (Extrait de lejdd.fr 20/12/2016)

En savoir plus sur http://www.lejdd.fr/Societe/La-greve-des-VTC-continue-un-mediateur-nomme-par-l-Etat-834187

Dossier Vie Publique sur la politique pénitentiaire : les mesures alternatives à la prison


Vie publique - au coeur du débat public

« Les peines de substitution à la prison

Le code pénal met à la disposition du juge plusieurs peines alternatives à la prison dites aussi « de substitution » ou « de remplacement ». Ces peines concernent les auteurs de délits et non de crimes. Elles visent notamment à prévenir le risque de récidive, le caractère désocialisant de l’incarcération et le surpeuplement des prisons.

Il en existe plusieurs. Les premières peines alternatives datent des lois du 11 juillet 1975 et du 10 juin 1983 : il s’agit des peines restrictives ou privatives de droits (restrictions affectant le permis de conduire, etc.), du travail d’intérêt général (TIG) et des jours-amende. Dans les années 2000, deux nouvelles peines sont instituées : le stage de citoyenneté par la loi du 9 mars 2004 et la sanction-réparation par la loi du 5 mars 2007.

En 2013, la conférence de consensus sur la prévention de la récidive, initiée par la garde des Sceaux, et les auteurs d’un rapport parlementaire sur les moyens de lutte contre la surpopulation carcérale préconisent une nouvelle peine alternative. Cette préconisation, également défendue par des spécialistes du monde pénitentiaire, aboutit à la création de la peine de contrainte pénale par la loi du 15 août 2014 dite « loi Taubira » sur l’individualisation des peines et renforçant l’efficacité des sanctions pénales. La contrainte pénale s’inscrit dans la droite ligne des règles européennes relatives à la probation, adoptées par le Conseil de l’Europe le 20 janvier 2010. Elle est applicable aux auteurs de délits passibles de 5 ans maximum de prison. A compter du 1er janvier 2017, elle concernera tous les auteurs de délits punis d’une peine de prison. L’article 131-4-1 du code pénal qui la définit prévoit qu’elle « emporte pour le condamné l’obligation de se soumettre (…) à des mesures de contrôle et d’assistance ainsi qu’à des obligations et interdictions particulières » (à savoir celles du sursis avec mise à l’épreuve ou l’obligation d’effectuer un TIG ou l’injonction de soins).

Toutefois, malgré le principe énoncé par la loi pénitentiaire de 2009 et réaffirmé par la loi « Taubira » de 2014 selon lequel l’emprisonnement doit être le dernier recours en matière correctionnelle, les peines alternatives prononcées par les juges sont rares. L’emprisonnement reste la peine correctionnelle de référence avec l’amende. Ainsi, sur l’ensemble des condamnations prononcées en 2014 en matière de délits, 11,3% seulement sont des peines alternatives contre 50,8% pour les peines de prison et 32,8% pour les amendes. La contrainte pénale, entrée en vigueur le 1er octobre 2014, est aussi pour l’instant peu utilisée. Depuis deux ans, 2 287 mesures ont été prononcées alors que l’étude d’impact du projet de loi en escomptait 8 000 à 20 000 par an. La moitié des contraintes pénales prononcées l’ont été par 24 tribunaux correctionnels. Dans le même temps, 11% des tribunaux correctionnels n’en ont octroyé aucune. Dans son rapport du 21 octobre 2016 sur l’application de la loi « Taubira », le garde des Sceaux considère que l’extension du champ d’application de la contrainte pénale à tous les délits au 1er janvier 2017 devrait permettre son essor. En revanche, il juge inopportun, comme l’avait envisagé le législateur en 2014, de sanctionner certains délits d’une contrainte pénale à titre de peine principale en supprimant la peine de prison encourue. (Extrait de vie-publique.fr du 14/12/2016)

En savoir plus sur http://www.vie-publique.fr/politiques-publiques/prison-reinsertion-detenu/alternatives-prison/

Le droit au logement opposable (DALO) : un rapport préconise la réforme du fonctionnement des COMED (commissions de médiation)


Ministère du Logement et de l'Habitat durable

« Marie-Arlette Carlotti, présidente du Haut Comité pour le Logement des Personnes Défavorisées (HCLPD) et du Comité de suivi de la loi Droit au logement opposable (Dalo) a remis, le 13 décembre 2016, un rapport de mission sur l’effectivité du droit au logement opposable à la ministre en charge du logement. L’objectif de la mission était d’obtenir une vision d’ensemble du fonctionnement des commissions de médiation, ainsi que de dresser le bilan de l’accès au logement des ménages reconnus au titre du Dalo en particulier à travers l’utilisation du contingent préfectoral. (…)

Pour assurer un respect effectif du Dalo, le rapport formule 40 propositions parmi lesquelles la réforme du fonctionnement des COMED, la simplification des modalités d’attribution et d’appréciation des critères de priorité, la fiabilisation de l’identification du contingent de logement préfectoral et le développement d’une politique de construction de logement par l’État. (Extrait de vie-publique.fr )

« comed : un mode de nomination des membres  et une composition ne permettant pas de garantir l’impartialité

La mission Carlotti a constaté un certain déséquilibre dans la composition des commissions de médiation : La majorité des membres y siégeant se trouvent impliqués dans le futur accès au logement des ménages qu’ils seraient amenés à reconnaître. Même en toute bonne volonté, le risque de restreindre l’accès au Dalo  est amplifié du fait de ce déséquilibre. L’usager n’étant ni présent ni représenté, la garantie d’un vrai débat contradictoire n’est pas toujours assurée. De plus la nomination par le préfet du département de l’ensemble des membres, dont le président, crée un rapport de dépendance pouvant nuire à l’impartialité de la commission.  » (Extrait du rapport)

Rapport à télécharger sur http://www.vie-publique.fr/actualite/alaune/dalo-40-propositions-pour-ameliorer-son-application-20161216.html?xtor=EPR-56

Un outil de résolution de conflit dans un groupe de personnes : LA STRATÉGIE DU DÉDALE®


« LA STRATÉGIE DU DÉDALE® a été conçu par Jean-Edouard Robiou du Pont, avocat spécialiste en Droit du travail, sur la base de son expérience de la conduite de médiations en entreprise, pour pallier l’absence d’outil permettant de mener des médiations de groupe.

Le processus, fondé sur l’intervention systémique, s’articule en 4 phases : clarification, implication, coopération, solution. Il s’appuie sur 9 cartes métaphoriques, auxquelles sont associés des « coûts » et « bénéfices ». Son efficacité est surprenante.

LA STRATÉGIE DU DÉDALE® constitue également un très bel outil de coaching.

LA STRATÉGIE DU DÉDALE®  se fonde sur les travaux de l’École de Palo Alto et se nourrit des apports d’Evelyne Rey et Philippe Caille, François Balta,  Jacques-Antoine Malarewicz, ainsi que de l’enseignement d’Annie Joly et de Thierry Servillat. (Extrait de lastrategiedudedale.fr)

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Pour en savoir plus sur http://www.lastrategiedudedale.fr/

Agriculture : Le médiateur des relations commerciales agricoles aux côtés des éleveurs pour faire appliquer la loi


« Contractualisation laitière, de trop petits pas dans le bon sens ? »

« Le médiateur est à la disposition des filières agricoles pour les aider dans la mise en œuvre de la loi Sapin 2 », a réagi vendredi 16 décembre 2016 le médiateur des relations commerciales dans un communiqué.

« La loi du 9 décembre 2016 dite Sapin 2 impose aux opérateurs des filières agricoles et alimentaires des obligations nouvelles visant à apporter aux agriculteurs de meilleures conditions pour la vente de leurs produits aux transformateurs et aux distributeurs, ainsi que le Ministre de l’Agriculture l’a souligné dans son communiqué du 9 décembre dernier.

Le médiateur souhaite revenir sur les dispositions concernant les produits dont la vente est soumise à contractualisation obligatoire (lait de vache notamment) pour inviter l’ensemble des opérateurs concernés à engager sans délai les travaux permettant leur mise en application.

Les modalités de fixation du prix figurant au contrat doivent désormais tenir compte :

  • des coûts de production agricole,
  • des prix des produits agricoles ou alimentaires,
  • des prix de vente des principaux produits fabriqués par l’acheteur.

Ces prix et coûts concernés sont pris en compte uniquement sous la forme d’un indice ou d’une combinaison d’indices publics. Cela signifie que la formule de prix ne peut pas prendre en compte directement les coûts ou les prix propres aux producteurs ou à l’acheteur signataires du contrat, mais doit utiliser les données moyennes d’un échantillon suffisamment vaste de producteurs ou de transformateurs.

Les indices sont choisis librement par les parties et peuvent être établis à partir de données régionales, nationales ou européennes.

Un indice est considéré comme public s’il est librement consultable par tout producteur, organisation de producteurs ou acheteur intéressé et si ses données sont suffisamment agrégées pour exclure d’identifier les résultats propres à un producteur ou à un acheteur. (Extrait de web-agri.fr du 16/12/2016)

En savoir plus sur http://www.web-agri.fr/actualite-agricole/politique-syndicalisme/article/le-mediateur-aux-cotes-des-eleveurs-pour-faire-appliquer-la-loi-1145-124460.html

Emploi : Médiateur / Médiatrice adulte relais à LONS-LE-SAUNIER


« Missions: – Accueillir, écouter, accompagner dans les démarches administratives et juridiques, orienter les usagers – Contribuer à l’amélioration des relations entre …

Source : Emploi : Médiateur / Médiatrice adulte relais à LONS-LE-SAUNIER

Emploi : Médiateur / Médiatrice adulte relais à LONS-LE-SAUNIER


1Taf, Bourse d'emploi et de CV

« Missions: – Accueillir, écouter, accompagner dans les démarches administratives et juridiques, orienter les usagers – Contribuer à l’amélioration des relations entre habitants des quartiers prioritaires de la ville et les services publics – Développer l’autonomie des personnes dans leurs démarches et prise d’initiatives – Favoriser l’insertion sociale et professionnelle des habitants – Renforcer le réseau partenarial Des connaissances en Informatique sont indispensables pour pouvoir accompagner les usagers du Centre Social dans les démarches dématérialisées. Ce contrat de travail est un dispositif adulte-relais, critères d’éligibilité: – Être âgé d’au moins 30 ans – Être sans emploi ou bénéficier d’un contrat d’accompagnement dans l’emploi – résider dans un Quartier Prioritaire de la Ville (QPV) RECRUTEMENT PREVU : début janvier 2017 (Extrait de 1taf.com )

En savoir plus sur http://www.1taf.com/annonce/offre-emploi-cdd/mediateur-mediatrice-adulte-relais/jura-39/AN1934286

Clinique de L’Ormeau à Tarbes : les grévistes restent mobilisés avant la médiation


« Au 40ème jour de grève, un rassemblement a réuni environ 600 personnes, ce matin, devant la clinique de l’Ormeau. Au milieu des grévistes et des citoyens, on notait la présence d’élus …

Source : Clinique de L’Ormeau à Tarbes : les grévistes restent mobilisés avant la médiation

Clinique de L’Ormeau à Tarbes : les grévistes restent mobilisés avant la médiation


Hier matin, environ 600 personnes se sont rassemblées devant la clinique de L’Ormeau./Photo DR.

« Au 40ème jour de grève, un rassemblement a réuni environ 600 personnes, ce matin, devant la clinique de l’Ormeau. Au milieu des grévistes et des citoyens, on notait la présence d’élus du département dont le député Jean Glavany.

Les représentants des salariés sont revenus sur la situation de blocage des négociations lors de la séance du jeudi 15 décembre en préfecture. Pourtant, l’écart entre les exigences, revues à la baisse des personnels, et les propositions de la direction n’est que de 450.000€.

«Que pèsent 450.000€ pour une clinique qui prête plus de 8 M€ au groupe Médipôle», a rappelé François Dousseau, secrétaire de l’UD CGT.

Pour les salariés grévistes, le blocage incombe à la direction qui «préfère perdre des centaines de milliers d’euros par semaine, plutôt que répondre aux attentes de celles et ceux qui créent la richesse de cette entreprise».

Ensuite, face à la dégradation de la situation sanitaire du département, les salariés grévistes ont accepté la nomination d’un médiateur. Pierre Martin débutera ses consultations avec la direction et la délégation salariale ce lundi 19 novembre, à 11 heures, à la DIRECCTE de Tarbes (cité administrative). » (Extrait de ladepeche.fr du 17/12/2016)

En savoir plus sur http://www.ladepeche.fr/article/2016/12/17/2481082-clinique-ormeau-grevistes-restent-mobilises-avant-mediation.html