Niort : les multiples facettes de la médiation sociale


« Le dernier conseil de quartier de la Tour-Chabot Gavacherie a été l’occasion de mettre en avant le rôle de la médiation sociale instaurée sur la ville. Ce service du CCAS de la ville c…

Source : Niort : les multiples facettes de la médiation sociale

Pétition : Oui à une définition de la médiation. Pétition lancée par l’Union Belge des Médiateurs Professionnels (UBMP)


« CARTE   BLANCHE Les principaux auteurs qui ont étudié la médiation[1] ont tous veillé à en décrire toutes les caractéristiques et les limites, la mettant ainsi en évidence comme un pro…

Source : Pétition : Oui à une définition de la médiation. Pétition lancée par l’Union Belge des Médiateurs Professionnels (UBMP)

Pétition : Oui à une définition de la médiation. Pétition lancée par l’Union Belge des Médiateurs Professionnels (UBMP)


« CARTE   BLANCHE

Les principaux auteurs qui ont étudié la médiation[1] ont tous veillé à en décrire toutes les caractéristiques et les limites, la mettant ainsi en évidence comme un processus dynamique et spécifique à côté d’autres pratiques déjà existantes.

 Mais lorsqu’il s’est agi d’inscrire la médiation dans l’ensemble du corpus législatif, tant au niveau européen que national, les législateurs n’ont pas été aussi précis. Peut-être avec l’espoir un peu vain que le flou terminologique inscrit dans la loi ou dans les directives favoriserait le développement de la médiation.

 Ce n’est pas ce qui s’est produit, et on peut affirmer, les chiffres sont là, que ce flou terminologique a contribué à enfermer la médiation (et les médiateurs) dans une grande confusion. Non seulement, ce vocable est devenu un mot-valise, qu’on utilise à toutes les sauces, mais il crée, pour ceux qui la pratiquent comme pour ceux qui y font appel, un brouillard plus qu’un horizon. Il suffit d’aller voir sur Google les résultats obtenus avec le mot « médiation » pour s’en convaincre. C’est bien sûr un mot porteur : mais que veut-il vraiment dire ?

 Ce flou terminologique est grave : il met en péril l’existence même de la médiation, dans la mesure où l’emploi de ce vocable, tant par les autorités que par les médias, nous place devant un gros problème de confusion. Des concepts – dont le nôtre – aussi chargés de sens sont employés en dépit du bon sens, au mépris, ou à l’oubli du premier mot du respect de l’homme : son langage. Comme l’écrit Paul Valadier[2] : « Moins ces concepts ont de compréhension, plus ils ont d’extension. On croit s’entendre, mais personne ne sait au juste ce que parler veut dire, à commencer par ceux qui écrivent. Babel, c’est la fausse unanimité sur les mots ».

 D’urgence, il faut un moratoire terminologique, invitant le  Parlement à ne plus recourir aux mots médiation et médiateurs, tant qu’il ne sera pas doté d’une définition qui distingue la médiation de la conciliation et de l’arbitrage – définition qui mette en évidence la spécificité et les différences entre ces pratiques.

 Il faut aussi un moratoire législatif. Des textes en discussion présentent le risque de scléroser la médiation en lui assignant des objectifs étrangers à sa nature, en l’enfermant dans un régime juridique inapproprié. Le médiateur risque de devenir non seulement un auxiliaire de justice mais plus encore un auxiliaire du juge. La déontologie du médiateur lui impose la confidentialité, en grand danger d’être violée dans des textes en cours d’examen : en France, un rapport pourrait être exigé du médiateur. La médiation n’a rien à voir avec une « justice douce ».

 Faut-il aussi rappeler ici que l’objectif d’une médiation n’est pas seulement la résolution de conflits, contrairement à ce que beaucoup pensent. Une médiation est aussi la naissance ou la renaissance de relations nouvelles, un travail sur le lien.

 La base des garanties que peut offrir tout médiateur, c’est la rigueur et la qualité de sa formation de base et permanente. Une formation qui apporte les compétences requises et qui rende possible une écoute active, une formation qui interpelle le candidat médiateur dans ses certitudes comme dans son histoire personnelle. N’importe qui ne peut se prétendre médiateur : c’est le fruit d’un travail long et exigeant.

 La démarche que mènent aujourd’hui les médiateurs n’a rien d’un combat corporatiste.  Au contraire nous défendons l’unité fondamentale de la médiation qui conduit à ne pas la segmenter en fonction d’expertise résultant de formations antérieures.

La médiation, pleinement reconnue sur le plan terminologique, constituera une force et une garantie lorsqu’il sera question de la reconnaître dans le champ des professions de notre pays.

 le Conseil de Direction de l’UBMP

http://ubmp-bupb.org

Bruxelles, le 6 juin 2016

 Ce document inspiré du texte de « mobilisation de Mme le professeure M. Guillaume-Hoffnung » & http://www.fnuja.com/MEDIATION-ALERTE-_a2160.html est proposé à la signature d’associations et de médiateurs

[1] « La médiation est un processus volontaire d’établissement ou de rétablissement de lien social, de prévention ou de règlement des différends. Ce processus s’effectue au travers d’une communication éthique durant laquelle les personnes s’efforcent de renouer le dialogue pour trouver une solution à leur situation. Au cours de ce processus, un médiateur, tiers indépendant, les accompagne de façon impartiale, et sans influencer les résultats tout en garantissant le respect des intérêts de chacun des participants et la confidentialité des échanges. »  Strasbourg, M. Guillaume-Hofnung

 [2] L’Actualité religieuse, Paris, n° 153, 15 mars 1997, p. 17. » (Extrait de change.org

Signer la pétition sur https://www.change.org/p/oui-%C3%A0-une-d%C3%A9finition-de-la-m%C3%A9diation?recruiter=564413147&utm_source=share_petition&utm_medium=twitter&utm_campaign=share_twitter_responsive

Niort : les multiples facettes de la médiation sociale


Les nuisances sonores, souvent liées à des mauvaises isolations, sont souvent à l'origine des conflits de voisinage dans le quartier. - Les nuisances sonores, souvent liées à des mauvaises isolations, sont souvent à l'origine des conflits de voisinage dans le quartier. - (Photo archives NR)

« Le dernier conseil de quartier de la Tour-Chabot Gavacherie a été l’occasion de mettre en avant le rôle de la médiation sociale instaurée sur la ville.

Ce service du CCAS de la ville compte sept agents qui interviennent principalement sur trois secteurs : la Tour-Chabot-Gavacherie, le Clou-Bouchet, le centre-ville et le Pontreau. Ces deux missions principales sont la résolution des conflits de voisinage par le dialogue et la veille préventive. La médiation sociale tient une permanence tous les mardis de 14 h à 17 h à la mairie de quartier, rue Max-Linder. Elle est aussi présente à la sortie de l’école Ernest-Pérochon.

Interventions neutres et gratuites

Ce sont principalement les nuisances sonores dues par exemple à une mauvaise isolation ou encore la présence perturbante d’un animal qui font l’objet de conflits de voisinage. L’intervention de ce service est gratuite et se veut neutre. Il permet aussi d’orienter les personnes vers d’autres services sociaux ou encore vers la police municipale. Cette année, ce service a monté un projet de médiation à l’école Ernest-Pérochon auprès d’une quinzaine d’élèves de CM2-CM1 et CE2. Ces médiateurs de cour d’école ont donc géré une trentaine de conflits de récréation. Cette action sera prolongée en 2016-2017. » (Extrait de lanouvellerepublique.fr du 20/07/2016)

En savoir plus sur http://www.lanouvellerepublique.fr/Deux-Sevres/Communes/Niort/n/Contenus/Articles/2016/07/20/Les-multiples-facettes-de-la-mediation-sociale-2788358

MONTBÉLIARD : LES CONFLITS ENTRE VOISINS CONSTITUENT L’ESSENTIEL DE L’ACTIVITÉ DU MÉDIATEUR DE LA VILLE.


« DURANT L’ANNÉE 2015, au cours de ses 132 vacations, Francis Bouclet a reçu ou rencontré 136 personnes. D’une année sur l’autre, depuis que l’homme a pris en charge la médiation à la ville (2009) et malgré un déménagement récent de son bureau au CCAS à la Petite Hollande, ce chiffre est à peu près constant. Comme la répartition géographique de ceux qui réclament son aide : les trois quarts habitent la Cité des Princes, le dernier quart l’agglomération. Mais une chose évolue et de manière croissante : le nombre de conflits de voisinage.

Pas dans les banlieues

L’an dernier, comme il l’a exposé récemment devant le conseil municipal, Francis Bouclet a estimé que ces derniers ont représenté 27 % de ses activités totales. Loin devant les litiges avec les administrations et sociétés (15 %) et les problèmes sociaux et financiers (11 %). Fait préoccupant, selon le médiateur -qui n’affiche, tout compris, que trois cas sans du tout de solution : ces conflits entre voisins sont de moins en moins faciles à résoudre.

« Chacune des parties affirme être dans la vérité, aucune n’a tort et ne cause, dit-elle, aucun problème vis-à-vis de son entourage immédiat », raconte Francis Bouclet. « Toutes les tranches d’âge sont concernées, ainsi que tous les quartiers ou résidences, privées et publiques. Les situations restent pour quelques-unes sans effet malgré l’intervention des élus, services de police et des médiateurs de bailleurs ». Une note d’espoir ? « Certains problèmes sont résolus par le déménagement de l’une ou l’autre des parties » !

On pourrait croire que ces litiges sont notablement plus nombreux dans les quartiers dits sensibles. Le médiateur bat en brèche ce cliché : « La plupart proviennent d’un habitat plutôt de standing. Je n’ai pas vraiment d’explications à cela mais ces logements abritent souvent des personnes à la retraite, qui aspirent à une tranquillité bien méritée ». (Extrait de estrepublicain.fr du 23/7/2016)

En savoir plus sur http://www.estrepublicain.fr/edition-belfort-hericourt-montbeliard/2016/07/23/montbeliard-les-conflits-entre-voisins-constituent-l-essentiel-de-l-activite-du-mediateur-de-la-ville

Tutoriel : Pour vous, consommateur, que fait le médiateur national de l’énergie ?


Le médiateur national de l'énergie

« L’Institut national de la consommation lance sa nouvelle collection « Les tutos de la conso ». A travers un dessin réalisé en temps réel sur l’application d’une voix off, l’INC vous informe sur tous les sujets de la consommation. Thème de ce tutoriel réalisé en partenariat avec le médiateur national de l’énergie : Pour vous, consommateur, que fait le médiateur national de l’énergie ? » (Extrait de energie-info.fr)

En savoir plus sur http://www.energie-info.fr/Actualites/Tutoriel-Pour-vous-consommateur-que-fait-le-mediateur-national-de-l-energie

Maroc : PRÈS DE 600 DOSSIERS REÇUS PAR LE MÉDIATEUR BANCAIRE EN 2015


Bank al-Maghrib

« Le médiateur bancaire n’a pas chômé en 2015. Il a, en effet, reçu pas moins de 595 demandes d’arbitrage. Ainsi, le recours à ce centre par les clients de la banque s’intensifie, les demandes reçues en 2014 n’ayant pas dépassé pas les 62 dossiers, rapporte L’Économiste dans son édition de ce lundi 25 juillet.

D’après le journal, la médiation pour des litiges d’un montant inférieur à 1 million de dirhams est gratuite et ne devient payante que pour les différends de plus de 1 million de dirhams. En ce qui concerne les différends autour d’un montant inférieur à 1 million de dirhams, le centre de médiation bancaire a reçu 590 demandes d’arbitrage, ce qui correspond à la quasi-majorité des dossiers. Le montant total pour l’ensemble de la première catégorie de litiges s’élève à 21 millions de dirhams.

La ventilation des litiges par catégorie fait ressortir les contestations des écritures comptables et la clôture de comptes en première position. Elles constituent, en effet, l’essentiel des litiges.

Le journal L’Économiste rapporte également que seules 36% des demandes d’arbitrage ont été jugées complètes et recevables. Aussi, sur les 595 dossiers reçus, 136 demandes d’arbitrage seulement ont abouti à une solution.  » (Extrait de le360.ma du 25/07/2016)

En savoir plus sur http://fr.le360.ma/economie/banques-pres-de-600-dossiers-recus-par-le-mediateur-en-2015-80792

Consommation : Serge Valet a obtenu l’agrément de la Commission d’évaluation et de contrôle de la médiation de la consommation (CECM) médiateur dans les litiges opposant professionnels des services de l’auto et consommateurs.


Serge Valet assumera cette mission sur une durée de trois ans renouvelable.

« Les litiges survenant entre garagistes et consommateurs ne sont pas rares. C’est pourquoi la directive européenne 2013/11/UE a instauré le droit, pour un consommateur, de recourir gratuitement à un médiateur pour rechercher une issue amiable à un différend l’opposant à un professionnel. Cette directive a été retranscrite en droit français et, depuis le 1er janvier 2016, tout professionnel se doit de proposer cette possibilité à ses clients.

Très tôt, la FNAA a entamé les démarches nécessaires pour désigner, former et faire agréer son propre médiateur auprès de la Commission d’évaluation et de contrôle de la médiation de la consommation (CECM). Ainsi, depuis le 22 juillet dernier, le médiateur agissant pour le compte du syndicat a obtenu cet agrément. Il sera inscrit dans les prochains jours sur la liste officielle des médiateurs de la consommation, laquelle inscription sera également notifiée à la Commission européenne.

Il s’agit de Serge Valet, qui a présidé la branche Carrosserie de la FNAA de 1996 à 2013. L’ex-carrossier s’est spécialisé dans le traitement des litiges entre professionnels et consommateurs en s’appliquant chaque fois à ce que chaque réclamation soit traitée rapidement, en équité et en conformité avec le droit.

« Parce que la médiation est dans l’intérêt de tous, Serge Valet a été unanimement désigné pour assumer la charge de médiateur de la FNAA et devenir ainsi le premier médiateur pionnier de l’artisanat automobile » explique le syndicat. Désigné à ce poste par le bureau fédéral de la FNAA, le 9 décembre 2015, Serge Valet assumera cette fonction pour une durée de trois ans renouvelable. » (extrait de decisionatelier.com du 26/07/2016)

En savoir plus sur http://www.decisionatelier.com/Serge-Valet-pionnier-de-la-mediation-des-services-automobiles,8586

 

Suisse : La médiation, pour renouer le dialogue avec l’aide de l’association vaudoise pour la médiation de voisinage (AsMéd-VD)


24Heures

«Dans un conflit, nous cherchons à instaurer un dialogue entre les parties. Souvent, les conflits s’installent car les personnes ne se parlent pas, ou plus» observe Samuel Bonstein, président sortant de l’Association vaudoise pour la médiation de voisinage (AsMéd-VD). A 90 ans, cet ancien médecin compte bien poursuivre son action au sein de l’équipe de médiateurs bénévoles qu’il a intégrée en 1999. «La plupart du temps, c’est la victime elle-même qui nous contacte. Les cas les plus fréquents sont les problèmes de voisinage» indique Samuel Bonstein d’une voix posée. «Nos permanences téléphoniques offrent un espace d’écoute. La victime a l’occasion d’exposer les facettes du conflit. Si elle souhaite engager un processus de médiation, elle nous demande de prendre contact avec l’autre partie.»

Chaque année, une centaine de personnes contacte l’AsMéd-VD. Seul un conflit sur dix donne lieu à une séance de médiation. Facturée 150 francs par l’association, elle consiste en une rencontre formelle entre les parties, avec un médiateur. Mais dans plus de la moitié des cas, cette séance n’est pas nécessaire car le conflit se résout pendant la période préparatoire. «C’est la partie la plus délicate» analyse Samuel Bonstein. «La préparation d’une médiation est gratuite, mais elle peut prendre des semaines. Nous échangeons avec chacune des deux parties. Quand c’est possible nous les rencontrons individuellement.» (Extrait de 24heures.ch du 28/07/2016)

En savoir plus sur http://www.24heures.ch/vaud-regions/mediation-renouer-dialogue/story/29405615

Afrique : Création d’une association des médiateurs de la CEEAC (Communauté économique des Etats de l’Afrique centrale)


Les participants à la clôture de la réunion des médiateurs et ombudsmans d’Afrique centrale. © Gabonreview

« Du 26 au 27 juillet courant, les médiateurs et ombudsmans d’Afrique centrale, réunis à Libreville, ont échangé autour de leur rôle et de leur apport dans la consolidation de la paix, du développement et de la bonne gouvernance. Au terme des travaux, ils ont annoncé la création de l’Association des médiateurs et ombudsmans des pays membres de la CEEAC (AMP-CEEAC).

Rendant publique la déclaration finale, le médiateur de la République a rappelé leur «profond attachement aux valeurs de paix, de fraternité, d’égalité et de solidarité ainsi qu’au dialogue et au règlement consensuel et équitable des différends». «Seul un climat de paix est une garantie essentielle et indispensable à toute ambition de développement des pays de la région ainsi qu’à toute intégration économique harmonieuse», a dit Laure Olga Gondjout.

Les médiateurs et ombudsmans d’Afrique centrale ont précisé les menaces qui pèsent sur la paix et la sécurité dans la région. Ils se sont dits préoccupés par les risques de conflit inhérents aux processus électoraux biaisés. «Les médiateurs de la République et les chefs religieux dans leur diversité sont des mécanismes judicieux de prévention et de résolution des crises et des conflits», ont-ils rappelé. C’est pourquoi, ils ont souhaité «une  institutionnalisation et /ou la consolidation de la fonction de médiateur dans tous les Etats d’Afrique centrale, dans l’esprit de la résolution 2282 (2016) des Nations-unies». Au regard des tensions dans la plupart des pays de la CEEAC, ils ont appelé les acteurs politiques à entretenir un climat apaisé dans chacun des pays de la région. » (Extrait de gabonreview.com du 29/07/2016)

En savoir plus sur http://gabonreview.com/blog/gouvernance-democratique-creation-dune-association-mediateurs-de-ceeac/

Emploi : Médiateur / Médiatrice de ville – Moissac (82)


Description du poste

Dans le cadre du contrat de ville, vous assurerez plusieurs missions notamment auprès des 16/25 ans :

– aller à la rencontre des habitants du quartier, les renseigner sur tous les aspects de la recherche d’emploi et de l’accès à la formation professionnelle

– favoriser le retour à l’emploi en mettant en contact avec les divers services de l’emploi (Mission locale, Pôle Emploi, Service Public de l’Emploi, Moissac Animation Jeunes…) et les centres de formation en langues étrangères…

– faire le lien entre les offres d’emploi saisonnières et la demande

Critères d’éligibilité : avoir au moins 30 ans, être demandeur d’emploi (ou être en cui cae) et habiter le quartier de Ville

Compétences demandées
Informations additionnelles
Temps de travail : Temps plein Secteur d’activité : Secteur Public (Extrait de qapa.fr)

En savoir plus sur https://www.qapa.fr/offres-d-emploi/mediateur-mediatrice-de-ville-moissac/30162128